• Phénomène de « l’emprise » : bientôt tous violeurs ?

    Le légitime dégoût qui nous tord l’estomac face au spectacle de la multiplication des « scandales sexuels » frappant les pseudo-élites politico-médiatiques ne doit pas pour autant nous faire perdre tout discernement ni nous pousser à mélanger des « affaires » qui n’ont rien à voir les unes avec les autres. Comme à chaque « emballement médiatique », tentons, pour notre part, de ne pas participer aveuglément à hallali,  et d’analyser sereinement un phénomène qui prend aujourd’hui une ampleur sans précédent.

    Confrontés au grand déballage actuel, joyeusement relayé par les journalistes – dont on notera cependant qu’ils sont restés bien longtemps muets et que ce ne sont jamais eux qui révèlent les scandales dont ils se repaissent –  il convient de distinguer principalement deux choses : d’une part les abjectes agressions sur mineurs,  les sordides affaires d’inceste et de pédocriminalité (Duhamel, Epstein, Berry,…) et de l’autre les problématiques liées au « MeToo » et à la dénonciation devenue frénétique des attitudes ou gestes « déplacés », « machistes », « patriarcaux », les souvenirs tardifs de starlettes « harcelées » et les remords soudains d’anciennes groupies…

    Si pour les premiers cas, on ne peut qu’attendre que la justice fasse son œuvre de la façon la plus implacable et la plus dissuasive possible, il convient d’aborder les seconds avec beaucoup plus de prudence et de précaution tant ils sont basés sur des éléments nettement plus discutables et notamment le désormais fameux phénomène de « l’emprise ». Qu’est-ce que « l’emprise » ? C’est un concept vague et fourre-tout, extensible à l’infini, sensé  décrire un état de dépendance et de soumission subi par un individu – quasi-exclusivement une femme –  vis-à-vis d’un autre – presque toujours un homme.  Ce terme de psychologie de comptoir, dénué de toute valeur scientifique et encore moins juridique, aurait dû rester cantonné aux pages des magazines féminins dont il est issu. Hélas, son usage s’est extraordinairement étendu et il n’est désormais plus rare de le voir cité dans des affaires délictuelles ou criminelles.

    Cette tendance est évidemment extrêmement inquiétante car le concept « d’emprise » remet totalement en cause celui de « consentement ». En effet le dit « consentement » pouvant être obtenu grâce à « l’emprise », il n’a donc pas de valeur intrinsèque et définitive, et devient caduc dès lors que la « victime » prend conscience d’avoir été dans cet état « d’emprise »… Le consentement ne dépend donc plus d’un accord commun mais des humeurs, velléités et changements psychologiques de celle qui peut ou non considérer avoir été sous « l’emprise » de quelqu’un. Le « consentement » accordé à l’instant T par la femme devient donc relatif et peut être récusé postérieurement, même des années plus tard.

    On voit bien à quelle absurde et tragique situation cette fumisterie psychanalytique peut mener, quelle formidable porte ouverte elle est à toutes les vengeances, tous les chantages et tous les règlements de comptes ! Dans le monde de « l’emprise » il n’y a plus de faits objectifs mais des « ressentis » et la parole de la femme est divinisée, sacralisée, elle vaut toutes les preuves du monde. Dans un tel contexte, le fantasme hargneux des plus activistes des féministes est atteint : tout homme est un violeur potentiel, puisque tout homme ayant eu des rapports intimes avec une femme peut être accusé demain d’avoir obtenu ses faveurs grâce à « l’emprise ». Vous avez payé le restaurant, des fleurs et le taxi ? Emprise financière ! Vous vous êtes montrés fin, drôle et divertissant ? Emprise intellectuelle ! Vous avez longuement parlé de son père au cours du dîner ? Emprise psychologique ! Et demain, les groupies jeteuses de petites culottes qui font le siège des hôtels de chanteurs et musiciens porteront-elles plainte contre ces derniers s’ils ont exaucé leurs prières en les faisant monter dans leur chambre en arguant de « l’emprise » dans laquelle elles se trouvaient lorsqu’elles agitaient une bannière « Baisez-nous ! » (sic… vu  à un concert des BB brunes) ?  Et toutes les femmes qui usent de leurs charmes – si, si, ça existe – pour réussir professionnellement ou matériellement pourront-elle se retourner contre leurs « bienfaiteurs » au nom de « l’emprise » si les gains obtenus ne sont pas à la hauteur de leurs espérances ?

    On  voudrait n’avoir qu’à en sourire si la situation n’était pas aussi inquiétante et ne risquait d’aboutir à une sorte de matriarcat totalitaire où les relations sentimentales et sexuelles seraient régies devant les tribunaux au bon vouloir de ces dames, de leurs remords, de leurs regrets, de leurs ressentiments, de leur plan de carrière ou de leur besoin de reconnaissance.

