• Une mère suspectée d'un triple infanticide dans le Doubs

    Les corps de trois nouveau-nés, dont deux jumeaux, ont été retrouvés par la police dans la cave de l'habitation d'un couple à Pontarlier. L'homme et la femme ont été placés en garde à vue.

    Une mère, suspectée d'avoir tué ses trois nourrissons à leur naissance, et son compagnon, qui a prévenu la police, ont été placés en garde à vue lundi à Pontarlier, dans le Doubs. Les corps des nouveau-nés, dont deux jumeaux, ont été retrouvés par les policiers dans des sacs dans la cave de l'habitation du couple à Pontarlier, a précisé la procureure de la République de Besançon Edwige Roux-Morizot.

    «Ils ont vraisemblablement été tués à la naissance», a-t-elle indiqué, sans donner plus de détails sur les éléments qui permettent de le penser. Les jumeaux ont été tués il y a quelques mois. La mort du troisième nourrisson est antérieure, a-t-elle indiqué. Une autopsie a été ordonnée pour déterminer les causes exactes des décès.

    La thèse de grossesses non désirées privilégiée

    Le père de famille s'est rendu lui-même au commissariat pour alerter les enquêteurs après avoir trouvé des sacs suspects dégageant une odeur pestilentielle dans le grenier de sa maison. Il n'a pas osé les ouvrir, mais il se doutait qu'il pouvait s'agir de nourrissons après s'être entretenu avec sa femme. Cette dernière lui aurait avoué la veille ses crimes supposés, perpétrés en deux temps, indique L'Est républicain. Quand les policiers sont arrivés sur place, les sacs avaient été déplacés à la cave.

    Les bébés étaient viables, à précisé la procureure, cité par le quotidien régional. La thèse de grossesses non désirées est privilégiée.La mère de famille, 30 ans, et son conjoint, 36 ans, ont été placés en garde à vue lundi. Ils sont déjà parents de deux enfants âgés de 3 et 7 ans. Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire et au commissariat de Pontarlier.

    source Le Figaro.fr ( 14 mars 2017)


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  • La femme et le judaïsme

    par  

    Les femmes juives sont à la pointe du féminisme, c’est bien connu… chez les laïques!

    Pour les éléments féminins du monde juif orthodoxe et ultra-orthodoxe, c’est un peu différent…

    – Les hommes refusent de s’asseoir à côté d’une femme dans les bus ou les avions;

    – Des boutiques et même ses trottoirs sont “réservés aux hommes” – manière de dire “interdits aux femmes”;

    – la tsniout interdit toute fantaisie vestimentaire: vêtements amples, jupes aux chevilles, bas épais obligatoires, corsages ras du cou, foulard ou perruque pour couvrir les cheveux, (quand ce n’est pas la frumka (la burqa juive!);

    – la femme ne doit pas être examinée et soignée par un médecin ou même un dentiste masculin…

    etc…

    Des rabbins, parmi les plus radicaux, viennent d’obtenir l’interdiction de l’incorporation des religieux dans les unités combattantes mixtes.

    “Les soldats religieux ne doivent pas servir dans les bataillons mixtes.”

    http://alyaexpress-news.com/psak-halaha-nouvelle-loi-diri...

    Rappel

    Dov Lior est l’humaniste qui avait préfacé la torah du roi (stipulant que le meurtre des enfants non juifs est permis en temps de guerre est encourageant plus généralement le meurtre de non juifs…

    Il interdit par ailleurs les mariages mixtes et les insémination artificielles avec du sperme non juif stigmatisant « les traits génétiques négatifs qui caractérisent les non-Juifs » et soulignant que « le sperme des Gentils donne naissance à une progéniture barbare ».

     

    Source : medias-presse.info


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  •  Nantes. Racisme anti-blanc et agression verbale dans le tram

    Racisme anti blanc Nantes Tramway

    11/03/2017 – 17h45 Nantes (Breizh-Info.com) – Samedi 11 mars, un groupe d’hommes d’origine africaine a cru entendre une remarque raciste de la part d’une Européenne dans le tramway nantais. Les insultes, très violentes, pleuvent alors. Parmi le flot d’injures, des propos teintés de racisme, contre les « blanches »…

    Un groupe de jeunes très bruyants

    Samedi 11 mars, peu après 14 heures, un groupe de 8 à 9 sportifs d’origine africaine monte à la station Michelet-Sciences dans le tramway en direction de Commerce (ligne 2). Très bruyants, ils se mettent à parler entre eux dans un dialecte étranger, sans doute africain.

