• Vive l'Autriche libre ?

    57050394c361880e1a8b45c0  Selon Sputnik et RT, Othmar Commenda, le chef d'état-major des armées autrichiennes a fait quelques déclarations remarquées lors de la visite d'Etat à laquelle il participe à Moscou.  Aurons-nous un jour une telle liberté de ton dans la bouche du CEMA français?
    Les forces armées autrichiennes sont prêtes à collaborer avec la Russie malgré les recommandations reçues d'autres puissances mondiales, a déclaré le chef d'Etat-major de l'Autriche, le général Othmar Commenda lors d'une rencontre avec son homologue russe Valery Guerassimov.La visite du chef des armées autrichiennes survient sur fond de crise dans les relations russo-européennes. La situation est aggravée par les sanctions antirusses de la part des Etats-Unis, largement soutenues par les pays européens.M.Commenda a souligné que sa réticence à se soumettre aux dictats de certains autres Etats était l'une des raisons de sa visite en Russie.
    "Je n'ai pas envie de suivre les instructions de quelqu’un qui me dirait à qui parler ou à qui refuser de parler. C'est la raison pour laquelle je voudrais vous rendre visite".
    Il a indiqué que les autorités autrichiennes suivaient attentivement les changements de la situation actuelle dans le monde.
    "Ce n'est que de concert que nous pouvons résoudre les problèmes en question. Et la Russie est beaucoup plus proche de l'Autriche que toute autre grande puissance du monde".
    Le chef d'Etat-major autrichien s'est également dit intéressé par l'opinion personnelle de son homologue russe concernant la situation au Proche-Orient.Le général autrichien a rappelé que la Russie et l'Autriche avaient des relations de longue date et a invité son homologue russe à venir en Autriche.
    Toutefois un media en langue allemande semble tempérer au plan politique cet enthousiasme militaire. C'est du moins notre impression, mais notre allemand n'étant plus très performant, nous faisons derechef appel à nos lecteurs pour 1/nous traduire l'essentiel de la substance de cet article, 2/repérer à qui appartient le journal qui le publie. Paula Corbulon

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  • Nuit noire à Compiègne : 34 véhicules de la Ville incendiés et des vigiles attaqués au Clos-des-Roses [VIDEO]

     Par la rédaction pour Courrier picard ..

    Dans la nuit du 6 au 7 avril, un incendie volontaire s'est déclaré dans un centre technique abritant des véhicules de la municipalité de Compiègne. Au même moment, une attaque a été conduite contre des vigiles au Clos-des-Roses.  
    La nuit du 6 au 7 avril 2016 restera gravée dans les esprits.
    Vers 23 heures, les pompiers de Compiègne ont été appelés pour un incendie au centre technique municipal, rue du Camp-de-Compiègne, dans le quartier Bellicart.

    Deux départs de feu

    Sur place, d'impressionnantes flammes dévorent le double hangar municipal, environ 4500m2.
    Deux départs de feu sont constatés, ce qui excluent rapidement l'hypothèse d'un accident.
    Des explosions se sont fait entendre dans une partie de la ville.

    Autre alerte : des troubles au Clos-des-Roses

    Alors que la police intervient également au centre technique, une autre alerte est lancée : il y a des troubles dans le quartier du Clos-des-Roses.
    Les vigiles mis en place par l'Opac depuis le début de la semaine dans le square Baudelaire, connu pour son trafic de drogue, sont attaqués.
    Chaque jour, ces derniers arrivent vers 10 heures du matin et quittent normalement les lieux à minuit, sous bonne escorte de la police.

    Une cinquantaine d'assaillants

    Selon nos informations, un groupe d'une cinquantaine de personnes s'en est pris à eux.
     Les vigiles se seraient réfugiés dans un appartement, qui aurait été pris d'assaut.
    D'importantes forces de police sont rapidement intervenues pour les extraire du quartier.
     Il n'y aurait pas eu de blessé.

    Un quartier sous tension


    Depuis l'arrivée des vigiles, la tension montait dans ce quartier sur lequel la police et la justice ont mis une importante pression depuis plusieurs mois.
    Opérations coup de poing, interpellations, interventions régulières de la police municipale pour démonter les "cabanes" utilisées pour vendre de la drogue...

