• De l’Irak à la Syrie en passant par la Terre sainte, de plus en plus de membres de la communauté chrétienne émigrent, sous l’effet de l’instabilité et de l’islamisme radical.

    Du pont futuriste qui enjambe le Shatt el-Arab à la confluence du Tigre et de l’Euphrate, quelques clochers hérissent encore le ciel de Bassora. Mais dans le grand port du Sud irakien, comme plus au nord à Bagdad et à Mossoul, ou encore à Damas, Jérusalem et au Caire, la présence chrétienne au Moyen-Orient ne cesse de s’étioler.

    «Nous ne sommes plus que 2000, regrette l’archevêque de Bassora, Habib Jajou. Nous étions 20.000 il y a quinze ans, nous avons pourtant quatorze siècles de présence», ajoute le responsable de l’Église chaldéenne dans ce coin d’Irak, peuplé à majorité de chiites.

    Deux mille chrétiens disséminés parmi trois millions d’habitants de Bassora! La présence chrétienne se réduit comme une peau de chagrin. Mais dans l’ancienne Mésopotamie, certaines statistiques sont encore plus alarmantes.

    [...]

    Le Figaro


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  • Le Parti de la France dénonce la venue à Marseille du prédicateur wahhabite Éric Younous

    Le Parti de la France dénonce la venue à Marseille du prédicateur wahhabite formé en Arabie saoudite, et fiché S, Éric Younous, pour y donner trois conférences dans des mosquées radicales inaugurées ou tolérées par la municipalité sous l'autorité de Jean-Claude Gaudin et Martine Vassal, candidate investie par Les Républicains aux prochaines élections municipales.

    La venue de ce conférencier qui ne cache ni sa haine de l'Occident ni sa proximité avec les thèses les plus radicales de l'islamisme est une provocation qui aurait dû entraîner de la part des pouvoirs publics une interdiction.

    Les électeurs marseillais devront s'en souvenir en mars prochain.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France


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  • Nantes : brutalement agressé en plein centre-ville, un quinquagénaire ne sort plus sans son gel au poivre et il semble ne pas être le seul


    Il est encore « extrêmement choqué par la brutalité et la soudaineté de l’agression ». François rentrait chez lui, quartier Graslin, quand « trois jeunes hommes » ont tenté de lui voler ses bagages. Il ne s’est pas laissé faire, il a fini par terre. « Mes mains et ma tête ont heurté les pavés. » Depuis cet épisode, le quinquagénaire s’est procuré un « gel au poivre » qu’il ne quitte plus à la nuit tombée. « L’armurier m’a dit qu’il en vendait une vingtaine par jour, c’est symptomatique de l’état de la ville. » Ce que confirme, à demi-mot et sans livrer de chiffre, un professionnel nantais : « Il y a un peu plus de demandes ces derniers temps. »
    […]

    Ouest-FranceVu ici

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  • Violentes agressions en centre-ville d'Orléans : après les témoignages accablants des victimes, un homme est condamné

    Violentes agressions en centre-ville d'Orléans : après les témoignages accablants des victimes, un homme est condamné
        
    Ce mardi 24 décembre, le seul majeur du groupe d'agresseurs était jugé en comparution immédiate. Les trois mineurs ont été entendus par le juge des enfants puis écroués en l'attente de leur jugement. © BESSEYRE Christelle    
     
    Un jeune homme a été condamné à 15 mois de prison pour avoir sauvagement agressé trois personnes vendredi 20 décembre, en centre-ville d’Orléans.

    Ce mardi 24 décembre 2019, le jeune Abdoulaye, 18 ans, a tenté de convaincre le tribunal d’Orléans de son innocence dans l’affaire des agressions de vendredi dernier, dans le centre-ville orléanais.
     
