• Par: Pieds Noirs 9A..

    La Corse à l'heure du recueillement.

    Et si il était innocent !.

    L’Etat est inefficace de par son obésité !
    surtout que nos politiques ne veulent pas du régime amaigrissant qui serait pourtant fort salutaire pour la gestion du pays !

    La mise en berne des drapeaux en Corse après la mort d'Yvan Colonna est une «sorte d'insulte à l'État français et à la famille Erignac», a dénoncé jeudi 24 mars le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin.

    Et comme monsieur a était en Algérie déposé une gerbe aux monument des fellagas ,ce n'est pas une honte à la France cela ?.

    Après "l'autonomie" on se raccroche aux branches comme on peut, pas très glorieux tout ça . ferait comme son maître de dormir ,avec leurs yeux de merlans frits ,commencent à nous inquiéter avec leurs magouilles!.

    Corse : Gérald Darmanin qualifie la mise en berne des drapeaux de «sorte d'insulte à l'État français» Il a vraiment une tête de clown, à l'image de sa haute incompétence à la tête du ministère de l'insécurité.

    Là, on est rentré dans une guerre de drapeaux. Il se trouve que la dizaine de drapeaux mis en berne , sont des drapeaux de la collectivité Corse et non des drapeaux Français, dont seul le Président de la République est en droit de donner l’ordre. La mise en berne d’un drapeau national ou régional relève du principe de libre administration il n’existe pas de disposition législative en la matière. Alors ? -

    Voilà Colonna n’est pas un héros , mais a toujours réclamer son innocence à madame Erignac au tribunal ,dont d'après de nombreux dossiers ,ne pouvant pas être sur le passage ce jour là devant le préfet .Si ce n'était pas un enfant de chœur, mais il appartenait aux Corses. Il n’est pas mort pour la Corse, mais mort pour avoir eu le malheur de croiser un djihadiste, dans un lieu où il devait payer à vie, un crime dont il n'avais jamais commis ,mais valait trouvé un coupable. Et comme Sarkozy le dénonçant haut et fort <<nous avons arrêter l'assassin>> sans avoir était jugé par un tribunal .Il fallait un bouc émissaire ,et Colonna fut la proie des loups ,car a ce moment là, n'ayant pas eu d'alibi .  Cela le fut comme Audin que ce n'est pas l'Armée Française qu'il aurait tué .Bref! .

    L'assassin de Colonna .

    Capturé en Afghanistan en 2016 mais radicalisé en prison, d'après le titre de l'article. Ai-je bien tout compris .Une fois de plus, la question se pose de savoir pourquoi les auteurs de pareils méfaits ne sont jamais expulsés. On évoque l’impossibilité d’expulser un étranger sans l’accord prenable de son pays d’origine et que s’il s’agit d’un Français, il doit rester en France. Mes solutions : si c’est un Français, on l’expédie en Nouvelle Calédonie ( territoire Français) pour nettoyer les abords forestiers, et si c’est un étranger, dont le pays d’origine n’en veut pas.

    Ce n'est pas un dysfonctionnement mais une faute lourde de l'État.

    Pieds Noirs 9A..


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  • NICE LE 19 MARS 2022 - DEVANT LA HONTEUSE STATUE DU MONSTRE DE COLOMBEY. LES PIEDS-NOIRS ÉTAIENT LÀ POUR MANIFESTER CONTRE L'IDOLE D'ESTROZY

    Peut être une image de 10 personnes, personnes debout, plein air et monument


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  • Maroc, la pire sécheresse depuis 40 ans fait craindre une grave pénurie d'eau

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    Avec seulement 600 mètres cubes d'eau par habitant et par an, le Maroc se situe largement sous le seuil de la pénurie hydrique. 

    Le Maroc est frappé de plein fouet par sa pire sécheresse depuis près de 40 ans, une catastrophe qui fait craindre une sévère pénurie d'eau potable cette année, conséquence du changement climatique et d'une gestion hydrique inefficiente. "Le pays n'a pas enregistré une telle situation depuis le début des années 1980", a déclaré à l'AFP Abderrahim Hendouf, spécialiste des politiques de l'eau.

    Si par le passé, la sécheresse, récurrente au Maroc, touchait principalement les régions rurales et le secteur agricole, elle pèse actuellement sur "l'approvisionnement en eau potable en zone urbaine", a récemment prévenu le ministre de l'Equipement et de l'Eau, Nizar Baraka, devant les députés.

    Soumis de longue date aux variations climatiques, le pays subit un sévère déficit pluviométrique depuis septembre 2021 et une baisse alarmante des réserves des barrages de près de 89% par rapport à la moyenne annuelle, selon les statistiques officielles. Ce déficit est "un indicateur inquiétant même s'il a été résorbé par des mesures préventives, afin d'éviter les pénuries d'eau", a reconnu Abdelaziz Zerouali, directeur de la Recherche et de la Planification de l'eau, dans un entretien télévisé.

    Deux grandes villes, Marrakech (sud), capitale touristique, et Oujda (est), ont évité le pire en ayant recours depuis fin décembre à la nappe phréatique pour assurer leur approvisionnement. 

