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    Mort de deux « jeunes » dans un transformateur EDF : relaxe pour les policiers .

     

    Publié par :Thomas Joly..

    Quasiment dix ans après les faits, la justice s’est enfin prononcée sur le cas de deux policiers poursuivis pour la mort de deux jeunes étrangers à Clichy-sous-Bois le 27 octobre 2005. Le tribunal correctionnel de Rennes a blanchi les deux policiers des accusations de non-assistance à personnes en danger, comme l’avait demandé le ministère public. Le procès avait démontré qu’ils n’avaient commis « ni faute, ni erreur, ni délit » selon l’avocat des policiers.

    À l’annonce du verdict, des proches des familles ont fait entendre leur colère, certains n’hésitant pas à menacer et justifier par avance de nouvelles émeutes raciales. C’est le cas de l’un des fondateurs d’Association collectif liberté, égalité, fraternité, ensemble, unis (ACLEFEU) (sic), une association d’étrangers née après les faits, interrogé par France Info. Pour ces gens, comme le tueur noir O. J. Simpson devait nécessairement être relaxé malgré son évidente culpabilité, le seul verdict acceptable, en dehors de toute approche conforme au droit et à la justice, était nécessairement la condamnation des policiers pour acheter la paix raciale. L’un des avocats des familles des étrangers a annoncé qu’il ferait appel.

    Le 27 octobre 2005, Zyed Benna (17 ans) et Bouna Traoré (15 ans) s’étaient cachés avec un troisième étranger dans un transformateur EDF. Ils faisaient partie d’un groupe ayant commis des vols sur un chantier en revenant d’un entraînement de football et c’est pour fuir une patrouille de police qu’ils avaient fini par tenter de se cacher dans cet improbable refuge. Les deux premiers avaient trouvé la mort et le troisième avait été blessé.

    Cet indicent avait conduit à plusieurs semaines d’émeutes marquées par leur très fort caractère raciste antiblanc. Trois Français avaient été assassinés par les hordes étrangères.

    Jean-Claude Irvoas lynché par les étrangers à Épinay-sur-Seine le 27 octobre alors qu’il travaillait, Alain Lambert mort à Trappes en tentant d’éteindre l’un des innombrables incendies criminels allumés par la racaille, et Jean-Jacques Le Chenadec, tué à Stains dans la nuit du 4 au 5 novembre.

    Source : http://www.jeune-nation.com/actualite/actu-france/19850-mort-de-deux-etrangers-dans-un-transformateur-edf-relaxe-pour-les-policiers.html


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  • Un congrès islamiste au cœur de l’Auvergne !!!

    source La rédaction

    Le samedi 9 mai 2015, une équipe de Riposte Laïque et de Résistance Républicaine a enquêté incognito sur le "Congrès Annuel des Musulmans d'Auvergne", qui avait lieu dans l'Anatolia Parc situé sur la commune d'Orcet, non loin de Clermont-Ferrand, au centre de la France.
     
    Ce congrès était organisé par une association islamique de Clermont-Ferrand, « L’Aube du Savoir », liée à l'UOIF (Union des Organisations Islamiques de France), émanation en France des Frères Musulmans, une organisation terroriste.
    Des livres prônant le djihad s'y trouvaient en vente libre, et des prédicateurs salafistes, prônant l'infériorité des femmes, le rejet de la France et de notre mode de vie, et l'application de la charia dans notre pays (lapidations, amputations, décapitations, etc.) y étaient invités.
    Et c'est ainsi que se poursuit l'islamisation de notre pays, sans opposition de nos dirigeants, pourtant censés nous protéger !
    Voici la vidéo qu'ils y ont tournée :


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  • Pendant que la Justice s’écroule, Taubira parade à… Cannes

    Publié par Thomas Joly..

    Si Christiane Taubira ne s’active pas beaucoup pour assurer une justice digne de ce nom aux Français ou le bon fonctionnement des tribunaux, elle s’est démenée pour se faire inviter au Festival de Cannes. L’indépendantiste antifrançaise y a paradé (avec la classe et la grâce qu'on lui connait) pendant qu’on apprenait qu’un récidiviste africain avait agressé, violé, tué et démembré une femme âgée de 80 ans.

    Source : http://www.jeune-nation.com/actualite/jdj/19728-journal-du-15-mai-2015.html


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  • Prémisses de viols collectifs dans un collège des « beaux quartiers »

    Publié par :Thomas Joly..

    Plusieurs très jeunes élèves du collège parisien Montaigne – qualifié de « prestigieux » par les médias – ont été mis en cause dans une affaire d’attouchements sexuels contre plusieurs collégiennes. Les violeurs en herbe auraient été inspirés par les vidéos pornographiques qu’ils regardent dans la cour de récréation.

    Il n’y a pas eu de réelle sanction contre les élèves : deux d’entre eux ont été exclus… avec sursis, un autre a été exclu temporairement et deux autres ont obtenu des travaux d’intérêt général : écrire une rédaction.

    Le plus incroyable de cette histoire est que les partisans de la sexualité animale et sans contrôle, de la pédocriminalité et de toutes les déviances, du libéralisme dans tous les domaines et particulièrement celui des mœurs, s’émeuvent de la situation et s’interrogent sur les raisons de sa survenue. Aucun ne s’est demandé par ailleurs quelle pouvait être la situation des jeunes filles, particulièrement des jeunes Blanches, dans les pires quartiers envahis, livrés à l’invasion et où le racisme antiblanc est institutionnalisé.

    Les faits ont été révélés par une victime. Depuis les « spécialistes », tous coupables à des degrés divers de la situation, s’invitent sur les plateaux télévisés pour « expliquer », excuser – surtout –, ou minimiser les faits.

