Plusieurs très jeunes élèves du collège parisien Montaigne – qualifié de « prestigieux » par les médias – ont été mis en cause dans une affaire d’attouchements sexuels contre plusieurs collégiennes. Les violeurs en herbe auraient été inspirés par les vidéos pornographiques qu’ils regardent dans la cour de récréation.
Il n’y a pas eu de réelle sanction contre les élèves : deux d’entre eux ont été exclus… avec sursis, un autre a été exclu temporairement et deux autres ont obtenu des travaux d’intérêt général : écrire une rédaction.
Le plus incroyable de cette histoire est que les partisans de la sexualité animale et sans contrôle, de la pédocriminalité et de toutes les déviances, du libéralisme dans tous les domaines et particulièrement celui des mœurs, s’émeuvent de la situation et s’interrogent sur les raisons de sa survenue. Aucun ne s’est demandé par ailleurs quelle pouvait être la situation des jeunes filles, particulièrement des jeunes Blanches, dans les pires quartiers envahis, livrés à l’invasion et où le racisme antiblanc est institutionnalisé.
Les faits ont été révélés par une victime. Depuis les « spécialistes », tous coupables à des degrés divers de la situation, s’invitent sur les plateaux télévisés pour « expliquer », excuser – surtout –, ou minimiser les faits.