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    Marine Le Pen forme un groupe européen… sans Jean-Marie Le Pen, ni Bruno Gollnisch ..

    Les eurodéputés Jean-Marie Le Pen et Bruno Gollnisch ne feront pas partie du groupe annoncé par le Front national au Parlement européen, a indiqué aujourd’hui Florian Philippot.

    « Je n’ai pas été sollicité alors que j’ai été élu avec quatre autres députés sur ma liste. Je ne sais pas jusqu’où va l’opprobre », a déclaré Jean-Marie Le Pen.  « Dans certains milieux, quand on fait une sottise, on va jusqu’au bout. Il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre », a-il estimé.

    Bruno Gollnisch a indiqué qu’il ne serait pas « membre d’un groupe parlementaire qui n’a pas été proposé à Jean-Marie Le Pen. C’est une certaine conception de l’honneur ».

    « Mais je voterai bien sûr conformément aux convictions sur la base desquelles j’ai été élu. Je garde de bonnes relations avec mes collègues, on s’échangera les listes de vote », a poursuivi M. Gollnisch.

    Depuis Bruxelles, Marine Le Pen a donné les noms des eurodéputés qui rejoignent le groupe parlementaire qu’elle va co-présider, baptisé « Europe des Nations et des Libertés ».

    Le dirigeante frontiste a notamment obtenu le ralliement de deux eurodéputés polonais issus du parti d’extrême-droite KNP. Elle a toutefois précisé que Michal Marusik et Stanislaw Zoltek ont « clairement rompu » avec Janusz Korwin-Mikke, le sulfureux ancien président de ce parti.

    La présidente du FN accueille également, Janice Atkinson exclue en mars de l’Ukip, le parti britannique rival du FN. Cette quinquagénaire avait été écartée pour des « soupçons graves de nature financière ».

    Il semblerait qu’Aymeric Chauprade ne fait pas non plus partie parti du groupe.

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  • Arrogance de l'occupant islamiste : Dalil Boubakeur suggère de récupérer « des églises vides » pour servir le culte musulman

    Publié par :Thomas Joly..

    Interrogé sur Europe 1 ce lundi matin, le président du Conseil français du culte musulman a évoqué la pénurie de mosquées en France.

    Et si des musulmans priaient bientôt dans des églises ? C'est l'idée de Dalil Boubakeur. Interrogé sur Europe 1 ce lundi matin, le président du Conseil français du culte musulman a évoqué la pénurie de mosquées en France (2.500 mosquées en France et 300 sont en construction) et a lancé une idée plutôt inattendue : que les églises vides puissent servir de lieux de prière aux musulmans.

    "C'est un problème délicat mais pourquoi pas" ? a demandé le président du CFCM. Car pour lui, le nombre de mosquées est "insuffisant". Il espère d'ailleurs que la construction de mosquées sera évoquée lors de "l'instance de dialogue" réunie ce lundi. 

    Par ailleurs, Dalil Boubakeur a indiqué que "le ramadan devrait démarrer jeudi".

    Une date qui coïncide cette année avec les épreuves écrites du bac ce qui pose problème à certains élèves. "Pendant quelques jours, le jeûne est très tolérable. Mais s'il y a une impossibilité, une maladie ou une pathologie quelconque, je conseille aux étudiants de ne pas le faire et de le différer en le remplaçant par un nombre de jours équivalents" a expliqué le président du CFCM.

    Source : http://www.atlantico.fr/pepites/dalil-boubakeur-suggere-recuperer-eglises-vides-pour-servir-culte-musulman-2195246.html


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  • Que fait Marine la dedans.. Pour l'Affaire de Calais ...ET bien rien ..Visiblement, ce problème ne l'intéresse pas beaucoup...


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  •  Le parjure, la trahison et la honte..

    Posté par :Dominique CHALARD..

    Le parjure, la trahison et la honte ..« L’Histoire brûle les hommes. Après, il faut recueillir les cendres et raconter » (Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc – « Les champs de braises »)

    Du navire bondé de légionnaires et de parachutistes, en cet automne 1954, un haut-parleur annonça que l’on apercevait les côtes de France. Bientôt le port de Marseille fut en vue. Mal réveillés, ils montèrent tous sur le pont, serrés les uns contre les autres, appuyés à la rambarde. Le paradis dont ils avaient tellement rêvé dans les camps de prisonniers du Vietminh approchait lentement et déjà ils n’en voulaient plus. Ils rêvaient à un autre paradis perdu, l’Indochine… terre qui avait bu, plus qu’aucune autre leur sang. C’est à elle qu’ils pensaient tous à présent. Ils n’étaient pas les fils douloureux qui s’en revenaient chez eux pour faire panser leurs blessures, mais des étrangers. En eux remontaient des aigreurs.

