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  • Contrairement à Maboula Soumahoro, j’ai pour la France une grande reconnaissance !

       “Je n’ai aucune gratitude à exprimer pour la France.” a lancé sèchement Maboula Soumahoro – « universitaire franco-ivoirienne, maîtresse (sic) de conférence à l’université de Tours, spécialiste de la civilisation américaine et de la diaspora africaine » selon sa fiche Wikipedia – au philosophe Alain Finkielkraut dans l’émission La Grande confrontation sur LCI.
    Comme si faire montre de reconnaissance pour le pays d’adoption de sa famille était une humiliation.

     Une façon de la renvoyer à ses origines.
    Elle est une-Française-comme-tout-le-monde, ok ? Donc elle n’a pas à remercier.
    C’est tout le contraire.
    La Française-comme-tout-le-monde que je suis – depuis des siècles, autant en tout cas que peuvent remonter les registres paroissiaux – ne se sent qu’un devoir : celui de dire merci à son pays.
    Merci pour sa culture et pour ses paysages, merci pour ses artistes et ses scientifiques, merci pour sa foi et sa raison, merci pour ses victoires et même pour ses défaites, souvent héroïques, merci pour sa langue belle et exigeante, merci pour son rayonnement à l’étranger.
    Merci pour sa terre et ses morts, comme disait Maurice Barrès, merci pour sa mer et ses vivants comme lui rétorquait, ironique, Paul Claudel… merci pour ces querelles d’intellectuels, ces traits d’esprit mordants, ces controverses spirituelles.
    Merci pour sa quiétude et son confort matériel.
    Merci pour la fierté que la France fait naître en moi, merci pour ce qu’elle a fait de moi.
    Merci pour ce que mes parents m’ont transmis, merci pour ce que je transmets à mes enfants.
    Merci même si parfois, je ne la reconnais pas, si elle me semble médiocre, pusillanime et défigurée. Je me prends à rêver d’une autre nationalité…
    Ou mais laquelle ?
    Comme dirait Talleyrand, quand je la contemple, je me désole, quand je la compare, je me console, et il fait bon être français.
    Merci, merci, merci. Merci surtout de m’avoir appris à dire merci, mot fleuron d’une civilisation qui sonne comme une révérence, signe de déférence envers son prochain qui contient tout le savoir-vivre français.
    Il m’est même arrivé de dire merci à des horodateurs qui me rendaient la monnaie.
    Remercier, c’est être infiniment français.
    D’âme et de cœur, pas seulement sur le papier.
    Maboula Soumahoro est de ceux qui traquent le racisme dans tous les recoins.
    Policière de la pensée, de l’arrière-pensée, et même de l’impensé qu’on a failli, qu’on aurait pu, qu’on a manqué penser.
    Elle ne voit pas ou ne veut pas voir que ce petit mot, s’il était exprimé par ceux qui, venus dans ce pays, n’ont pas dû, quoi qu’ils en disent, si mal s’en trouver car ils ne sont jamais repartis, apaiserait bien des tensions.

    Merci à elle de cesser d’avoir la folle outrecuidance de prétendre ne rien devoir à la France.

    Gabrielle Cluzel

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  • Gauche caviar : la comédienne Anémone cachait des comptes en banque en Suisse

    Ecrit par Pierre-Alain Depauw

    L’hypocrisie des gens du showbiz est bien connue. Du monde du cinéma, de la chanson, de la télévision, ils sont par exemple nombreux à dire aux Français qu’il faut accueillir toujours plus d’immigrés. Et pourtant, ils n’en accueillent aucun dans leurs somptueuses propriétés. Les mêmes sont généralement des gens de “gauche”, mais tendance gauche caviar.

    Un nouvel exemple de cette hypocrisie vient d’être révélé et concerne la comédienne Anémone (de son vrai nom Anne Bourguignon), décédée en avril 2019. Acerbe gauchiste au discours anticapitaliste, on vient d’apprendre qu’elle planquait son argent en Suisse !

    L’Administration fiscale helvétique des contributions a rendu l’information publique en lançant un appel à ses héritiers pour qu’ils désignent un représentant en Suisse.

    La demande d’assistance administrative a été publiée le 5 novembre dernier et les héritiers de la comédienne ont dix jours pour y donner suite. A ce jour, aucune information n’a filtré sur le nombre de comptes ni sur les sommes en jeu.

    Anémone avait pourtant vertement critiqué Johnny Hallyday estimant qu’à part “voter à droite et fuir le fisc” ou “se déguiser et mentir” il n’avait pas fait grand-chose. Mais apparemment, elle aussi fuyait le fisc.

    L’argent était déjà la raison de sa dispute avec l’équipe du Splendid dans les années 80 alors qu’elle réclamait des droits d’auteurs pour les répliques cultes de son personnage Thérèse dans “Le Père Noël est une ordure”.

    Retirée du showbiz en 2017, elle déclarait au magazine Le Point : “J’ai ma retraite et de quoi vivre sans bosser. Elle n’est pas bien grasse, heureusement j’ai un loyer qui me rapporte. Par rapport aux carrières qu’on fait, on n’a pas beaucoup de fric à la retraite”.

    Source : medias-presse.info


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  • Messaoudene: pourquoi nous empêcherait on de transformer la France en pays musulman?