    34 véhicules détruits, 18 sauvés par les pompiers

    A deux heures du matin, les pompiers - une trentaine, venus de Compiègne, Thourotte et Estrées-Saint-Denis, intervenaient toujours au centre technique municipal.
    Bilan : 34 véhicules de la Ville détruits.
     Dix-huit autres ont été sauvés par les combattants du feu.
     L'un des hangars a été grièvement endommagé.
    Plusieurs élus et le sous-préfet de Compiègne étaient sur place.
    Pour les autorités, le lien entre l'incendie et les événements du Clos-des-Roses apparaît comme évident.
    Le feu comme diversion avant l'attaque contre les vigiles?
     L'enquête, qui devrait être confiée à la police judiciaire de Creil, devra éclaircir les circonstances de la soirée.


    Compiègne : 34 véhicules incendiés et des... par courrier-picard

    Julien Barbare

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  • 05 avril 2016

    FN82 : LE RESPONSABLE DU FNJ QUITTE LE PARTI AVEC PERTES ET FRACAS !

    Capture d'écran : Rudy Bonnel est à droite sur la photo Le responsable des jeunes FN pour la région Midi-Pyrénées, Rudy Bonnel, vient de claquer, et avec force, la porte du Front. Il était aussi, jusqu'à ce jour, secrétaire départemental 82 du FNJ* et délégué du canton de Castelsarrasin.  Dans une lettre ouverte très virulente adressée à Marine Le Pen et publiée sur son compte Twitter, il reproche, non sans courage, aux dirigeants de son parti de mépriser le travail des jeunes militants locaux et notamment d'avoir "parachuté" de la région parisienne un cadre pour assister le groupe FN au Conseil régional MPLR. Sans cacher qu'en sa qualité de responsable des jeunes frontistes de Midi-Pyrénées, il avait postulé à cet emploi. Pour Bonnel, le FN est tout simplement devenu un parti politique comme les autres, qui ne tient pas plus les promesses faites à ses plus fidèles militants que celles prodiguées aux électeurs. Rien moins. Et de prédire quelques difficultés aux prochaines élections... Voilà une sortie fracassante qui ne doit pas réjouir le secrétaire départemental (et conseiller régional) Viallon, lequel est toujours muet sur les réseaux deux jours après la publication de cette lettre... * Front National de la Jeunesse Source : http://politiccircus.blogspot.fr/

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  • Le patron marocain de l’antiterrorisme prévient de potentielles attaques à l’arme chimique en Europe

    © 
    Fabian BimmerSource: Reuters 
    Le chef de l’agence de lutte contre le terrorisme a prévenu lundi de la menace croissante d’attaques aux armes chimiques planifiées par les djihadistes de Daesh, ajoutant avoir déjoué 25 attaques dans son pays au cours de la seule année dernière.
             
    Selon Abdelhak Khiame, directeur de Bureau central d'investigations judiciaires (BCIJ), parmi les 25 attaques que son unité a déjouées au Maroc, l’une d’entre elle, au mois de février, impliquait l’emploi de gaz moutarde.
    La cellule de Daesh, qui avait passé du matériel en contrebande depuis la Libye, s’apprêtait à lancer des attaques chimiques sur quatre villes ainsi qu’un attentat suicide.
    «Il est très possible que Daesh utilise ce processus pour cibler le Royaume-Uni et d’autres pays européens», a-t-il expliqué au tabloïd britannique The Sun
    «Ils ont déjà des brigades d’enfants que nous savons qu’ils entraînent dans leurs camps, afin de les utiliser lors d’attaques terroristes en Europe. Quant aux armes chimiques, nous avons constaté à quel point il est facile de les préparer».
     
    «Les substances utilisées dans l’attaque que l’agence marocaine a contrecarrée en février sont disponibles dans le commerce à travers tout le Royaume-Uni, et dans le reste de l’Europe», a expliqué Abdelhak Khiame.
    Le mois dernier, les forces spéciales américaines ont mis la main sur le responsable des armes chimiques de Daesh, qui a admis que le groupe comptait utiliser du gaz moutarde dans ses futures attaques.
     L’homme a été capturé par les forces récemment déployées sur le terrain par le Pentagone afin de conduire des raids contre Daesh, information confirmée par un officiel américain.
    Il est pour l’instant détenu en Irak, toujours selon la même source.
     
