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Attentat en Tunisie : « La France doit assumer ses responsabilités »
Au lendemain de l’attaque terroriste qui a fait 38 morts à Sousse en Tunisie, Olivier Ravanello, spécialiste des questions internationales, revient sur les responsabilités de la France dans ce qui se passe actuellement en Libye.La région est déstabilisée depuis la chute du régime Kadhafi, ce qui a un impact direct sur son voisin, la Tunisie.
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Samedi 27 juin, l'immonde Gay Pride s'est une nouvelle fois déversée dans les rues de Paris
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Cet été vous danserez sur un air de Kalash !!
Publié le 28 juin 2015 - par Albert Nollet
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Chers amis, chers compatriotes, chers visiteurs, chers touristes, chers tous, vous qui vous préparez à quitter vos foyers pour vous rendre sur les plages, et sur vos lieux de vacances préférés, nous vous informons que cet été vous danserez au son de la Kalachnikov, un chant russe remixé à la sauce Orientale tendance Djihad. Imaginez la scène, il fait beau, vous êtes tous sur une plage, avec votre épouse, votre mari, vos enfants, le petit dernier, vos amis et qui vous voulez. C’est les vacances, votre fils mange un beignet, votre fille une glace et le petit dernier veut des chichis. Votre petit neveu fait tous ses efforts pour montrer à la jeune fille allongée à quelques mètres que c’est lui le plus beau, en rêvant de pouvoir toucher ses courbes délicates. Tout à coup 4 djihadistes, revenus de leur formation en Syrie arrivent, beaux comme des Imams, avec leurs instruments dans de grands sacs. Il faut dire qu’ils ont la classe : corps musclé, lunettes de soleil, assurance virile et déterminée façon Merah, les filles n’ont d’yeux que pour eux. Tout le monde a hâte que la fête commence ! C’est alors qu’ils lancent le signal du début de la fête : Allah ou Akbar !!! crient-ils ! Tout le monde est content que cette journée sur la plage, qui ressemblait un peu trop à celle de grand papa, soit enfin agrémentée d’une activité amusante menée par ces nouveaux venus pleins de dynamisme. C’est plus la peine d’aller au club med, maintenant tout le monde a droit à des attractions. Il n’y a plus de classes sociales, il n’y a plus de riches, il n’y a plus de pauvres, il n’y a plus de discriminations. Tout le monde a le droit de participer à la fête ! Calmement. Ils sortent leurs engins : des Kalachnikovs rutilantes, tout droit venues d’ex-Yougoslavie, et commencent à arroser la foule autour d’eux. Vous vous demandez comment ils peuvent avoir autant de sang froid ? C’est facile, ils ont fait un stage intensif, avec des professeurs coupeurs de têtes réputés, et ont déjà tué plein de monde en Syrie. Ils ont pu s’exercer à balles réelles sur des cibles vivantes. C’était pas la peine de faire semblant. Aujourd’hui pour eux, animer une foule c’est la routine. La foule conquise rentre en délire, c’est une profusion de cris, la tête de votre fils vient d’éclater, votre femme enceinte vient de se prendre une bastos dans le bide, une effusion d’hémoglobine vient remplir l’air et se mélange au sable sur un fond de ciel bleu et de mer limpide. C’est magnifique, c’est sublime, c’est magique. C’est à la hauteur de l’hommage rendu à Allah. Les beaux gosses à Ray Ban, façon Kouachi, continuent leur sarabande, en commençant à courir sur la plage, pour faire profiter tout le monde de leur sérénade. Pour l’ambiance, l’un d’eux lance une grenade sur le kiosque à boisson. Tous ceux qui attendaient leur coca et leur pan bagnat se retrouvent propulsés dans l’air en une seconde dans une gerbe féérique. Ils continuent à donner le tempo. Allah ou Akbar ! Allah ou Akbar ! Allah ou Akbar !!! Ils ont le sens du rythme, il y a de l’énergie et de l’émotion dans leurs voix puissantes. Ce sont des show-man, qui savent animer un son et lumière dantesque. Autour d’eux, c’est le délire, tout le monde regarde hébété ce spectacle jamais vu et si différent de tout ce qu’on connait. C’est beau cette diversité, c’est beau cette passion, c’est beau cette culture, ça donne envie de partager, ça donne envie de vivre ensemble. C’est formidable que ces jeunes qui ont tellement souffert de la discrimination en France aient pu trouver un chemin pour s’en sortit et rebondir. C’est formidable qu’ils aient pu trouver des éducateurs pour les remettre dans le droit chemin, en France, dans les mosquées, ou à l’étranger. C’est formidable de ne plus avoir à quitter son pays pour en profiter. Aujourd’hui, c’est le monde qui vient à nous, pour nous apporter, sa richesse, ses trésors et sa culture. Vous êtes en France. C’est ici et nulle part ailleurs. C’est une chance pour la France. Les Français ont de la chance. La France est riche de toutes ses cultures et de sa diversité. Il