    L’image contient peut-être : 2 personnes, personnes debout et barbe  
     
    Pour tous ceux qui ont de la complaisance vis à vis de la marche de dimanche, et tous ceux qui l'ont soutenue, petit florilège des propos tenus par les organisateurs.
     Majid Messaoudene, élu de Saint Denis, avait fait des plaisanteries douteuses lors de l'affaire Merah, et affirmé à plusieurs reprises que rien ne peut empêcher la volonté de transformer la France en terre d'Islam.
    Yassine Bellattar a lui suggéré à un ministre, Blanquer, de ne plus aller dans le 93 pour avoir dit que le voile n'était pas souhaitable.
    Le 93 est donc l'un des premiers territoires conquis par l'Islam en France, dixit Benattar, et la liberté d'expression n'y a plus cours, apparemment.
    Ne parlons même pas de ces imams qui affirment que la femme est l'objet de son mari, et que la musique est oeuvre de Satan.
    Messieurs Melenchon, Coquerel, Corbiere, mesdames Benbassa, Autain, qui sans le vote musulman ne prendraient que des gamelles électorales, sont des islamo-collabos prêts à vendre la France à l'Islam, contre un strapontin à l'Assemblée.

     
    Que les gens de gauche sincères, qui ont voté pour eux jusqu'ici, en soient désormais pleinement conscients.

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  • Ils n’ont pas honte ?

     
    Visiblement, non.
     
    Il ne demandait pas grand-chose : une minute. Une petite minute.
    Une minute de silence à la mémoire des victimes du Bataclan.
    130 morts, 450 blessés. Quatre ans après.
    Mais on le lui a refusé.
    « Il », c’est Jérôme Rivière, président de la délégation française du groupe Identité et Démocratie au Parlement européen.
    « On », c’est David Sassoli, le président du Parlement européen, issu du Parti démocrate italien, celui de Matteo Renzi.
    Sans doute parce qu’« ils » ont décidé de « mettre en quarantaine » les députés « populistes ».
    Mais lorsque l’on lit l’interview du président Sassoli donnée à Euronews le jour même, on comprend encore mieux ce refus.
    Résumé.
    La journaliste qui l’interroge sur « la distance entre les institutions européennes et les citoyens » qui fut « l’un des principaux thèmes abordés par les eurosceptiques… » se voit répondre par Sassoli : « Lors de la campagne électorale pour les élections européennes, ils ont déclaré qu’ils allaient détruire l’Europe… » Carrément.
    Nouvelle question de la journaliste : « Le Parlement européen a décidé de mettre en quarantaine les eurodéputés d’extrême droite. Pensez-vous qu’isoler une partie du Parlement, qui a été élue par des citoyens, est une mesure raisonnable ? »
    Réponse du président : « Ce n’est pas un acte d’abus, c’est simplement de la démocratie. »
    On se pince.
    Ce grand démocrate se pince le nez et, donc, « les partis pro-européens ont décidé que les nationalistes devaient être tenus à distance. Parce que le nationalisme est un virus… »
    Inutile d’aller plus loin dans la lecture de cette interview.
    Tout est dit. Tenons à distance les députés « nationalistes » porteurs de virus et, par voie de conséquence, les millions d’électeurs qui ont voté pour eux.
    Et demain, si un député « populiste » déclare qu’il fait jour à minuit et nuit à midi, on balaiera par le mépris cette déclaration.
    De même, si ce même député pointe du doigt le danger du terrorisme islamiste qui menace notre continent…
    Du coup, on comprend mieux alors le refus de cette minute de silence.
    On le comprend d’autant plus lorsqu’on intègre le fait que ceux qui sont aux commandes de l’Union européenne (Parlement, Commission) ne semblent, au fond, pas avoir pour souci principal la protection des citoyens de cette Union.
    La polémique sur l’intitulé du « portefeuille » en charge de l’immigration à la Commission est sur ce point révélatrice.
    La présidente de la Commission, l’Allemande von der Leyen, voulait lui coller l’étiquette « Protection du mode de vie européen ».
    Passons sur l’expression « mode de vie ».
    « Culture », « civilisation », cela faisait sans doute trop typé.
    Le président sortant, son petit camarade du PPE, le Luxembourgeois Juncker, avait alors déclaré : « Je n’aime pas l’idée que le mode de vie européen s’oppose à la migration. Accepter ceux qui viennent de loin fait partie du mode de vie européen. »
    On parlera désormais non pas de « protection » mais de « promotion ».
    Donc, va pour la promotion des migrations.
    Cela dit, c’est dans la lignée du pacte de Marrakech.
    D’ailleurs, ils s’y connaissent, en promotion, vu qu’ils raisonnent en parts de marché.
    Une Europe qui protège, qu’ils disaient.
    Qui protège contre quoi, contre qui ?
    Si on bannit le mot « protection », on écarte du coup le risque, le danger potentiel, c’est logique.
    Notons que le Parlement européen marqua une minute de silence en hommage aux migrants victimes d’un naufrage au large de Lampedusa en 2015, à la mémoire des victimes d’Utrecht, de Christchurch, du cyclone Ida et des déportations de 1949 dans les États baltes occupés par l’URSS, tout cela dans la même minute, en mars dernier.
    Ou encore lors du décès de Jacques Chirac. Tout cela est juste et bon. Certes.

    Et le Bataclan ? Non. Ils n’ont pas honte ? Visiblement, non.

    Georges Michel

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