    « Ils ont tout de suite commencé à parler très fort dans un dialecte inconnu, sans se préoccuper des passagers tranquilles qui se trouvaient pourtant à leurs côtés » nous raconte Marie-Laurence, témoin de la scène. « C’était très gênant mais bon, tout le monde se taisait, il n’y avait pas grand-chose à faire pour qu’ils baissent d’un ton de toute manière… »

    Une femme en discussion téléphonique incommodée, accusée de racisme

    Le volume sonore est tel qu’une femme, assise à côté de membres du groupe, est obligée de quitter sa place pour poursuivre sa conversation téléphonique. Marie-Laurence raconte : « Elle s’est levée pour quitter le groupe en disant à son interlocuteur qu’elle ne s’entendait plus. Les jeunes qui ne faisaient pas attention à cette dame ont entendu sa phrase de travers et on cru qu’elle avait tenu des propos racistes ! »
    En effet, les jeunes semblent croire que la femme au téléphone n’a pas prononcé le terme « plus » mais a plutôt fait référence, via le mot « pue », à leur odeur corporelle.

    Contre le prétendu racisme… des insultes racistes !

    C’est alors la furie dans le tramway. Les jeunes se lèvent et invectivent violemment la femme accusée de racisme. Elle est obligée de fuir sous les insultes. Les Africains hurlent contre celle qu’ils accusent de racisme, sans même chercher à vérifier ce qu’ils ont entendu. Marie-Laurence se confie : « Honnêtement, ça m’a surpris de les voir s’énerver en un quart de seconde, sans même chercher à dialoguer avec la dame qui venait de se lever… Ils ont hurlé, ça s’est entendu dans tout le tram ! »

    Effectivement, les hurlements sont entendus par tous les passagers qui restent interdits, choqués par la violence des propos employés. Selon Marie-Laurence, les termes sont très durs et même parfois racistes : « Et ta chatte, elle pue pas ? », « Nique ta race sale pute » ou encore « Sale blanche, vous puez vous aussi ! »

    Une victime bouleversée

    Le chauffeur a vite vu la situation et a appelé des renforts qui, selon ce qu’il a communiqué à la victime, attendaient les agresseurs à la station Commerce. La femme, elle s’était enfuie dans un autre wagon et est sortie, très choquée, à la station Place du Cirque. Alors qu’elle s’en va, le chauffeur baisse sa vitre et l’assure qu’il espère que les jeunes Africains seront punis. Selon Marie-Laurence, la victime était bouleversée. « Elle n’en revenait pas de l’agressivité du groupe et du manque de codes sociaux chez ces jeunes qui n’ont même pas cherché à discuter… Je pense que c’est le genre d’incident qui peut faire réfléchir beaucoup de monde. »

    Crédit Photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2017 Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine


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  • Pourquoi l’Algérie ferait mieux de remercier la France de l’avoir colonisée

    Après les propos d’Emmanuel Macron qui avait qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité », il est raisonnable de rappeler certains faits historiques incontestables sur cette période.

    Si l’on peut discuter du bien-fondé de la politique coloniale sur son principe, la colonisation française en Algérie a largement profité aux algériens.

    Voici une liste non exhaustive de faits historiques bien souvent passés sous silence ou volontairement cachés dans les programmes scolaires:

    • L’Algérie a toujours été une terre colonisée. Avant la France, les romains, les arabes, les espagnols et les turcs avaient envahi ce territoire et ne s’étaient pas gênés pour le piller. C’est la France qui a mis un terme à ces siècles de pillage. D’ailleurs, les partisans de l’indépendance d’Algérie étaient pour la plupart, comme l’immense majorité des algériens, des descendants de colons turcs ou espagnols.
    • C’est la France qui a construit les premières routes, bâti les ville, les écoles, les hôpitaux et a même découvert le pétrole, ressource qui s’avérera bien utile aux algériens après l’indépendance.
    • Sous la France, la population algérienne est passé de 2 millions d’habitants en 1830 à 10 millions en 1962, ce n’est pas vraiment ce que l’on peut appeler un crime contre l’humanité.
    • La cohabitation entre les français et les algériens se faisait dans le calme et le respect.

    Certains algériens de renom qui ont vécu la colonisation et décolonisation regrettent d’ailleurs l’Algérie française:

    •« S’il est en Algérie un domaine où l’effort de la France ne se discute pas, c’est bien le domaine de l’enseignement. On peut et on doit dire que l’école a été un succès certain. Les vieux maîtres, les premiers instituteurs ont apporté toute leur foi pédagogique sans arrière-pensée et leur influence a été extrêmement heureuse ». (Abderrhamane Fares, instituteur.)

    •« La scolarisation française en Algérie a fait faire aux Arabes un bond de mille ans». (Belkacem Ibazizen, Conseiller d’Etat.)

    •« Trente ans après l’indépendance, nous voilà ruinés avec plus de nostalgiques que le pays comptait d’habitants et plus de rapetoux qu’il n’abritait de colons »…. «Beaucoup d’Algériens regrettent le départ des pieds-noirs. S’ils étaient restés nous aurions peut-être évité cette tragédie ». (Boualam Sansal, écrivain)

    •« En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi…..Quarante ans est un temps honnête, ce que nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous qui sommes ses enfants ». (Boualam Salam)

    •« Dire que du temps des Français, ici c’était un jardin ». (Aït Ahmed. ex leader FLN)

    •« L’œuvre de la France est admirable ! Si la France était restée 20 ans de plus elle aurait fait de l’Algérie l’équivalent d’un pays européen ». (Un ministre syrien à Ferhat Abbas au cours d’une visite à Alger).

