• Les mineurs non accompagnés : une véritable bombe à retardement

    Comme si les graves difficultés que connaît notre pays pour cause d’immigration incontrôlée ne suffisaient pas, il en est une autre, en lien avec celle-ci, qui est en train d’émerger avec des promesses de lendemains dramatiques : celle des mineurs non accompagnés. 

    En 2019, 40.000 d’entre eux on été pris en charge par les services de l’aide sociale à l’enfance, dont 16.000 sur décision d’un juge. 

    Ces mêmes mineurs non accompagnés étaient environ un millier en 2012 ! C’est donc à une multiplication par 40 à laquelle on a assisté en à peine dix ans.

    Mais à l’intérieur de ce phénomène pudiquement désigné par l’acronyme « MNA », un autre encore plus sensible, relatif cette fois aux mineurs (étrangers) délinquants, prend de l’ampleur. Un récent rapport parlementaire, initié par la commission des lois de l’Assemblée nationale, a ainsi évalué à 10 % le volume des mineurs délinquants issus des rangs des MNA. Le problème est que cette évaluation ne repose, en réalité, sur aucun chiffre tangible, puisque actuellement, les données statistiques en la matière font cruellement défaut. Seul constat possible, celui du nombre des interpellations de MNA dont la participation à la délinquance augmente de manière exponentielle ; +42 % entre 2018 et 2019 rien qu’en région parisienne. Il est donc évident qu’en dépit de chiffres peu nombreux, le phénomène, d’un point de vue macroscopique, est en train d’exploser.

    La problématique des mineurs non accompagnés n’est pas nouvelle. Mais, comme c’est souvent le cas dans notre pays, les pouvoirs publics, pourtant souvent prévenus longtemps en avance par les services de terrain (police, gendarmerie, services sociaux…), ne s’emparent du problème que lorsqu’il devient incontrôlable.

    Désormais, les filières d’immigration liées aux MNA sont solidement implantées dans notre pays. Récemment, Pierre Monzani, directeur général de l’Assemblée des départements de France, estimait que 70 % des individus entrant sur le territoire national en se déclarant mineurs non accompagnés ne l’étaient pas. Dans certains départements, selon des élus, ce chiffre atteindrait même 80 %. Les régions d’origines de ces soi-disant mineurs sont principalement l’Afrique de l’Ouest (Guinée-Conakry, Côte d’Ivoire et Mali) et le Maghreb ( et Maroc).

    Les conséquences de cette réalité non contestable sont évidemment importantes et désastreuses pour notre pays. D’abord, parce que le phénomène alimente une immigration déjà fortement sous tension avec un public de plus en plus jeune, dont une partie significative tombe précocement dans une délinquance dont ils ne sortiront pas. Ensuite, parce que cette forme d’immigration constitue un véritable appel d’air, dont les acteurs (intéressés et filières notamment) ont vite compris qu’elle était imparable pour une démocratie défaillante comme la nôtre. Enfin, parce que nous assistons, impuissants, au pillage de notre système de protection de l’enfance au détriment de ceux qui en auraient véritablement besoin. Ainsi, le coût annuel de la prise en charge d’un MNA est estimé à 50.000 euros. À la charge des départements, il est en augmentation de manière forte et constante. Évalué à deux milliards d’euros en 2019, il sera de trois milliards d’euros en 2021. Ce coût était de 50 millions en 2012 !

    Les mesures envisagées dans le rapport parlementaire relèvent pour beaucoup du simple bon sens pour qui voudrait reprendre le contrôle du phénomène. Renforcer les mesures d’identification de ces individus qui se disent mineurs, créer une base de données fiable, développer les structures d’accueil spécifiques ou bien encore accentuer la lutte contre les filières d’immigration contribueraient certainement à améliorer la situation. Mais rien de cela ne verra le jour. Protégée par des conventions internationales et par une jurisprudence interne qui a fait naître un droit à l’immigration s’imposant à tous les autres, seule une véritable révolution sociétale et juridique passant par un rétablissement de notre souveraineté serait à même d’inverser cette tendance. 

    Mais pour cela, il ne faudra certainement pas compter sur ceux qui nous gouvernent actuellement.


