• L’incroyable stupidité du fonds d’aide à l’industrie automobile !!

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    Ce pays et ceux qui le dirigent marchent sur la tête et donc sur la dette… explications !

    Voici ce que nous rapporte cet article des Echos: « très inquiets pour l’avenir de la filière, qui risque de se retrouver prise en tenaille entre la conversion vers l’électrique (qui perturbe les clients et demande de très lourds investissements) et le retournement du marché mondial. « 2020 sera l’année de tous les dangers pour l’industrie automobile en Europe », a répété à plusieurs reprises Jacques Aschenbroich, le PDG de Valeo, pointant « l’évolution réglementaire d’une violence inouïe, qui entrera en vigueur l’an prochain. »
    « Accompagner la transformation écologique »
    Bruno Le Maire a tenté de répondre à ces inquiétudes. Il a notamment annoncé la création d’un « fonds pour accompagner la transformation écologique » (et les restructurations qu’elle entraîne, dans les usines qui fabriquent des moteurs diesel notamment ), doté de 25 millions d’euros. Un autre fonds, doté également de 25 millions d’euros, doit servir à soutenir la trésorerie des sous-traitants de la filière « pour accompagner le choc conjoncturel que nous attendons en 2020 », a expliqué le ministre. Ces 25 millions doivent générer jusqu’à 200 millions de prêts garantis ».
    On pourrait se dire que c’est génial d’aider les sous-traitants pour éviter les licenciements. Oui. Evidemment. Nous sommes tous pour sauver l’emploi telle n’est pas la question.

    Le problème ici est de nature économique.
    Pour que l’industrie automobile aille mieux, l’Etat dans sa grande clairvoyance décide de déplafonner le malus écolo, ce qui veut dire concrètement que les voitures les plus polluantes seront de moins en moins vendues puisque de plus en plus chères dans la mesure où elles sont de plus en plus taxées à travers ce malus sans limite !!
    Vous me suivez ?
    Donc, moins les voitures vont se vendre, plus on sera obligé d’aider les sous-traitants qui vendront à leur tour de moins en moins de pièces…
    Et comment va-t-on financer les aides aux sous-traitants ?
    En taxant encore plus les voitures que les constructeurs n’arrivent plus à vendre… et en affectant le produit de ces taxes (en partie seulement) aux sous-traitants…
    Avec un mécanisme fonctionnant de cette façon, plus on va vouloir aider les sous-traitants en taxant les voitures neuves, moins il se vendra de voitures, et moins les sous-traitants auront de travail et plus ils auront de difficultés.
    C’est le mécanisme lui-même qui est hallucinant dans sa conception économique !
    C’est une aberration intellectuelle.
    Elle est à l’image du naufrage de notre pays.
    Elle illustre parfaitement les causes et les raisons (en partie) responsables de notre descente collective aux enfers.

    Charles SANNAT

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  • Réponse à Têtu et Act Up : ce ne sont pas les « fachos » qui traumatisent les enfants !

    C’est le monde à l’envers ! Les militants anti-famille, n’ayant plus aucun argument pour défendre leur PMA créatrice d’orphelins, cherchent désormais à s’en prendre directement aux enfants des défenseurs de la famille traditionnelle.

    En effet, le magazine Têtu a donné la parole à l’association d’extrême gauche Act Up, celle-ci déclarant : « Des fachos comme parents, ça traumatise les enfants ».

    Quand on sait que les exhibitionnistes acceptent les enfants dans les cortèges des Gay Pride chères à Act Up, on voit que cette accusation est tout simplement de l’inversion accusatoire !

    Ce qui traumatise les enfants, c’est d’être privés d’un père et d’une mère par des égoïstes qui s’imaginent qu’il existe un droit à l’enfant.

    Ce qui traumatise les enfants, c’est de subir des traitements chimiques et médicaux pour changer de sexe au prétexte qu’un parent dégénéré veut se faire mousser auprès de ses potes LGBTQIA²+infini.

    Ce qui traumatise les enfants, c’est de se faire lire des histoires par des monstres transsexuels déguisés et maquillés comme pour aller en soirée satanique.

    Ce qui traumatise les enfants, c’est de se faire manipuler par des cinglés qui finissent par faire défiler des petits garçons habillés en filles sur des podiums devant des appareils photo tenus par des adultes.

    Le destin d’un magazine comme Têtu et d’une association comme Act Up, c’est d’être dissous par un gouvernement sain.

    Les destin d’un enfant, c’est de grandir dans le bonheur et la quiétude, dans environnement sain et équilibré.

    Nous lutterons toujours pour le bien-être de nos enfants et la défense de nos familles. Nous remporterons cette lutte face aux pervers, face aux apprentis sorciers et face à toutes les forces de la décadence et de l’anti-France, nous serons toujours la force droite et radicalement opposée au faux progrès derrière lequel se cache la perversion et la dépravation.

