• La nouvelle escroquerie médiatique pour terroriser les Français : la température « ressentie »

    Il n’a échappé à personne que cette semaine s’est ouverte médiatiquement sous le signe de la « température ressentie ». Tous les médias aux ordres s’en gargarisent au moment où enfin un temps hivernal pourrait s’installer un peu durablement autour de 0°C avec neige et verglas. Ce qui historiquement n’a rien à voir avec les grands hivers, courants jusqu’au milieu des années 50, qui ont totalement disparu de France depuis la fin des années 80.

    Cette « température ressentie » n’est qu’un artefact purement issu d'une modélisation qui ne reflète en rien un quelconque « ressenti » par un individu donné et elle conduit à une température estimée qui n’a aucune réalité. Dès que le vent dépasse 30 km/h la température « ressentie » va plus que doubler négativement ! Angoisse assurée !

    L’heure est donc, dans l’actualité, au ressenti obligatoire, justifiant des chiffres apocalyptiques. Dès lors, la question se pose : pourquoi ?

    Après le Covid, à l’approche de la prochaine conférence sur le climat, à quel lobbying, cette nouvelle propagande de terreur climatique peut-elle bien servir ?

    Elle ne s’est sûrement pas mise en place par hasard !

    Article complet à lire ici : https://noussommespartout.com/temperature-ressentie-maintenant-va-t-on-aussi-ressentir-a-notre-place/reflexions/


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  • Argenteuil : une facture de 900 000 euros pour enlever 8 000 t de déchets

    Argenteuil, mercredi 25 novembre. La municipalité a sollicité des aides pour ne pas assumer seule la totalité du coût de l’enlèvement de ces déchets

     Argenteuil, mercredi 25 novembre. La municipalité a sollicité des aides pour ne pas assumer seule la totalité du coût de l’enlèvement de ces déchets LP/Thibault Chaffotte.

     
     
    Mauvaise surprise pour la ville. L’enlèvement des ordures et gravats retrouvés après le départ des Roms va coûter 900 000 €, soit deux fois plus que le montant prévu initialement.

    C'est une dépense dont la mairie d'Argenteuil se serait bien passée. 

    L'enlèvement des déchets trouvés après le départ des Roms qui s'étaient installés sur un terrain rue des Grands-Saules devrait coûter environ 900 000 euros, contre 400 000 € estimés initialement. Cette colline de détritus et gravats représente un volume de 8 000 t.

    « Le nettoyage a commencé le 20 décembre », précise Xavier Péricat (LR), premier adjoint au maire. Devant l'ampleur de cette accumulation, la municipalité avait étudié la possibilité de procéder à un enlèvement par voie fluviale. Elle a finalement choisi de le faire avec des camions. À raison d'une vingtaine de chargements par jour, l'ensemble des déchets devrait avoir été enlevé au bout de deux mois, soit fin février.

    Les Roms avaient quitté les lieux en novembre

    Les familles roms qui occupaient ce terrain depuis l'automne 2019 seraient parties en novembre dernier, à la suite d'un quiproquo. Leur éviction, qui avait fait l'objet d'un arrêté en octobre, avait été suspendue pendant le confinement. Les quelque cent personnes, qui habitaient là auraient quitté les lieux d'elles-mêmes, le jour de l'intervention des services municipaux pour condamner l'entrée de la rue des Grand-Saules, afin d'empêcher les camionnettes d'y accéder pour déverser leurs déchets. Cette opération aurait été mal interprétée par les Roms.

     LP/T.C.
    LP/T.C.

    Majoritairement des déchets industriels trouvés sur place

    Tout porte à croire que pendant plusieurs mois, ce terrain a été exploité comme une décharge illégale. « Des entreprises peu scrupuleuses sont venues décharger à cet endroit, estime Xavier Péricat. Tout ça reste assez confus. » Une partie des déchets vient aussi des activités de ramassage de métaux et autres objets de récupération par les Roms, mais elle représente une minorité. « On est sur des déchets industriels pour une large part », souligne Xavier Péricat. Malgré le coût supplémentaire que cela représente, la ville s'est attachée à effectuer un tri entre les objets ferreux et les autres.

