• Le maire d’une commune du Tarn interdit le tractage sur les marchés

    Le maire d’une commune du Tarn interdit le tractage sur les marchés

    Le maire d’une commune du Tarn interdit le tractage sur les marchés

    qu’il estime être un trouble à l’ordre public :

     
     
    Source : ndf

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  • Quand L’Humanité inclut Mickaël Harpon, le terroriste de la Préfecture, dans les « victimes » de « violences policières »

    Dans un dossier spécial, l’Humanité avance que 26 personnes sont décédées en 2019 suite à des « violences policières ». Problème : Mickaël Harpon, l’homme qui a tué quatre fonctionnaires à la préfecture de police de Paris le 3 octobre avant d’être abattu par les forces de l’ordre, fait partie des 26.

    France Inter via fdesouche


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  • Nathalie Loiseau revient et se ridiculise encore



     : le retour. 

    Depuis ses prestations calamiteuses, mais distrayantes, aux élections européennes de 2019, dame Loiseau se faisait rare.

    En apnée sous des couches et des couches de paperasses au Parlement européen, la « présidente de la sous-commission Sécurité et Défense » allait d’un sous-couloir à l’autre vers des sous-réunions captivantes mais quelque peu anonymes.
    L’occasion d’un retour fracassant à la surface lui fut offerte par un journaliste de la BBC qui l’interrogeait à propos d’un possible accord entre l’Union européenne et la Grande-Bretagne à l’issue du Brexit.
    Alors que l’interviewer rappelait que la France était en proie à des mouvements sociaux persistants, l’ex-candidate LREM le recadra sèchement.
    Quels mouvements sociaux ? Quelles grèves ?
    « I am shocked. » « Je suis surprise qu’un journaliste ne sache pas qu’il n’y a plus de grève en France », lui répondit-elle fièrement et passablement agacée par tant d’amateurisme.
    Le décalage horaire, l’ivresse des profondeurs…
    Visiblement, Nathalie Loiseau s’était imaginée que les mouvements de contestations se limitaient à la RATP et la SNCF.
    Avocats, éboueurs, divers réseaux de transports de province, certaines écoles, contrôleurs aériens, colère dans les hôpitaux , etc.
    Le seul secteur absolument indemne de toute perturbation étant la perception au « travers du bocal » de la pensionnaire du Parlement européen.

    Par sa réflexion en voie de consécration au Panthéon de la bourde, Nathalie Loiseau signe un come-back parfaitement réussi.
    Son « Je suis surprise qu’un journaliste ne sache pas qu’il n’y a plus de grève en France » est la risée des réseaux sociaux, numéro un momentané du département « à côté de la plaque » du mouvement « En Marche ».
    Mais la cascadeuse a le triomphe modeste.
    Avant d’opérer un retour brutal vers les abysses réglementationnantes bruxelloises, la présidente a promis de revenir bientôt pour s’indigner que les journalistes du monde entier n’aient pas été mis au courant de la fabuleuse cote de popularité d’Emmanuel Macron.
    Bloub… La fin de sa déclaration ne fut pas audible pour cause d’immersion européenne.
    Il a été dit que les membres de la sous-commission avaient émis quelques sous-entendus à l’arrivée de leur présidente.
    Nous nous garderons de sous-estimer les capacités de cette institution à s’autodétruire.


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  • Ces gros pollueurs de la CGT


    Par h16
     
    On le sait : le syndicalisme mène à tout, depuis le hooliganisme jusqu’à la mafia en passant par des comportements de patron voyou ou de censeurs musclés.
    L’actuel épisode de grèves permet d’illustrer un nouvel aspect, celui du syndicalisme pollueur.