    C’est pourquoi il est impérieux de distinguer clairement des faits délictueux et criminels avérés, qui reflètent d’ailleurs l’état de pourrissement total d’une certaine bourgeoisie progressiste, et l’extension à l’infini d’un féminisme obsessionnel et d’une victimisation systématique – et se voulant irréfutable– de la femme. Par ailleurs, la confusion entretenue entre les deux problématiques, la volonté de mettre tout sur le même plan (par exemple un enfant violé par son beau-père et une actrice acceptant un rendez-vous avec un producteur dans sa chambre d’hôtel…) a tendance à banaliser voir à occulter les faits les plus graves, comme par exemple la violence sexuelle extrême (viols collectifs, prostitution forcée…) qui règne dans les cités et les banlieues, dont les auteurs bénéficient pourtant généralement d’une indulgence insane et dont le sort des victimes émeut curieusement bien moins les rédactions parisiennes que les déboires germanopratins d’une écrivaine en mal de notoriété.

    Rappelons pour finir que la présomption d’innocence reste l’un des piliers fondamentaux d’un État de droit, même quand il s’agit de personnalités peu estimables ou ragoûtantes, ou d’ennemis politiques.

    Xavier Eman

    Source : http://parisvox.info


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  • Nord : Récemment sorti de prison, il enlève et agresse sexuellement une fillette de 4 ans

    Illustration. (Adobe Stock)

    Un homme âgé de 48 ans est accusé d’avoir enlevé et agressé sexuellement une petite fille de 4 ans à Villeneuve-d’Ascq, près de Lille (Nord) ce dimanche. Les policiers sont parvenus à l’identifier et l’interpeller. L’homme est bien connu de la police.

     

    Une mère de famille faisait ses courses ce dimanche vers 11 heures, au supermarché Auchan situé dans le centre commercial V2 de Villeneuve-d’Ascq, lorsqu’elle a soudainement perdu de vue sa fillette de 4 ans qui l’accompagnait. Après de longues minutes d’inquiétudes, elle a finalement retrouvé son enfant. Une fois les courses terminées, elle a rejoint sa voiture et s’est dirigée vers le domicile familial.

    Durant le trajet, la fillette a raconté à sa mère qu’un homme l’avait agressée durant la dizaine de minutes où elle avait disparu. Selon une source proche de l’enquête, la petite fille a expliqué avec ses mots ce qu’elle venait de subir, évoquant un « méchant Monsieur », qui « lui avait baissé le pantalon puis la culotte et lui avait fait mal avec ses doigts ».

    Sorti de prison en août dernier

    La mère de famille s’est présentée peu après au commissariat de Lille pour déposer plainte. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la brigade de protection de la famille de la sûreté urbaine. Les enquêteurs ont exploité les vidéosurveillances du supermarché pour mettre un visage sur l’auteur de cette agression sordide.

    Un homme a rapidement été identifié. Bien connu des services de police pour des faits du même type, le suspect de 48 ans avait été remis en liberté en août dernier après huit années d’emprisonnement selon cette même source. La suite des investigations a permis de déterminer qu’il était reparti en métro et qu’il était descendu à la station « Porte de Valenciennes ». Les photos du suspect ont été partagées aux différentes patrouilles et des recherches ont été réalisées dans le secteur.

    Il nie les faits

    C’est par cet intermédiaire qu’un équipage du service interdépartemental de sécurisation des transports en commun (SISTC) a repéré le mis en cause dans la rue Solférino à Lille, ce mardi vers 11h15. L’homme a été interpellé et placé en garde à vue pour enlèvement et agression sexuelle sur mineur de 15 ans.

    Lors de ses premières auditions, il a nié en bloc les faits reprochés, malgré qu’il a été filmé avec la victime dans le supermarché. La fillette a également reconnu son agresseur, dont la garde à vue a été prolongée. L’homme devrait être déféré ce jeudi.

    https://actu17.fr/nord-recemment-sorti-de-prison-il-enleve-et-agresse-sexuellement-une-fillette-de-4-ans/


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  • OASIS PIEDS NOIRS ( Enumeration des groupes PN ..100 % PN ) 

    République Française - Ministère de la Défense Effectifs des Harkis en 1962 Disparus ou exécutés par le FLN : environ 150.000 


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  • Trans, féministes, végans… les héros de la Génération Brut ! (DÉCRYPTAGE)

    Trans, féministes, végans… les héros de la Génération Brut ! (DÉCRYPTAGE)

    Dans une série documentaire disponible depuis le 29 janvier dernier sur Prime Video, le média Brut s’essaie au format long. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les producteurs ont annoncé la couleur d’entrée de jeu. Au fil de cinq séries de portraits, Brut nous présente les « héros » de « sa » génération, celle des millenials : végans, féministes, trans, libertins, écolos… Non seulement les reportages regorgent de propagande progressiste, à la limite de la caricature, mais en plus l’exercice est raté. À trop vouloir faire dans l’idéologie, Brut nous sert une production ennuyeuse et sans intérêt. L’occasion pour Christopher Lannes de nous raconter sa douloureuse expérience, un véritable voyage au pays des bobos névrosés :

    Source : TV Libertés


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