    Source : http://www.jeune-nation.com/divers/19749-premisses-de-viols-collectifs-dans-un-college-des-beaux-quartiers.html


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  •  Roubaix: Harcelé par des squatteurs, un artiste peintre contraint de déserter son atelier..

    La Voix du Nord..PAR ROBERT LEFEBVRE..

    Roubaix: Harcelé par des squatteurs, un artiste peintre contraint de déserter son atelier ..

    Victime de deux cambriolages en moins de deux semaines, David Bouquet n’en peut plus.
     
     L’homme, qui occupe une ancienne usine située rue de Crouy dans le centre-ville depuis plus de vingt ans, ne dort désormais plus chez lui.
    En cause, selon lui, une bande d’individus squattant sous ses fenêtres face à l’UFR LEA et au restaurant universitaire.

    « Je ne peux plus dormir chez moi. Depuis un mois, c’est devenu un enfer. Le week-end dernier, ils sont entrés par effraction dans l’atelier. Ont littéralement défoncé une porte. Ils m’ont volé du matériel, un instrument de musique, un téléphone, une table de salon. Ils ont même uriné dans le salon. »
     
    Ils. Ce sont, d’après l’artiste peintre, un groupe de jeunes individus qui se réunit quotidiennement dans le passage reliant la station de métro Charles-de-Gaulle à l’UFR LEA et au restaurant universitaire Crouy.
     
    « De 11 heures à plus de minuit, c’est un véritable lieu de trafic de drogue. Ils sont là, ils traînent, ils dégradent. Ils regardent chez moi à travers les fenêtres. Ils pissent sur ma porte, c’est devenu insupportable. Au début, j’ai essayé de parler avec eux. Tout ce que j’ai reçu en retour, ce sont des menaces. Maintenant c’est fini. Quand je les croise, je ne leur réponds plus. »
     
    Une situation qui rappelle celle vécue par la famille Godefroy dans le quartier du Pile.

    D’autres riverains victimes

    David Bouquet a déposé plainte cette semaine pour les deux cambriolages dont il a été victime.
    Une enquête a été ouverte par la police.
    Des relevés d’empreintes ont été effectués dans l’atelier.
     Mais l’artiste peintre n’est pas le seul victime d’incivilités dans le secteur.
     Le restaurant universitaire, situé juste en face, a lui été victime d’une tentative de cambriolage lundi soir.
     
     « Les dégradations et tentative d’intrusion sont régulières , confirme-t-on au restaurant. À chaque fois, nous déposons plainte. Ça ira mieux quand on aura déménagé. »
     
     Car L’UFR LEA et le restaurant du Crouy quitteront le secteur en septembre 2016.
     D’autres riverains ont aussi été cambriolés ces dernières semaines.
    La bande pourrait aussi être à l’origine de l’attaque à main armée perpétrée fin avril contre une supérette de la rue de Lille.
    Ce soir-là, deux individus cagoulés avaient braqué le commerçant qui n’avait pas hésité à tenter de les rattraper.
    Mais, rue de Crouy, à proximité du passage squatté, le commerçant avait été pris à partie par un groupe d’individus venu épauler le braqueur en difficulté.
    Dans ce dossier, l’enquête de police est toujours en cours.

    Fermer le passage ?

    David Bouquet n’espère qu’une chose : que ce triste passage soit fermé, une fois que l’UFR et le restaurant universitaire auront déménagé : « C’est le seul moyen de rendre un peu de tranquillité à la rue. »
     D’ici là, l’artiste-peintre n’occupera plus son atelier que pour travailler.
     « Plus question de vivre là. Il faut que ce lieu culturel perdure, peut-être dans un cadre associatif, mais moi je ne peux pas vivre à longueur de journée, cloîtré avec des persiennes baissées. »

    «Une situation pourrie depuis un certain nombre d’années»

    Margaret Connell, adjointe au maire chargée de la sécurité à Roubaix, est bien au fait de la situation du passage Crouy.
    « C’est un passage qui a été créé artificiellement pour permettre aux étudiants de l’UFR LEA de rejoindre la station de métro.
    Il y a là une situation pourrie depuis un certain nombre d’années et qui n’a pas été traitée jusqu’alors.
    La configuration des lieux est délicate.
    Il y a des intrusions dans les maisons de la rue de Crouy par le parking du conservatoire.
    Nous avons affaire là à des individus qui pourrissent la vie des Roubaisiens.
    Nous avons tenté d’éclairer le passage.
    Ils ont brûlé des conteneurs et détruit l’éclairage.
    Nous faisons le maximum pour régler le problème.
     La police municipale a intensifié ses passages.
     Mais nous ne pouvons être présents 24h/24.
    Lorsque l’UFR aura déménagé, nous réétudierons la configuration des lieux.
     D’autant qu’avec le départ des étudiants, la situation pourrait empirer. »

    La goutte d’eau?

    David Bouquet croit savoir ce qui a mis le feu aux poudres et raconte un épisode significatif.


    « Sur le parking de derrière, ils jouent souvent au foot. Un jour, alors que je travaillais à l’atelier, j’entends qu’ils m’appellent. Je vais voir. Ils me disent qu’ils veulent récupérer leur ballon. Le ballon se trouvait sur le toit. Je vais chercher une échelle et une longue tige. Du balcon, je monte sur le toit et redescends le ballon. De retour sur le balcon, un des jeunes avait escaladé les murs et était monté sur le balcon. Je rends le ballon au groupe et, j’invite celui qui était sur le balcon à passer par l’intérieur pour redescendre. À peine était-il à l’intérieur qu’il s’est mis à courir et a essayé de voler ce qui pouvait l’être. Je l’ai immédiatement mis dehors. »

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