    Pour tenter de limiter l'impact de cette dépense sur les finances de la commune, la municipalité est en train de voir si elle peut obtenir des aides. Une fois le site nettoyé, la ville va pouvoir y réaliser son projet d'aménagement des berges. Le calendrier de ce projet n'est toutefois pas encore connu.


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  • Castex: «Il ne suffit pas d’acheter des lits chez Ikea pour ouvrir des places en réanimation»

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  • Des blanches cinglées font la grève de l’utérus pour sauver la planète

    La musique est relaxante, quelques trentenaires sont réunis assis par terre dans une salle, une bougie à la main et regardent « une femme enceinte célébrer la maternité en harmonie avec la nature ». Comprendre : une femme entièrement nue s’exposer au regard des autres qui peuvent venir toucher son gros ventre et l’observer se recouvrir le corps de terre. Non, ce n’est pas une secte (quoique…) mais bien une manifestation dans l’est de Londres « où des artistes interrogent la maternité au regard de la crise climatique ». Ils portent un casque sur les oreilles distillant le discours de deux militants de BirthStrike. Ainsi conditionnés, ils apprennent que « sur le plan moral, c’est un mauvais choix que de faire des bébés ».

    Un documentaire Arte disponible depuis le 4 février met en lumière le combat de Blythe Pepino, cette activiste à l’origine du collectif BirthStrike. Elle renonce à la maternité pour provoquer un changement radical de politique climatique. Son conjoint qui la soutient bien évidemment glisse quand même à la caméra : « J’ai l’impression de ne pas avoir le droit de dire ce que je pense, ni d’être en désaccord. » Blythe de lui répondre : « Je n’imagine pas changer d’avis. » C’est sans doute ce fameux retour du pouvoir féminin du XVIIIe siècle que dénonce Éric Zemmour.

    Les Hamilton, quant à eux, n’auront qu’un enfant pour diminuer leur empreinte carbone. Ils s’appuient sur une étude selon laquelle un enfant en moins réduit la consommation de 58,5 tonnes de CO2 par an. Attristés de voir leur fille unique jouer toute seule et bien conscients qu’il lui manque un frère ou une sœur, ils se rassurent en pensant au climat : « S’il y a trop d’être humains, la planète va disparaître tôt ou tard. »

    De ce documentaire émane un sentiment de mal-être. Non pas à cause des catastrophes climatiques prédites par des collapsologues, mais bien pour cette génération no future, sûre de renouer avec la nature en se privant de ce qu’il y a de plus naturel : mettre au monde un enfant. Certains regards sont vides ou fuyants et des silences bien trop pesants, mais les arguments écologiques, eux, sont bien présents. Seuls les quelques enfants filmés apportent un peu de vie et de spontanéité dans ce milieu de désespérés. Alors, pour paraphraser notre rédac chef qui confessait, dans Famille chrétienne, avoir pollué « par pensée (je rêvais d’avoir des bébés), par parole (je l’ai même dit à mon futur mari), par action (donc je les ai faits) et par omission (j’ai oublié de demander la permission à ces écolos) », ces petits pollueurs nés sont les plus beaux cadeaux qui nous soient donnés.

    Mais croire que la pression démographique aggrave le climat n’est pas exact, puisque ce sont principalement les pays de l’ subsaharienne qui connaissent les taux de croissance démographique les plus élevés du monde, alors que leur contribution aux émissions de gaz à effet de serre (GES) est très faible, selon l’étude  Carbone et inégalité : de Kyoto à Paris. C’est bien la preuve que la théorie malthusienne ne tient pas…

    Iris Bridier

    Source : http://bvoltaire.fr


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