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  • Des lois pour mourir dans l’indignité : l’offensive de la majorité sur l’euthanasie

    Comme on pouvait s’y attendre, certains dans la majorité tentent de profiter de l’état de sidération des Français liée à la pandémie pour faire avancer en catimini diverses revendications sociétales, symboliques et qui ne coûteront pas cher. Ç’a été le cas avec la bioéthique, avec l’allongement du délai légal de l’avortement. C’est le cas, maintenant, avec l’euthanasie. La ficelle est grosse mais, néanmoins, cela semble toujours fonctionner.

    La semaine dernière, alors que la France est fonctionne au ralenti par les mesures liées à la crise sanitaire, que l’économie et la culture s’effondrent, que la précarité explose, que les personnes âgées meurent dans la solitude de leurs EHPAD, le ministère de la Santé n’a pas jugé plus utile que d’annoncer un plan d’accompagnement de la fin de vie.

    Cette annonce a eu quelque chose à la fois d’indécent et de choquant, quand on connaît les conditions actuelles de prise en charge en milieu hospitalier, la misère absolue des moyens alloués à l’hôpital public et l’anonymat, la détresse traversés par les patients dans le parcours de soin, détresse considérablement aggravée depuis la pandémie par l’interdiction de recevoir des visites lors des séjours hospitaliers post-opératoires.

    Mais puisque les Français sont abreuvés quotidiennement des statistiques sur la mortalité liée au Covid-19, n’y a-t-il pas meilleure idée que de lancer un grand plan « fin de vie » en France ? Le sujet est bien dans l’air du temps ! Il contribuera certainement à faire croire que le gouvernement s’intéresse vraiment au sort des personnes âgées ou des personnes en fin de vie, aux soins palliatifs et à l’humanisation des soins. Mais il faudrait être bien naïf pour le croire.

    À peine l’annonce a-t-elle été faite que les lobbies pro-euthanasie se sont engouffrés dans la brèche en déployant leur communication émotionnelle bien huilée, leur pathos, leur droit à mourir et leur dignité inversée. C’est ainsi que, surfant sur la mort programmée de Paulette Guinchard, ancien ministre du gouvernement Jospin, quatre propositions de loi ont été déposées à l’agenda parlementaire sur « l’aide active à mourir » : en réalité, sur le suicide médicalisé.

    L’une de ces propositions a échoué au Sénat, tandis que celle d’Olivier Falorni, intitulée « donner le droit à une fin de vie libre et choisie », sera débattue le 9 avril prochain, avec l’appui décisif de la présidente LREM de la commission des lois à l’Assemblée nationale. La majorité ne cache même plus son ambition d’avancer sur ce sujet, tout en réclamant hypocritement un « consensus ».

    On se souvient du « consensus » recherché sur la révision des lois de bioéthique. Il n’y eut pas de consensus, mais clairement une majorité hostile. Le gouvernement fut surpris de l’ampleur de l’opposition à ce texte, pour lequel il pensait probablement que les Français se laisseraient manipuler sans réagir.

    Mais l’opinion ne se gagne pas à coups de sondages mensongers et de manipulations. Elle se gagne par la voie de la démocratie et, surtout, elle ne peut choisir délibérément d’ignorer la vérité de la conscience humaine.

    Sabine Faivre

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Peut être un mème de 2 personnes et texte qui dit ’La France selon la gauche: Les méchants Les gentils åF’


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  • L’intervention de Pierre Cassen, ovationné par les Patriotes

     


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  • Le 16 mars 1986, 35 députés du Front National faisaient leur entrée à l'Assemblée nationale

    Le 16 mars 1986, Jean-Marie Le Pen, à l'issue d'une campagne offensive, brillante et intensément militante de Rassemblement national marquée par de nombreux incidents suscités par l'extrême gauche - provocations auxquelles nos hommes de la Direction/Organisation/Meetings (les DOM, SO d'avant DPS) menés par Roger Holeindre répondaient systématiquement avec force et efficacité - fait entrer 35 députés à l'Assemblée nationale.

    Quelques uns trahiront très vite. Mais le groupe FN-RN sera, pendant deux années, un modèle d'inventivité, d'assiduité, d'animation et de rénovation, aussi bien sur le fond que sur la forme, d'un hémicycle vermoulu.

    Dans le même temps, nos élus dans les Conseils régionaux faisaient massivement leur entrée dans les exécutifs.

    En 1986, tout était possible pour la Droite nationale.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France


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