    Ils se souvenaient avec colère et amertume de ces tonnes de médicaments régulièrement adressées au Vietminh par l’Union des Femmes Françaises (1) et leur indignation ne résultait pas de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que chaque jour des soldats français mouraient faute d’en posséder…

    En 1950, à Orange, un train de blessés d’Extrême-Orient avait été arrêté par des communistes qui avaient injurié et frappé ces hommes sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine. On avait refusé à Marseille, dont ils apercevaient maintenant Notre-Dame de la Garde, de débarquer les cercueils des morts…

    On les avait abandonnés, comme ces mercenaires soudains inutiles que Carthage avait fait massacrer pour ne pas payer leur solde.

    Des souvenirs terribles les hantaient… Ceux de ces partisans qu’ils avaient juré de ne jamais abandonner… Et parmi eux, la vision de ce vieux chef guerrier qui avait rallié sous le drapeau tricolore dix mille de ses hommes… alors que Diên-Biên-Phu était tombée et que tout allait mal dans le delta tonkinois. Il avait alors demandé aux officiers français s’il était vrai que la France allait livrer le Tonkin au Vietminh car rien n’avait été prévu pour replier ses partisans et leurs familles. Les divisions viets déferlaient sur le Delta. Le système de défense cédait peu à peu. Tout reposait sur ce vieux chef et sur ses hommes qui, connaissant admirablement le terrain, étaient à même de repousser mieux que quiconque les assauts des communistes.

    Alors les officiers français lui mentirent et lui assurèrent que jamais ils ne le laisseraient tomber. Il eut foi en leur parole. Ses partisans restèrent à leur poste et continuèrent à se battre jusqu’au bout alors qu’ils étaient submergés. Pendant ce temps l’armée française prépara la défense de Hanoi et de Haiphong et elle n’évacua personne. Le vieux chef fut pris par les communistes. Ils le torturèrent jusqu’à ce qu’il agonisât puis ils lui tranchèrent la tête. Les survivants parmi ses partisans subirent le même sort…

    Et, le visage tendu, les mâchoires crispées, ils se souvenaient aussi de tous ceux à qui ils avaient affirmé qu’ils resteraient toujours et en particulier les catholiques… Ils essayaient de gagner à la nage les bateaux en partance pour la France… Combien de ceux-là périrent noyés ?

    Plus tard, ces visions de cauchemar hanteront de nouveau ces hommes-là… Eux, les anciens d’Indochine, eux, les officiers qui représentaient la France dans ce pays, l’Indochine, ils la burent jusqu’à la lie. Ils connurent la défaite et l’abandon. Leur parole qui était celle de la France, ils la renièrent mille fois dans cette guerre et ils en étaient couverts de honte. Les images qui s’entrechoquaient dans leur mémoire les harcelaient sans trêve… Des familles entières menacées d’extermination par le Vietminh s’accrochaient désespérément aux ridelles des camions et, à bout de force, tombaient en pleurant dans la poussière de la route. Sept ans plus tard, ces mêmes visions apocalyptiques ressurgiront quand l’armée française abandonnera dans la honte et le déshonneur les Musulmans fidèles à la France.

    Le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc écrira dans « Les champs de braises » : « La plupart des Vietnamiens ne disent rien. Ils nous regardent simplement. Nous avons honte. Ils nous auraient tués à ce moment-là que nous aurions trouvé cela juste. L’un d’eux me dit : « Alors, mon capitaine, vous nous laissez tomber ? » Je ne réponds rien ! » … « Les centaines d’hommes et de femmes à qui, au nom de mon pays et en mon nom, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie, nous les avons abandonnés en deux heures. Nous avons pris la fuite comme des malfrats. Ils ont été assassinés à cause de nous »…