faut l’accepter. Il faut le fêter. Il faut le célébrer. Il faut l’intégrer. Vous savez déjà que tous nos ministres et le Président seront là ce soir, car eux aussi veulent voir de leurs propres yeux ce type de spectacle d’un genre nouveau. Heureusement que leurs passeports n’ont pas été annulés, et qu’ils ont pu rentrer en France pour nous faire profiter de toute leur expérience acquise dans ces lointaines contrées exotiques. Ils ont bien mérité leurs allocations familiales et chômage, car eux, pendant leur stage, ils ont bossé !!! et ça se voit ! C’est avec générosité qu’il veulent nous en faire profiter. Et dire qu’on a failli rater ça !!! Dépassée la lambada, ringarde la sokha, oubliée la macarena. Cette année, c’est l’appel au Djihad qui guidera vos pas. Pour tous ceux qui se sentent un peu oubliés, voire discriminés, j’ai ouï dire, que ce genre de scène, ne sera peut-être pas réservé à ceux qui aiment la mer. Il y aura peut-être des remakes pour ceux qui aiment la campagne ou la montagne…. Oui chers amis, chers compatriotes, chers visiteurs, chers touristes, chers tous, cet été sera Djihad, cet été, vous allez danser !!!! Inch Allah et Allah ou Akbar ! Albert Nollet. PS : N’oubliez pas tous les jours à la Kermesse à 16 heures, le tirage au sort de notre tombola sur la place de la Mosquée (anciennement place de l’Eglise). Premier prix : une magnifique Burqua noire que vous pourrez offrir à votre troisième épouse récemment arrivée du Bled avec ses cinq enfants pour empêcher le vieillissement de la population française et assurer son renouvellement, ce qui a justifié leur naturalisation immédiate, et le versement corrélatif des premières allocations. La mairie précise que, du coup, compte tenu de la détresse et des difficultés économiques et sociales inhumaines et indignes que subit cette famille, leur demande de logement social devient prioritaire. Le Maire, le Préfet et le Ministre ont assuré qu’une solution devrait être trouvée rapidement et que la France saura répondre présent en étant fidèle à ses engagements internationaux et moraux et continuer à montrer l’exemple d’une société exemplaire pour le monde entier. Notre prestige et l’honneur de tous les français sont à ce prix. Je sais que vous serez solidaires et que vous ne faillirez pas. Vive la République. Vive la France.
http://ripostelaique.com/cet-ete-vous-danserez-sur-un-air-de-kalash.html
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Des messes en plein air annulées par peur des « déséquilibrés »
(par Charlotte d'Ornellas)
Il y a quelques jours, un site internet se procurait une lettre envoyée par le maire UMP du Lavandou (83), Gil Bernardi, au père Joseph, curé de la paroisse. Le premier y annonce qu’il sera impossible de célébrer la messe dominicale en plein air cet été, comme c’est pourtant la tradition depuis 20 ans.
D’abord, explique le maire, pour ne pas « attiser les critiques des adeptes de la laïcité ». Étant donné les hystériques auxquels nous avons affaire (des gens qui ne supportent pas la vision d’une statue de la Vierge dans une petite commune savoyarde, rappelons-le), il est évident que le moindre signe de faiblesse leur donnerait la force d’en demander davantage. Le meilleur moyen de les entendre réclamer l’interdiction des « saints » noms de nos villages, c’est de leur faire comprendre qu’on se laissera faire…
Que Monsieur le Maire se rassure, la moyenne d’âge de ceux qui ne comptent pas céder est la moitié de l’âge moyen des adhérents de la « libre pensée » : voilà une raison de ne rien lâcher !
Mais ce n’est pas tout. Le maire met ensuite en avant « les tensions confessionnelles et les événements du 7 janvier 2015 ». Parlons franchement : il ne s’agit pas de « tensions confessionnelles » mais d’islamistes qui ont visé une épicerie casher, et d’un autre qui s’apprêtait à attaquer une église du Val-de-Marne.
Le maire insiste : il ne faudrait pas exposer les paroissiens « au geste d’un déséquilibré ou d’un fanatique ». Termes qui désignent tous deux, les Français l’ont compris depuis longtemps, les islamistes eux-mêmes. Leur « déséquilibre » ou leur « fanatisme » a souvent un « allah akbar » en commun…
Ces messes en plein air ont débuté en 1996, pour « plus de confort durant les périodes de fortes chaleurs ». Le confort et l’occasion pour les paroissiens, dont le maire fait partie, de témoigner au milieu d’un pays tristement déchristianisé… Très bien, personne n’y avait rien trouvé à redire. Mais voilà, « la situation a évolué depuis », explique Gil Bernardi, et « il nous incombe à tous de contribuer à l’apaisement, et non à l’exacerbation de tensions multiples ».
Une question, Monsieur le Maire : entre celui qui assiste à la messe, où il est encouragé à aimer toujours mieux, et celui à qui une messe donne l’envie de tuer, qui menace l’« apaisement » ? Pitié, prenons les problèmes dans le bon sens !