    Et c’est en Île-de-France qu’on en trouvera un bel exemplaire : alors que la mode du moment consiste à chercher et combattre tout ce qui pourrait nuire à l’environnement, il semble bien que la CGT soit résolument placée sur le chemin inverse puisque sa section CGT-Energie a lancé, le 23 janvier dernier, un mouvement de grève pour (évidemment) protester contre la réforme des retraites en appelant à l’arrêt total de travail sur les sites des trois incinérateurs du Syctom, qui gère les déchets de six millions d’habitants en région parisienne.
    Or, pendant que les fours de ces incinérateurs sont à l’arrêt, il faut bien faire quelque chose des 6000 tonnes de déchets qui y parviennent chaque jour.
    Une partie a été redirigée vers des fours pas trop distants et encore en fonctionnement, mais la plus grosse partie (5000 tonnes) doit donc être enfouie au jour le jour.
    Les conséquences se font déjà sentir : outre le remplissage très rapide des fosses normalement destinées à tenir l’année, la collecte des ordures ménagères n’a plus lieu dans certaines villes et arrondissements parisiens.
    Au moins les rats de la capitale y trouveront leur compte (ce qui devrait être complètement neutre pour la campagne d’Anne Hidalgo), même si, sur le plan sanitaire, tout ceci montre encore l’incapacité complète de l’État à gérer une telle situation, les réquisitions de personnel n’ayant toujours pas eu lieu, par exemple.
    Le tableau est déjà fort sombre : outre une dérive sanitaire évidente qui n’arrange vraiment pas les affaires des Franciliens, l’enfouissement de milliers de tonnes de déchets, en lieu et place de leur crémation, est évidemment une catastrophe écologique.
    À ce titre, on peut trouver plutôt choquant le silence compact des élus Verts ou non, eux qui ont toujours le verbe haut pour culpabiliser et vilipender l’automobiliste ou le consommateur de pailles en plastique ; apparemment, le fait que cette catastrophe soit la conséquence d’une action syndicale provoque chez ces politiciens un mutisme parfaitement lamentable qui illustre d’une part l’étendue de la gonadectomie chez les élus français, et d’autre part la puissance effective des syndicats dont on comprend que toute critique entraînerait des représailles.
    Enfin, il serait naïf d’oublier la proximité idéologique de ces syndicats avec les politiciens en question, pour lesquels collectivisme, inculture économique de base et marxisme sont de véritables références.
    Mais peu importe l’idéologie derrière ces arrêts de travail dévastateurs, le silence coupable des responsables politique et l’inaction complète des administrations devant les dégâts causés : le résultat reste le même, à savoir une pollution environnementale parfaitement inutile, pourtant clairement définie et dont les écolos pourraient largement combattre la cause s’ils n’étaient pas en carton recyclé.
    Car, pompon de l’affaire, à cette pollution directe, il faut ajouter les centaines de milliers d’euros de pertes par jour que le Syctom doit éponger, ainsi que la pollution indirecte engendrée par les solutions alternatives qu’il a fallu mettre en place.
    En effet, l’incinération de ces déchets permet normalement de fournir de l’énergie sous forme de chauffage à l’équivalent de 300.000 logements par jour, ce qui représente financièrement 700.000 euros qui – rassurez-vous – seront malgré tout prélevés sur le contribuable francilien.
    Pire encore, ces incinérateurs ne fonctionnant plus, le chauffage n’étant plus distribué, la Compagnie Parisienne de Chauffage Urbain a dû recourir à des énergies fossiles pour obtenir une source d’énergie leur permettant de fournir la demande (en plein hiver, il est en effet logique que le chauffage fonctionne).
    L’irresponsabilité étant maintenant élevée en vertu dans une société qui a depuis longtemps perdu la plupart de ses repères, la CGT-Énergie rejette d’ores et déjà toute hypothétique incrimination dans la catastrophe environnementale que ses exactions entraînent pourtant.
    Pour elle, c’est absolument évident : c’est le gouvernement qui est à l’origine de cette crise.
    Eh oui, si les fourneaux ne tournent plus, c’est (évidemment) lafotamacron.
    L’irresponsable officiel de la CGT-Énergie en Île-de-France, Olivier Fégueux, est d’ailleurs prêt à aller jusqu’au bout (comme tous les preneurs d’otages du reste), jusqu’au « black-out en énergie ».
    Le bilan est donc sans appel : grâce au remarquable non-travail des habituels syndicalistes en bande organisée, des milliers de tonnes de déchets sont enfouies dans la nature au lieu d’être incinérées ; du chauffage n’est plus produit de cette incinération ; des pertes financières à hauteur de 700.000 euros par jour sont constatées, qui seront encore une fois reportées sur le contribuable, vache à lait indépassable de tous les débordements syndicaux de ce pays ; enfin, des masses considérables d’énergies fossiles sont brûlées, en lieu et place des déchets.
    En bref, une fois encore, la CGT provoque d’énormes dégâts (environnementaux et financiers, c’est-à-dire écologiques et économiques) qui s’ajouteront aux nombreuses autres catastrophes industrielles d’ampleur nationale, et absolument personne ne semble s’en inquiéter.
    Tout le monde semble même trouver ça sinon normal au moins rentrant dans les canons de l’acceptable dans une République qu’on piétine maintenant avec gourmandise.
    Une fois encore, un service public en situation de monopole légal se trouve paralysé et sert de levier à une organisation syndicale pour pressurer les contribuables ou les cotisants qui n’ont pas la chance de pouvoir répliquer.
    Gageons qu’une issue sera évidemment trouvée à ce conflit : vraisemblablement, les petits et gros privilèges de ces professionnels seront plus ou moins conservés ; aucun personnel ne sera réquisitionné et les pertes du Syctom seront donc intégralement prises en charges par la collectivité. Comme à chaque fois, l’État pliera minablement devant la mafia syndicale.
    Quant à l’environnement dont se gargarise tout le monde actuellement, il s’adaptera tant bien que mal.
    En tout cas, soyez assurés que la CGT n’en a rien à carrer et qu’elle n’en souffrira en rien.

