• Infanticide d’Angers : non, les femmes ne sont pas toutes innocentes !

    C’est parfois encombrant, un enfant. Facile à faire mais difficile à élever : ça pleure, ça crie, ça mange tout le temps, ça réclame de l’amour si possible, de l’attention au moins si pas d’amour. Pour les plus chanceux, ça aimerait bien un père ET une mère, mais bon, hein, à défaut, ça veut bien se contenter d’un parent isolé. Hélas, pour certains, ce minimum vital est encore un inaccessible nirvana.

    C’était le cas de la petite Vanille, dramatiquement surgie dans l’actualité d’une « alerte enlèvement », vendredi dernier.

    La mère s’appelle Nathalie Stephan. Elle a 39 ans. Elle a tué sa petite fille.

    On notera, au passage, que les médias, cette fois, ont communiqué dare-dare le nom de la mère. Se fût-elle appelée autrement que sans doute on l’aurait tu, mais elle s’appelle Nathalie.

    Nathalie Stéphan, donc, est hébergée au Centre maternel d’Angers, une sorte de refuge pour femmes enceintes et mères isolées. La petite Vanille était placée en famille d’accueil depuis sa naissance, mais elle retrouvait sa mère toutes les semaines pour un temps donné, librement. Cette fois la permission était de 48 heures. La mère n’a pas ramené l’enfant à la référente de l’ASE, l’aide sociale à l’enfance. Elle l’a tuée et balancée dans un container à vêtements.

    Je ne devrais pas dire ça ? Ah pardon, c’est vrai, j’oubliais : chez nous, les femmes ne sont jamais coupables, et surtout pas d’infanticide ! Ce sont des « MÈRES » ! Des âmes pures, des Vierge Marie égarées dans un monde de brutes. Gageons, d’ailleurs, que si celle-là avait été dotée d’un compagnon, il serait à cette heure au trou car désigné coupable d’office, la maman de Vanille étant absoute car réputée « sous influence ». Forcément. Car les femmes, on le sait, ne sont chez nous que de petites choses très aisément manipulables. Mais pas de chance, il n’y a pour l’instant aucun coupable mâle à se mettre sous la main.

    Alors, forcément là encore, il faut trouver à Nathalie Stephan des circonstances atténuantes : elle avait « des problèmes psychologiques ». Ah… les problèmes psychologiques. Mais de quel ordre, au juste, ces problèmes : immaturité ? Dépendance quelconque aux « substances » ? Désir irrépressible de se reproduire ?

    Je le sais bien, là encore, les belles consciences pensent que rien ne saurait s’opposer au fameux « désir d’enfant ». Pas plus la maladie mentale que l’impossibilité de concevoir seule et sans mâle reproducteur.

    Pseudo-analyse du pédopsychiatre de service sur les ondes : « Rien ne dit que cette femme a souhaité la mort de son enfant. » Sûr. Elle l’a étranglée à l’insu de son plein gré. Il faut dire que c’était l’anniversaire de la petite, ce qui constituera sans doute une circonstance atténuante…

    Marie Delarue

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Débat sur l'immigration : une mascarade vide de tout sens

    Hémicycle aux trois quarts vide, annonces de circonstance, échanges stériles, discours fossilisés... Le débat sur l'immigration — sans vote, bien sûr, mais y en aurait il eu un que cela n'aurait évidemment rien changé — qui s'est tenu lundi soir à l'Assemblée nationale n'était que le reflet des effets de tribunes de Macron sur le sujet : vide de tout sens.

    Champion de la triangulation, le Président de cette République de tous les mensonges, de toutes les supercheries et de toutes les manipulations, tente, en s'emparant du thème de l'immigration, de séduire une partie de la droite à quelques mois des Municipales et d'apparaitre aux yeux des Français comme le chef, modéré mais réaliste et libéré des tabous de la pensée unique, de ce parti de l'ordre juste, républicain et démocrate qu'il veut incarner. Posture qui, face aux critiques venues de sa gauche à l'intérieur même de son camp, lui a valu le soutien appuyé d'un autre imposteur chronique — Jean-Pierre Chevénement (« nous ne devons pas être dans le déni »), dont on chercherait vainement la trace du commencement d'un début de volonté de mener une lutte déterminée contre la déferlante migratoire, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur.

    Au bal des faux culs, ils sont toujours, il est vrai, plusieurs à se bousculer pour ouvrir la danse.

    Macron, lui, joue ainsi les Janus biface, tentant de dissimuler l'immigrationnisme absolu qui transpire par tous les pores de sa peau, et affirme son credo de chauve-souris politicienne : « Je suis oiseau, voyez mes ailes protectrices, je suis souris, vive les rats de l'ouverture planétariste ».

    Et pendant ce temps, par la mer, par les chemins de terre et par les airs... ILS ARRIVENT !

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire


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  • « Pendant que Salek lynche Bassem, des Français de souche sont tabassés tous les jours dans l'indifférence générale »

    Thomas Joly, Président du Parti de la France, réagit à la vidéo virale du lynchage du youtubeur Bassem par le rappeur Sadek.

    Thomas Joly@ThomasJoly60
     
     

    Pendant que et ses potes lynchent pour faire le , des Français de souche sont quotidiennement insultés, tabassés, dépouillés dans l'indifférence générale par des du même genre. La de toute cette engeance devient très urgente

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  • L'avis de Thomas Joly sur la Conférence nationale du handicap

    Thomas Joly@ThomasJoly60
     
     

    : si un millième de l'argent public déversé en pure perte dans les banlieues afro-musulmanes était consacré au , on pourrait sûrement se passer de cette conférence incantatoire où le gouvernement tente de se donner le beau rôle

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  • Napoléon@tprincedelamour
     
     

    Rien qu'aux pieds, le camerounais invité par Ruquier pour faire la morale aux Français et qui prétend être mineur porte une paire de Sneakers d'une valeur de 850 euros.
    D'où vient tout cet argent?
    De qui se moque-t-on?!

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