    Pour contenir les effets dévastateurs de la sécheresse, le gouvernement a débloqué à la mi-février un programme d'aide au secteur agricole, premier contributeur du PIB (14%) devant le tourisme et l'industrie et principale source d'emplois en milieu rural, de près d'un milliard d'euros.

    "Il est nécessaire de changer notre vision sur la question de l'eau. Le changement climatique est réel et nous devons nous préparer pour y faire face."

    Abdelaziz Zerouali, directeur de la Recherche et de la Planification de l'eau

    lors d'une conférence sur "le droit à l'eau" à Rabat

    Avec seulement 600 mètres cubes d'eau par habitant et par an, le Maroc se situe largement sous le seuil de la pénurie hydrique. A titre de comparaison, la disponibilité en eau dans les années 1960 était quatre fois supérieure, à 2 600 mètres cubes. Au-delà des facteurs environnementaux, "la forte demande en eau" et "la surexploitation des nappes phréatiques" contribuent à faire pression sur les ressources hydriques, souligne le ministre Nizar Baraka.

    Dans un article pour l'Institut marocain d'analyse des politiques (Mipa), la chercheuse Amal Ennabih estime que la rareté de l'eau est "profondément liée à la façon dont cette ressource est utilisée pour l'irrigation, consommant environ 80% de l'eau du Maroc chaque année". Une situation d'autant plus alarmante que 10% seulement des terres agricoles sont irriguées, relève l'expert Abderrahim Hendouf, qui plaide pour une réduction du poids excessif du secteur agricole dans l'économie marocaine.

    Le royaume chérifien mise principalement sur le dessalement de l'eau de mer pour remédier au déficit hydrique, un procédé polluant à cause de la saumure produite. Mais la mise en chantier du programme est confrontée à des retards. La station de dessalement de Casablanca est toujours en chantier et la mégapole économique est menacée d'un déficit en eau dès 2025.

    Autre exemple : le retard de livraison de l'usine de dessalement de la station balnéaire de Saïdia (nord-est) a "provoqué une pénurie" dans les villes environnantes, selon Nizar Baraka. Par ailleurs, la construction de 15 barrages prend aussi du retard. 

    La menace d'un déficit en eau potable planait également sur la ville touristique d'Agadir, à hauteur de 70% en mars par rapport à ses besoins. Un risque évité grâce, notamment, à la nouvelle station de dessalement de ce chef-lieu de la plus importante région agricole du Maroc, selon des chiffres officiels.

    Les mesures draconiennes imposées à Agadir à l'automne 2020, l'eau des robinets était coupée la nuit, ne sont aujourd'hui plus qu'un mauvais souvenir.

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  • Des supermarchés rationnent déjà des produits alimentaires à cause du risque de pénurie

    Un risque de pénurie dans les rayons de nos supermarchés ? Si la question n’est pas encore d’actualité dans l’Hexagone, ce n’est pas le cas en Belgique ou en Allemagne, où certains produits sont déjà rationnés. En cause ? Le comportement impulsif des consommateurs qui se ruent sur la farine, l’huile ou le papier toilette.

    Guerre en Ukraine et inflation : une addition qui inquiète de plus en plus les consommateurs. Pour faire face à cette hausse des prix, qui touche plus de 68 % des catégories alimentaires*, selon une récente étude de NielsenIQ*, les Français rivalisent d’inventivité afin d’alléger la facture.

    Si les consommateurs de l’Hexagone ne se sont pas encore rués sur les produits de première nécessité en vue de faire des stocks, ce n’est pas le cas dans le reste de l’Europe. Premier pays où des mesures de rationnement ont été prises : la Belgique. Depuis une semaine, les supermarchés du géant de la grande distribution Colruyt limitent l’huile et la farine à deux produits par client.

    La ruée des clients provoque cette tension sur l'alimentaire

    Pour l’enseigne, il s’agit avant tout d’une mesure préventive, comme elle l’explique au site spécialisé Retail Detail Belgique, car c’est la ruée des clients sur les produits courants qui provoque cette tension. « L’expérience du premier confinement en 2020 nous a incités à prendre des décisions pour certaines catégories de produits actuellement sous pression afin de garantir au plus grand nombre de nos clients un approvisionnement correct et durable aux meilleurs prix. Mais les rayons seront réapprovisionnés et il reste des produits en stock. Nous voulons avant tout éviter de semer la panique », souligne Colruyt.

    Aucune pénurie alimentaire pour l'instant en France

    Même choix chez le géant allemand Lidl qui limite, lui aussi, en Belgique l’achat d’huile de tournesol, de légumes en conserve et de papier toilette, comme le rapporte RetailDetail Belgique. En Allemagne, Aldi, Lidl ou encore Edeka ont également opté pour ces restrictions. Quant aux Pays-Bas, les supermarchés Plus et Jumbo imposent aussi un rationnement sur l’huile de tournesol.

    En France, à ce jour, aucune situation similaire n’a encore été relevée. Du côté du gouvernement, on se veut rassurant. Mi-mars, le ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie a ainsi expliqué : « Il n'y a pas de risque de pénurie dans notre pays car notre agriculture est forte, solide et souveraine ».

    *Source NielsenIQ OPUS février 2022, en date du 1er mars 2022

    En Belgique, Colruyt et Lidl imposent un nombre maximal de produits sur certaines références. 

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