    •« Je ne pardonnerai jamais à la France d’avoir quitté l’Algérie» (Une Algérienne à Chirac lors d’un bain de foule).

    •«Si les pieds noirs n’étaient pas partis en masse, l’Algérie ne serait peut-être pas dans l’état désastreux dans lequel elle se trouve…Franchement on pourrait presque leur en vouloir».
    (Malika Boussouf, journaliste).

    •« A son indépendance, nul pays extérieur au monde occidental, Japon et Afrique du Sud exceptés, ne disposait d’une infrastructure aussi développée que celle de l’Algérie ». (Bechir Ben Yahmed, Directeur de « Jeune Afrique »).

    •« La France a commis un crime. Elle a livré le peuple algérien aux tueurs et assassins». (Ferhat Abbas, leader du FLN).

    http://info24.fr/lalgerie-ferait-mieux-de-remercier-france-de-lavoir-colonisee/


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  •  Nanterre : handicapé à vie parce qu’il avait demandé d’aller fumer dehors

    Valérie Mahaut
    Nanterre. Tours Aillaud, quartier Pablo Picasso. Deux jeunes hommes se sont déchaînés sur leur victime, croisée sur le palier. LP/Florence Hubin 
     
    Valérie Mahaut

    Deux jeunes gens sont jugés pour avoir tabassé un homme  une nuit de mars 2015 dans le hall d’une tour du quartier Pablo-Picasso de Nanterre. 

    C’est le procès d’une violence gratuite, extrême, irrationnelle. Littéralement massacré dans un déchaînement ahurissant de coups, une nuit de mars 2015 dans le hall d’une tour Aillaud, quartier Pablo-Picasso à Nanterre, un homme d’une quarantaine d’années est condamné depuis au fauteuil roulant. Il a néanmoins fait le déplacement à la cour d’assises des Hauts-des-Seine, où s’est ouvert ce lundi le procès de ses deux agresseurs. Il espère « comprendre quelque chose ». Mais les clés d’une telle violence paraissent inaccessibles.

    Les accusés, deux gringalets du quartier, se disent « pas violents ». Et semblent ne pas se comprendre eux-mêmes. « J’ai eu un problème de maîtrise de moi », se contente d’expliquer Patrick, 23 ans, sans nier « la violence extrême dans les coups » qu’il a portés à Jean-Thomas, résident de la tour de 38 étages qu’il n’avait jamais vu avant la nuit du 8 mars.

    Une série de coups de pied ne visant que la tête

    Diffusée à l’audience, la vidéo du passage à tabac a stupéfié les jurés et plongé la salle dans une hébétude silencieuse. Sur les images, il est 5 heures 34 quand Jean-Thomas pousse la porte du 17, allée de l’Arlequin pour rentrer chez lui après avoir raccompagné une amie. Il s’approche de l’ascenseur quand Patrick et son copain Kevin, 23 ans à l’époque, en sortent. Avec un extincteur à la main. Les copains viennent de « faire la fête » sur le palier des 15e et 16e étage. Ils y ont fumé, bu, et se sont amusés à vider des extincteurs. En tombant nez à nez avec Jean-Thomas, Patrick pose l’extincteur. Et lui décoche un énorme coup de poing au visage. Sonné, Jean-Thomas tente de discuter mais voilà que son agresseur sautille comme un boxeur et lui assène un deuxième coup au visage, tandis que Kevin le vise avec l’extincteur. Jean-Thomas s’écroule. Le suite est effroyable.

    En ne visant que la tête, Patrick lâche une série de coups de pieds, comme dans un ballon. Kevin aussi, dans une moindre mesure. La puissance des coups est telle que le corps se déplace tandis que le malheureux s’enfonce dans l’inconscience. Puis Patrick écrase le visage de la victime à coups de talons. Répétés et donnés avec élan. Kevin quitte le hall en tentant d’arrêter son copain mais rien n’y fait. Pourtant, à plusieurs reprises, Patrick se détourne de sa victime en sang. Mais il réapparaît pour lui shooter à nouveau dans la tête. En revenant pour la dernière fois sur ses pas, il fait les poches de la victime.

    Quelques heures plus tôt, Patrick avait croisé Jean-Thomas dans le hall. Avec cinq copains, le premier fumait un joint ou une cigarette, il ne sait plus. Jean-Thomas l’a prié d’aller fumer dehors. Avant d’être poussé vers l’ascenseur par un ami de Patrick, « pour que ça ne dégénère pas », dit cet ami à la barre. « Peut-être qu’il lui a demandé de sortir sur un mauvais ton. Peut-être que s’il lui avait demandé gentiment, ça ne se serait pas passé », suppose le copain témoin, tout en se disant « super étonné » de l’incroyable violence de ses amis. Patrick et Kevin encourent quinze ans de réclusion pour violence ayant entraîné une infirmité permanente. Leur procès s’achève mercredi.

      leparisien.fr

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