    Source : http://pdf14.com


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  • Bilal Hassani, la bulle médiatique qui veut survivre à ses fiascos…

    Bilal Hassani vient de lancer une ligne de vêtements non genrés… Vous ne savez pas ce que c’est ? Cela veut dire des vêtements qui ne distinguent pas hommes et femmes ; unisexes, quoi…

    Vendra-t-il plus de tailleurs et combinaisons que d’albums ? Celui qui nous a été présenté comme « l’idole des jeunes », comme le favori de l’Eurovision, avant de finir 14e du concours, a vendu en réalité… 3.000 albums ! Et ce, après une exposition aussi exceptionnelle que l’Eurovision ! Pour une soi-disant idole, c’est faiblard, vous ne trouvez pas ? Le bide du disque me réconforte un peu, moi qui lui trouvais autant de talent musical que le sifflet de ma Cocotte-Minute™, et qui restais médusé devant le concert de louanges qui accompagnait un temps ses lamentables prestations.

    Bilal Hassani n’est rien d’autre qu’un produit fabriqué par l’oligarchie, une aubaine qui colle à merveille avec ce que l’on cherche à nous servir à longueur de journée, une ode à la sexualité décomplexée, débridée, dégenrée et musulmane ! Une incarnation parfaite de la déconstruction de la société, de l’ego postmoderne gonflé à l’hélium. De la jeunesse décadente que l’on cherche à promouvoir. Mieux que Loana, Nabila et Paris Hilton réunies dans une télé-réalité débile. On n’en trouve pas un comme ça à chaque coin de rue. Alors, quand on l’a sous la main, on lui pardonne ses petits écarts : en l’occurrence, ce fut la divulgation de tweets antisionistes publiés deux ans plus tôt… Une erreur de jeunesse, commenta-t-on : eh oui, un Bilal Hassani, ça ne se remplace pas en claquant dans les doigts…

    Mieux vaut le garder, le préserver, le chouchouter et s’en servir à fond : disques, vidéos, vêtements, demain peut-être savonnettes, liquide vaisselle, chasses d’eau, préservatifs ou gels lubrifiants à son effigie… Jusqu’à ce que la bulle éclate, faute de spectateurs…

    Olivier Piacentini

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Légalisation du cannabis : un dealer proteste en disant que ça va profiter à des blancs

    Dans les quartiers colonisés, les trafiquants de drogue voient d’un œil inquiet une éventuelle légalisation du cannabis en France. « Ce ne sont pas les Noirs et les Arabes qui vont avoir les commerces qui vendent ça », peste l’un d’eux. Quel aveu...

    Au pied des tours grises, Youssouf s’allume un joint en faisant patienter les clients et n’a aucune envie que son petit commerce devienne licite. Si le cannabis était légalisé, « ça serait galère : comment on va faire de l’argent ? »

    À ses côtés, Karim reste confiant. « On vendra moins cher, y aura toujours de la parallèle, car ce sera trop réglementé », élude-t-il. Moins serein, Youssouf avertit : en cas de légalisation, « ça sera le ‘fuego’ dans les cités ».

    Pour le député Jean-Baptiste Moreau (LREM), la légalisation, rejetée par le gouvernement, n’est « pas taboue » et « si on la propose, il faut savoir ce qu’on fait des gens qui sont dans cette économie parallèle. » « Un accompagnement social serait nécessaire », estime-t-il. Mais les trafiquants qui souhaitent se reconvertir « doivent prendre conscience que ces emplois seraient moins rémunérateurs ».

    Source : http://news.suavelos.eu


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  •  D'abord ,on ne se promène pas dans les bois un jour de   chasse et le pire avec un chien ,il faut vraiment d'être   vraiment innocent et d'une inconscience inouïe ...

    Femme enceinte tuée par des chiens dans l'Aisne : où en est l'enquête ?


    Elisa Pilarski était enceinte d'un petit garçon qui aurait dû s'appeler Enzo. Samedi 16 novembre, alors qu'une chasse à courre est organisée dans la forêt de Retz (Aisne), cette jeune femme de 29 ans décide d'aller y promener son chien Curtis, comme à son habitude. Entre 13 heures et 13h30, elle est victime d'une attaque. A 15 heures, elle est retrouvée morte par son compagnon. Cause du décès : plusieurs morsures de chien sur la partie supérieure du corps et à la tête. Le drame va ébranler le village, la famille d'Elisa et son compagnon Christophe, puis déclencher une polémique sur la chasse à courre. Voici tout ce que l'on sait de l'affaire Elisa Pilarski.
    Que sait-on des causes et des circonstances de la mort ?