    Sur cette tragédie –conséquence à ses yeux d’un parjure- qui le traumatisera jusqu’à la fin de ses jours, il ajoutera : « La simple évocation de ces souvenirs suffit, cinquante ans après, à troubler mon regard et faire trembler ma main. »

    Une fois la victoire acquise, les communistes lamineront le pays, faisant la chasse aux « collaborateurs », c'est-à-dire, ceux qui avaient pactisé avec les soldats français. Pour eux, point de pitié. Une mort atroce les attendait…

    Alors, quand en Algérie, le même processus s’engagera ; quand les officiers français se retrouveront coincés dans le même système, quand les harkis risqueront de connaître le même sort que leurs partisans indochinois… ils s’engageront… mais cette fois, personnellement, parce que le pouvoir sera trop faible, trop lâche pour tenir ses engagements. Après, plus question de partir, ce sera terminé pour eux. Ce ne sera plus la parole de la France ; ce sera la leur ! Et pour beaucoup de soldats, ce sera un engagement solennel : « La mort plutôt que le déshonneur ».

    … Et c’est cet engagement qui poussera à la révolte, en avril 1961, des soldats valeureux refusant le parjure, la trahison et la honte. Ils abandonneront ainsi leurs uniformes, sacrifieront leur carrière, seront séparés de leur famille parfois durant de longues années, connaîtront la prison, l’exil, le sarcasme de leurs vainqueurs et de ceux qui n’avaient pas osé, des poltrons, des lâches et des traîtres pour être restés fidèles à leur serment et à leur idéal.

    Le temps passera, l’oubli viendra, les légendes fleuriront, mais jamais assez l’Histoire ne mesurera la grandeur de leur sacrifice.

    José CASTANO


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  • Le ministre de l’Intérieur Cazeneuve congratule les clandestins : à quand la pipe ?

     
    Par: Paul Le Poulpe..

    Cazeneuveclandesetins


    Avec Cazeneuve, on pensait avoir tout vu et tout entendu depuis que ce crâne d’œuf a succédé à Valls au ministère de l’Intérieur.


    Il nous avait fait le coup qu’il fallait empêcher les djihadistes de quitter la France… mais que, par contre, il fallait les laisser revenir !
    Il nous avait expliqué que prôner le djihad n’était pas un délit !
    Il avait encouragé les clandestins qui voulaient partir en Grande-Bretagne à effectuer leur demande de droit d’asile en France !
    Il vient de se surpasser.
     En visite dans un centre d’hébergement de Nanterre, celui qui est payé par nos impôts pour faire respecter nos lois s’est permis d’abord de s’adresser à des personnes qui, elles, violent nos lois, en s’installant par la force sur notre territoire.
    Puis, sommet de la forfaiture, il les a passés en revue, tel un président de la République saluant des footballeurs à la veille d’une coupe de France, et leur a serré la main à tous, en parlant en anglais !


     
    Finalement, il aurait pu leur laver les pieds, tel Saint-Vincent de Paul, leur amener de la nourriture (surtout pas de soupe au cochon, pas de provocation), leur donner des cigarettes, voire pourquoi pas leur offrir une bonne pipe de Saint-Claude dans le Jura.
    Le message que fait passer notre ministre de l’Intérieur au monde entier est terrible : violez nos lois, forcez le passage, installez-vous en France, et le gouvernement se mettra à votre service, et vous aidera… avec l’argent des Français qui, eux, ne bénéficient pas d’une telle bienveillance des traîtres qui nous dirigent.
    On est bien loin de l’attitude du gouvernement australien…
     
     
     
     
    Geeert Wilders ne disait pas autre chose.
     
     
    S’il y avait une vraie opposition, et pas les incapables de l’UMP, Cazeneuve ne pourrait plus dire un mot, au Parlement, sans que ne s’élève de suite des cris « Démission ».
     
    Jamais un régime n’a aussi ouvertement collaboré avec des envahisseurs, parmi lesquels figurent forcément des djihadistes, contre l’intérêt de leur pays et de leur peuple.
     
    Quand on pense à la misère sociale qui règne en France, aux difficultés des jeunes travailleurs et des retraités pauvres, on ne peut, quand on évoque Cazeneuve, Valls et toute la clique, que songer de plus en plus fortement à la célèbre phrase de Clémenceau sur les traîtres et les demi-traîtres.
     
    Paul Le Poulpe

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