    En février dernier, le coordinateur du renseignement américain James Clapper et le directeur de la CIA John Brennan ont pour la première fois ouvertement accusé Daesh d’utiliser des armes chimiques, ainsi que de fabriquer des petites quantités de chlore et de gaz moutarde en Syrie et en Irak.

    https://francais.rt.com/

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  • Défections en série chez les élus FN
    EXTRÊME DROITE. Des dizaines de conseillers municipaux et départementaux, élus avec la vague frontiste, ont pris leurs distances avec le parti. En cause : des bisbilles locales mais aussi des désaccords de fond.

    Défections en série chez les élus FN

    Le Luc (Var). Premier maire FN du Luc en mars 2014, Philippe de La Grange a démissionné un an plus tard pour « raisons de de santé ». Depuis deux élus lui ont succédé
    (Photopqr/« Nice-Matin »/Franz Bouton.)
    La municipalité de Tonneins (Lot-et-Garonne) ne compte plus un seul élu FN. Les trois conseillers municipaux du parti de Marine Le Pen ont tous jeté l'éponge début mars pour cause de « désaccord profond » avec le chef de file Front national du département.

    A Marmande, Agen, ou encore Villeneuve-sur-Lot, pas moins de onze frontistesavaient déjà fait de même. Et le Lot-et-Garonne n'est pas une exception. En Auvergne, en région parisienne, dans le Var... partout en France, des conseillers municipaux ou départementaux, élus avec la vague Bleu Marine en 2014 et 2015, prennent du champ. Les détracteurs du parti d'extrême droite estiment que ces défections touchent « 15 % » des 1 600 élus du FN dans l'Hexagone, soit près de 240 personnes ! Le dernier pointage réalisé par la direction du Front national fait, lui, état d'« une petite centaine » qui aurait claqué la porte en l'espace de deux ans.

    Défections en série chez les élus FN

    « C'est la vie normale d'un parti politique. Dans le même temps, nous avons aussi attiré des élus d'autres formations. Un conseiller UMP de Limoges par exemple vient de nous rejoindre », tempère Nicolas Bay, le secrétaire général du FN. Rien d'alarmant donc à en croire les cadres frontistes. « Diverses raisons expliquent ces départs. Certains ont déménagé, d'autres espéraient des responsabilités qu'ils n'ont pas eues, ou rêvaient d'obtenir une place éligible pour les régionales, il y a aussi parfois des désaccords entre les personnes, détaille Nicolas Bay. Et puis nous avons aussi dû exclure certaines personnes qui ne faisaient pas l'affaire. Sur 1 600 élus, c'est inévitable, certains se révèlent malheureusement inadaptés à leurs fonctions. »

    Depuis 2014, le FN a effectivement changé de dimension. Jusqu'à cette date, le parti d'extrême droite n'alignait qu'une petite soixantaine d'élus locaux sur tout le territoire. « Pour les municipales, ils ont dû trouver des candidats pour constituer des listes dans plus de 562 villes de 10 000 habitants. En comptant les petites villes, cela fait près de 20 000 personnes. C'est énorme. Forcément, il y a eu de l'improvisation », constate pour sa part un ex-frontiste resté fidèle à Jean-Marie Le Pen. Et, dans certains cas, la mayonnaise n'a pas pris : « Certains ont un passé politique différent, ce qui occasionne un choc des cultures. D'autres découvrent la politique, ils ne sont pas préparés à faire face aux bourrasques de cet univers. Enfin, il y en a aussi qui croyaient être dans un parti de droite et qui ont découvert qu'ils étaient à gauche », avance, goguenard, cet ancien responsable.

    Défections en série chez les élus FN

    Ces déçus aiguisent les appétits. Le Parti de la France animé par Carl Lang — un historique du Front banni par Jean-Marie Le Pen en 2008 — espère bien les récupérer : « Nous allons ouvrir une structure d'accueil pour les anciens élus du Front. Une petite dizaine d'entre eux nous a déjà rejoints », note Lang, qui assure ne « pas faire de débauchage, même si la porte est ouverte ».

    http://www.leparisien.fr/


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