    Mais il a été accablé par le témoignage de deux des trois victimes présentes à la comparution immédiate.
    Elles ont raconté comment elles avaient été agressées par un groupe de cinq personnes. 
    L’une des victimes, un homme proche de la trentaine, encore sous le choc, a raconté son calvaire alors qu’il rentrait du travail, rue Molière :
    "Dans la rue, j'ai remarqué qu'un groupe de jeunes changeait de trottoir.
    Lorsque je les ai croisés, ils m'ont pris mon téléphone des mains.
    Ils m'ont frappé de partout, ils m'ont insulté... 
    J'étais à terre et plein de sang.
    Ils étaient sans pitié, comme s'ils avaient de la haine envers moi."
    Avant d’indiquer des hématomes et des commotions au crâne, au visage, aux bras, au bassin, plaie sur la main droite…
    Il s'est vu prescrire quatre jours d'incapacité totale de travail (ITT)*.
    Un autre malheureux, un Mexicain en vacances, a également confié l’attaque dont il a fait l’objet, rue de Bourgogne :
    "Je marchais en direction des Galeries Lafayette quand un monsieur m'a demandé une cigarette. À ce moment là, j'ai senti sa main dans ma poche. Quatre autres individus sont arrivés et m'ont donné des coups de pied aux jambes puis à la tête quand j'étais à terre. Je me suis alors protégé en position recroquevillée puis les cinq personnes ont pris la fuite. Deux passantes m'ont alors porté assistance." Une troisième victime, absente, a, elle, été blessée par un coup de couteau à l’abdomen.
    Des agressions d'une "violence inouïe"
    Quatre des cinq agresseurs ont été identifiés peu de temps après, rue des Carmes, grâce au touriste mexicain à bord du véhicule de police.
    L’unique majeur, Abdoulaye, un jeune Guinéen de 18 ans scolarisé en classe de première, est un étranger isolé.
    À la barre, il a nié les faits et a prétendu un mauvais concours de circonstances.
     
    Céline Visiedo, procureur de la République adjointe, a dénoncé la "violence inouïe" et a déclaré ne pas être convaincue de son innocence : "La seule inquiétude, c’est la réitération".
    Elle a aussi évoqué le cutter qu'avait en sa possession le prévenu.
    Lequel s'est justifié : "C'était pour ouvrir des cartons à mon stage, j'ai oublié de l'enlever de ma poche."
    Le ministère public a requis un an d’emprisonnement.

    "La nuit, tous les chats sont gris"
     
    Voici la ligne de défense de son avocat.
    "Sur l’instant T, on est choqué, on se fait des certitudes", a expliqué la défense du prévenu, qui n’a d’autres preuves contre lui que son identification par les victimes.
     "Pas de traces ADN, pas de témoignages extérieurs, pas d’images de vidéo-surveillance" pour plaider la relaxe au bénéfice du doute. Et concernant le cutter, "ce n'est pas un couteau".
    Pour conclure, le prévenu a lancé à l'auditoire : "C'est moi qui me fais victimiser tous les jours."

    15 mois d’emprisonnement
    Malgré un casier judiciaire vierge, le tribunal l’a condamné à 15 mois d’emprisonnement avec un maintien en détention, une interdiction de territoire français pendant cinq ans et à verser la somme de 3.400 euros toutes causes de préjudice confondues aux victimes.
    Les trois autres mineurs impliqués ont été présentés devant un juge des enfants, puis écroués dans l’attente de leur jugement. 

    L'incapacité totale de travail est une notion médico-légale qui permet de qualifier les blessures et qui s'applique que les personnes exercent une activité rémunérée ou non, NDLR.
     
    Camille Zakar

    larep.fr

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  • A Bruxelles, une crèche de Noël a été volontairement incendiée

    Belgique – La crèche de la place Eugène Keym à Watermael-Boitsfort (l’une des dix-neuf communes bruxelloises), a été incendiée dans la nuit de vendredi à samedi, d’après une information confirmée par le bourgmestre Olivier Deleuze.
    La crèche ne sera pas remplacée. Selon la police de la zone Marlow (Uccle, Watermael-boitsfort et Auderghem), les premiers éléments constatés laissent penser qu’il s’agit d’un incendie volontaire.

    Le feu a détruit la crèche et une partie de sa structure. La présence de trois personnes a été signalée avant l’arrivée des pompiers, dont l’intervention a eu lieu vers 03h15 du matin, selon leur porte-parole Walter Derieuw.

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    Source : medias-presse.info


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