Et le maire de terminer : « Celui qui attise les pressions autour d’une décision uniquement dictée par la sécurité des personnes, et qui m’incombe en conscience, serait bien inspiré de réfléchir sur la notion de responsabilité. » Un conseil, cette fois, Monsieur le Maire : allez expliquer aux chrétiens d’Orient, qui bravent la peur et les menaces pour processionner derrière le Saint Sacrement dans les rues de leurs pays en guerre, qu’ils feraient mieux de « réfléchir sur la notion de responsabilité »…
Des islamistes menacent de tuer ? On fait ce qui est en notre pouvoir pour les en empêcher, on met en place, si nécessaire, la protection qu’il faut. Mais se cacher relèverait de la lâcheté. Et quand ces islamistes auront repéré l’église, faudra-t-il retourner dans les catacombes ?
« Fuir serait les laisser gagner », répètent souvent les chrétiens persécutés… Pour eux, la messe est une raison de vivre. Quoi de plus beau qu’une raison de vivre qui accepte de devenir, dans le pire des cas, une raison de mourir ?
C’est dans les ténèbres qu’il y a le plus besoin de la lumière : ce n’est peut-être pas au moment où certains tentent de nous y plonger qu’il faut se taire et la cacher…
Source : http://www.bvoltaire.fr
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Belgique : Laura, 24 ans, en bonne santé physique, sera euthanasiée cet été .
La Belgique est en train de devenir folle. Et ceux qui prévenaient, lorsqu’elle adoptait l’une des premières lois d’euthanasie au monde, qu’elle s’engageait sur une pente glissante qui l’enfonce de plus en plus loin dans l’horreur voient leurs avertissements confirmés. La dernière histoire en date est contée par De Morgen, qui a rencontré « Laura », 24 ans, candidate à l’euthanasie. Elle est en excellente santé physique. De nombreux amis l’entourent. Elle apprécie de sortir – au théâtre notamment – et elle aime le bon café. Sa vie prendra fin cet été. Pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas envie de vivre. Les dépressions la tourmentent : depuis trop longtemps, elle s’imagine que « vivre, ce n’est pas son truc ».L’histoire de la jeune femme est terrible. Elle naît dans une famille qui éclatera du fait de la violence et de l’alcoolisme de son père : la séparation s’imposera en raison du dangercet la petite passera beaucoup de temps chez ses grands-parents maternels, qui lui offrent sécurité, affection, structure. Malgré tout, dès la grande section, elle se demande se qu’elle fait sur terre. A six ans, elle rêve de se tuer. C’est le début d’un long tunnel, qui passera par l’automutilation, l’incompréhension, les souffrances.Laura a besoin de croire que ce n’est pas son enfance chaotique qui lui a donné ce désir d’autodestruction : « Même si elle a contribué à ma souffrance, je suis convaincue que j’aurais eu ce désir de mort si j’avais grandi dans une famille tranquille et stable. Je n’ai tout simplement jamais voulu vivre. »Après une scolarité difficile, marqué par les comportements autodestructeurs dont la gravité n’a pas frappé les responsables de l’école, « Laura » se lance dans le théâtre, emménage avec une amie : « J’avais tout en fait : un appartement sympa, une passion amoureuse très agréable, j’étais occupée à plein temps par le théâtre ». La voilà donc au sein d’une relation homosexuelle qu’elle lâche après s’être disputée avec son amie en raison de sa dépression.A ce moment-là un psychiatre la met au défi de se faire interner, en abandonnant le théâtre. Elle se laisse convaincre et découvre une vie « lourde » : ses automutilations augmentent en intensité, elle se frappe contre les murs. Elle a l’impression d’abriter un monstre qui cherche à s’échapper de son corps. L’agressivité, la colère, la douleur ne sont en rien soignés par les psychiatres et Laura est une patiente si difficile qu’elle est régulièrement renvoyée chez elle pour que le personnel puisse souffler.C’est à l’asile psychiatrique qu’elle rencontre « Sarah », qui organise précisément sa propre euthanasie. « Laura » est séduite : les deux femmes parlent de la mort et elle décide de réclamer elle aussi une piqûre mortelle.Entre la demande et l’exécution, il faut compter entre un an et dix-huit mois. Laura l’a faite ; l’échéance est pour l’été. Il lui a fallu d’abord acquérir la conviction – à l’aide de sa thérapie – que son enfance n’était pas la cause de ses souffrances, mais quelque chose qu’elle porte en elle.Poignant récit… Abîmée par la vie, par la désespérance qui la hante, par on ne sait quelles thérapies et autres pédagogies qui ont peut-être aggravé sa situation. Laura ne se supporte pas… Elle souffre d’un mal de notre temps, lié à l’identité et à l’être.Trois médecins ont décidé qu’elle souffrait de manière insupportable et qu’elle doit pouvoir mourir.A l’heure actuelle, Laura s’efforce d’offrir à ses proches – sa mère, ses grands-parents – le plus de présence possible. Et elle organise tout : sa mort dans le studio où elle passe deux jours par semaine, ses funérailles… « Je trouve cela agréable d’y penser. » Elle prépare ses dernières paroles.Voilà où mène l’autonomie du patient, poussée à l’extrême.Voilà où mène la faillite d’un système qui ne sait plus donner de raisons de vivre.
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