    Dès lundi 18 novembre, les premiers résultats de l'autopsie confirment que la mort d'Elisa est due à "une hémorragie consécutive à plusieurs morsures de chien aux membres supérieurs et inférieurs ainsi qu'à la tête". Ce samedi 16 novembre, Christophe, le compagnon d'Elisa, explique avoir reçu un premier appel peu après 13 heures. La jeune femme lui aurait indiqué qu'elle avait été attaquée par "plusieurs chiens" qui l'auraient mordue "au bras et à la jambe". Après avoir tenté de l'appeler "à 35 reprises", Christophe se rend sur place. Il arrive 45 minutes plus tard, vers 14 heures.

    Christophe assure avoir croisé sur le chemin un cavalier participant à une chasse à courre, Jean-Charles Métras, qui se trouve être le commandant du groupement de gendarmerie de l'Aisne. Christophe l'aurait averti de la présence de son chien, Curtis, qu'Elisa promenait et qui aurait pu s'éloigner de sa maîtresse. Le compagnon de la victime assure que le gendarme lui aurait répondu : "A votre place, je m'inquièterais plus pour votre chien que pour les miens..." Une version formellement démentie par l'intéressé.

    Au Parisien, Christophe décrit le moment où il retrouve Curtis : "Il ne bougeait pas, me regardait et se trouvait à trois mètres de ce que j'ai pris pour un tronc d'arbre, avant de comprendre qu'il s'agissait du corps de ma femme." Le compagnon d'Elisa rajoute que la jeune femme était "dénudée, en soutien-gorge, le pantalon baissé". Il explique aussi avoir vu, dans la foulée, passer une meute d'une trentaine de chiens.
    Où en est l'enquête ?

    A quels chiens sont dues les morsures qui ont causé la mort d'Elisa ? Au croisé lévrier du couple, Curtis, ou aux 21 chiens participant à la chasse à courre qui se tenait non loin du lieu où la jeune femme est morte ? Pour le savoir, des prélèvements génétiques ont été effectués sur 67 chiens : les 5 American Staffordshire d'Elisa Pilarski et 62 chiens appartenant à l'association "le Rallye la passion" organisatrice de la chasse, présidée par Sébastien Van den Berghe. A ce jour, les résultats ne sont pas encore connus. Ils pourraient ne pas l'être avant un certain temps.

    Ce même Sébastien Van den Berghe a été auditionné six heures durant par les gendarmes samedi 16 novembre, jour de la mort d'Elisa. Il a bien confirmé "qu'il avait croisé Christophe, totalement en panique, un peu après 14 heures". Selon lui, un autre cavalier aurait "croisé un autre chien qui a été un peu agressif avec son cheval", sans précisions sur la race.

    Pour la société de vénerie, qui regroupe les associations de chasse à courre françaises, "aucun des chiens de chasse" ne peut être impliqué car aucun d'entre eux n'aurait été mordu. "On ne peut pas imaginer que Curtis, un chien de combat, (...) ait laissé sa maîtresse se faire dévorer sans la défendre ! Or, des vétérinaires ont inspecté les 62 chiens de l'équipage – 21 participant à la chasse et 41 restés à la propriété – et aucun ne présentait de traces de morsure", a déclaré jeudi 21 novembre Antoine Gallon, directeur de la communication de la société de vénerie.
    Qu'est-il advenu de Curtis, le chien du couple ?

    Le chien Curtis a été placé à la fourrière et soumis à "un examen comportemental", explique le procureur de Soissons au Parisien, vendredi 29 novembre. Contrairement à ce qu'affirmait une pétition en ligne, il n'est pas question de l'euthanasier, du moins pour l'instant. Des prélèvements ADN ont également été réalisés sur sa muselière, retrouvée non loin du corps.

    Pour l'avocate des proches d'Elisa, Caty Richard, "il est évident que l'on trouvera sur le corps d'Elisa l'ADN de Curtis, parce qu'il s'agit du chien qu'elle promenait, avec lequel elle était tout le temps en contact". Raison pour laquelle l'avocate demande à ce qu'"au-delà de l'ADN", "il conviendra de mettre en perspective les traces de morsures et les empreintes de mâchoires des chiens en cause".

    Christophe rappelle au Parisien qu'Elisa et lui étaient passionnés d'animaux, fréquentaient tous deux les concours canins et possédaient donc cinq chiens. "A la base, Curtis était à moi, mais rapidement Elisa et lui étaient devenus inséparables, à tel point que ce n'était presque plus le mien", se remémore-t-il. "Pour moi, c'est la chasse à courre, les chiens sortaient de ce précipice, Curtis a reçu beaucoup de morsures à la tête", a-t-il déclaré.

    Les obsèques d'Elisa Pilarski et de son fils, Enzo, qui sera enterré avec elle, auront lieu le samedi 30 novembre à Rébénacq (Pyrénées-Atlantiques). La famille insiste pour que ce moment, strictement intime, ne fasse l'objet d'aucune récupération, la mort d'Elisa ayant déclenché une vive polémique sur la chasse à courre. 
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