• Ahurissant. Le préfet de Police de Paris affirme à une citoyenne : « nous ne sommes pas dans le même camp »

    L’image contient peut-être : 1 personne, chapeau et gros plan
    Mis à jour le 18 novembre 2019    

    Le 17 novembre, au lendemain d’affrontements violents (voulus par l’extrême-gauche comme par le Ministère de l’Intérieur dont c’est l’intérêt) sur la place d’Italie à Paris, entre forces de l’ordre et certains manifestants lors de l’acte 53 des Gilets jaunes, une femme présentée par BFMTV comme une Parisienne dit au préfet de police de Paris, Didier Lallement, au cours d’une brève discussion : « Oui je suis Gilet jaune ».
    Alors, tournant les talons, le haut-fonctionnaire passe son chemin en répliquant, sans la regarder et en roulant des mécaniques malgré ses 50 kilos et sa casquette toujours trop grande : « Nous ne sommes pas dans le même camp, Madame.  »



    Des propos graves qui illustrent la véritable fonction de cet énergumène, franc-maçon qui admire Clemenceau faisant tirer sur des ouvriers : un préfet – par ailleurs soumis au devoir de réserve – n’est pas censé être « dans un camp » (ni le bras armé du gouvernement) et ne considère normalement pas une partie des citoyens comme des ennemis.
    Mais tel est le Régime…

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  • 150 églises par an sont cambriolées

    Auteur : Michel Janva

    150 églises par an sont cambriolées

    Les biens de l’Eglise ont toujours attirés les voleurs, qu’ils soient révolutionnaires, républicains ou de grand chemin :

    Le casse de la cathédrale d’Oloron de ce mois-ci est le dernier vol en date d’un « grand pillage des églises françaises » commencé au début du XXe siècle. « Il y a eu une première vague en 1907, après la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905, puis les vols pendant les deux guerres, et enfin, après Vatican II, dans les années 60, quand l’Église a vendu certaines œuvres, créant un marché », raconte Judith Kagan. Le marché a attiré les pillards. Dans les années 60, de grands retables en bois ou en albâtre sont volés sans vergogne, puis vendus à la découpe. Des centaines de statues grand format disparaissent, des tableaux, des objets de culte en or…

    […] Chaque année, jusqu’à la fin des années 2000, plusieurs centaines d’églises sont dévalisées tous les ans. […]

    « Il y a encore 150 églises par an qui sont cambriolées, explique-t-il, contre 300 avant, et généralement, les cambrioleurs ne s’emparent désormais que des objets du culte assez ordinaires, des chasubles ou des calices, qu’ils vendent dans des brocantes ou sur Internet. C’est fini le temps où les statues étaient découpées au burin par des équipes qui les écoulaient sur le marché de l’art ». […]

    Source : lesalonbeige


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  • Pourquoi les casseurs de la Place d’Italie n’ont-ils pas été immédiatement interpellés ?


    Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting, 69% des Français trouvent toujours le mouvement des Gilets jaunes « justifié ».

    Mais comme d’habitude, BFM WC s’est contentée de diffuser en boucle les images des casseurs occupant la Place d’Italie.

    Le saccage du monument aux morts par des casseurs sur cette place parisienne est inadmissible. Mais cette exaction ne reflète pas les nombreux ronds-points où les manifestations se sont tenues dans le calme.

    Pourquoi les émeutiers de la Place d’Italie n’ont-ils pas été immédiatement interpellés ? Pour permettre aux médias de relayer à l’opinion publique des images de violences ? Comment les émeutiers peuvent-ils détruire un monument aux morts sous l’œil des caméras des chaînes d’information en continue sans que le Préfet Lallement ne donne l’ordre à nos collègues d’interpeller les casseurs ?

    Les manifestations non-violentes s’étant bien déroulées en province ou à Paris comme celle du groupe de Sophie Tissier, n’ont pas été relayées par les médias. Regrettable.

    Les policiers ont accumulé aujourd’hui encore des heures supplémentaires avant le date noire du 5 décembre. Payer ces heures supplémentaires à une taux horaire proche du SMIC est juste scandaleux.

    Le syndicat France Police – Policiers en colère rappelle que nos métiers sont des emplois qualifiés. A minima, un policier est bachelier mais beaucoup de nos collègues détiennent des diplômes de l’enseignement supérieur (Licence, Master..). Après sa réussite à un concours de la fonction publique d’Etat, le policier suit une année de formation rémunérée. Tout ceci pour finir sous des pavés à un taux horaire proche du SMIC.. On nous prend vraiment pour des cons.. 
    Source : https://france-police.org

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  • Black-bloc ou Barbouzes ?

     

     
    Le caractère symbolique de cette déprédation suggère de plus en plus l'idée de provocations organisées dans le but de créer une réaction négative de la part de la population, de droite, notamment. 
    A qui le crime profite-t-il ?
     
    Certainement pas aux manifestants, mais à un pouvoir cynique qui n'est pas à une manipulation près se disent les mauvaises langues.
    C'est quand même curieux, ces activistes vêtus de noir qui n'ont pas, eux, été interpellés auparavant et ne font pas l'objet de poursuites judiciaires pas plus qu'ils ne participent à d'autres manifestations... qui doivent demeurer bon enfant ...

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