      H16 anime le blog Hashtable.

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  • Paris : une conductrice manque de percuter deux jeunes filles, le ton monte, elle les poignarde (MàJ : libérée)

    La vidéo de cette agression avait été filmée par un passant et diffusée sur les réseaux sociaux. DR
    Par   pour Fdesouche

    La satisfaction d’un côté, l’énervement de l’autre. Fathia, 41 ans, devait être jugée pour avoir poignardé deux mineures.
    Mais conséquence de la grève des avocats, et surtout d’un complément d’enquête obtenu par l’avocat de la mise en cause, l’audience a été renvoyée au 7 mai.

    Une comparution à délai différé.
    La justice ne pouvait donc pas garder Fathia en détention provisoire plus longtemps, malgré l’étonnement des parties civiles : « La famille de ma cliente ne comprend pas que cela soit possible », glisse Me Laure Tric qui représente l’une des deux victimes.

    (…) Le Parisien

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    17/12/2019

     
    511 personnes parlent à ce sujet
     

    Selon nos informations, l’automobiliste auteure des coups de couteau, Fathia R., 41 ans, résident à la Plaine Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) est « très défavorablement connue » des services de police. Selon les premières analyses toxicologiques, elle était positive à l’opium.[…]
    « Quand je suis arrivée sur place, j’ai vu une jeune fille assise sur un tabouret qui avait visiblement perdu beaucoup de sang », témoigne Jeanne d’Hauteserre, maire (LR) du VIIIe, qui venait de s’engager au volant de sa voiture dans la rue du Colisée quand l’altercation s’est produite.
    « D’après les premiers éléments, tout cela est parti d’une affaire bête de différent entre usagers de la voie publique », précise-t-elle.
    « Je ne sais pas s’il n’y a que cela. Mais je note qu’il y a un climat de violences et de tensions de plus en plus grand dans les rues de la capitale. Entre les piétons, les trottinettes, les motos, les cyclistes et les autos… les incivilités sur la voie publique sont en train de se généraliser », conclut l’élue.
     
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    Le Parisien

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