• Peut être un dessin animé


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  • Peut être une image de une personne ou plus et texte qui dit ’derrière chaque siège vide se cache un élu que l'on paye pour rien avec nos impôts!! UN VENT DE REVALTE juste inadmissible!!’


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  • Info BV : une note interdit aux gendarmes d’exprimer une opinion sur le vaccin contraire à celle du gouvernement… y compris sur leur messagerie privée

     
     

    Y a-t-il un malaise dans la gendarmerie après la « note express n° 050481 GEND/CAB » du 17 août 2021 « relative à la vaccination des militaires de la gendarmerie contre la COVID-19 » et qui liste les personnels (à peu près tous) soumis à l’obligation vaccinale ?

    La FAQ du 23 août le laisse supposer. Et la réponse apportée à la question numéro 8 « quelles mesures prendre à l’encontre des militaires qui expriment une opinion opposée à la vaccination ? » est pour le moins étrange.

    « Les militaires qui expriment ou diffusent une opposition aux dispositions réglementaires relatives à la vaccination contre la COVID-19 ou une opposition à la  gouvernementale conduite pour gérer la  sanitaire, soit oralement, soit par écrit, dans la sphère professionnelle ou sur Internet, y compris par messagerie privée, contreviennent au devoir de neutralité et au devoir de réserve que le statut militaire leur impose (article L. 4121-2 du Code de la défense). Les intéressés encourent une sanction disciplinaire et, le cas échéant, une suspension de fonction. »

    Il est, par ailleurs, précisé, comme si cela n’allait pas sans dire, que « les militaires qui expriment des propos injurieux à l’égard du président de la République, de membres du gouvernement, de titulaires de fonctions électives ou, en interne, de titulaires de commandement, sont susceptibles, de plus, de faire l’objet de poursuites pénales pour outrage et diffamation ».

    Erreur de syntaxe, ambiguïté involontaire dans la construction de la phrase ou volonté réelle d’inclure le domaine privé ?

    Quoi qu’il en soit, les « ou sur Internet » et « y compris par messagerie privée » laisseraient donc entendre que « la sphère professionnelle » n’est pas la seule concernée : l’expression d’une opinion contraire à la  gouvernementale dans un cadre familial ou amical peut conduire le gendarme à écoper d’une « sanction disciplinaire » ou d’une « suspension de fonction ».

    Bref, s’ouvrir par mail de ses doutes, réticences ou défiance à son frère, l’oncle Gérard ou un vieux copain de fac serait désormais chose interdite pour un gendarme. Ne pas coller aux recommandations gouvernementales aussi, ce qui implique une grande plasticité mentale et un travail de veille permanent puisque celles-ci, depuis le début de cette crise, sont en perpétuel changement.

    Voici ce que dit la loi en la matière de devoir de réserve des militaires et donc des gendarmes (article L4121-2 du Code de la Défense) : « Les opinions ou croyances, notamment philosophiques, religieuses ou politiques, sont libres. Elles ne peuvent cependant être exprimées qu’en dehors du service et avec la réserve exigée par l’état militaire. Cette règle s’applique à tous les moyens d’expression. »

    Alors, jusqu’où va ce devoir de réserve ?


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  • Martin Blachier avoue : « vacciner les gens pour protéger les autres, c’est fini »

    On les aura donc insultés, traités d’égoïstes, de négationnistes suicidaires, méprisés, sermonnés, licenciés, évincés des salles de classe ou des lieux de culture pour rien. Depuis des mois, le matraquage bourre les crânes de sa formule pseudo-altruiste « se vacciner, c’est protéger les autres », à la télé, à la radio, dans les journaux, dans la rue, en classe, en famille, au cinéma ou au bureau. Personne n’aura échappé à ce mantra appris par cœur et répété à son voisin. Le pape François l’aura enjolivé en parlant d’acte d’amour et de participation au bien commun.

    On aurait presque commencé à culpabiliser, à se demander si, comme tout le monde, il ne faudrait pas finir par y passer, que sans la piqûre, on ne pourrait plus vivre en société, tels des parias.

    À quelques jours de la rentrée, on commençait à refaire peser la pression de la vaccination sur les plus jeunes dès douze ans et pourquoi pas trois ou même bébé ? Mais, enfin, les langues commencent à se délier et le temps donner un peu de recul. La bombe vient de tomber et nous vient de Martin Blachier, cet épidémiologiste star des plateaux télé toujours prompt à militer pour la vaccination obligatoire. Il y a deux mois, il affirmait, sur CNews : « Vous devez vous faire vacciner pour les autres […] S’il y a une petite vague épidémique en septembre ou octobre, ces gens que vous fustigez feront refermer le pays et ils y arriveront. »

    Et ce mercredi, volte-face, il reconnaît que « l’immunité collective dont on nous parle est quasiment inatteignable » et, maigre consolation sur la « vie de merde » qu’on nous avait promise, « vacciner les gens pour protéger les autres, c’est fini ». Martin Blachier ne devrait pas tarder à être rappelé à l’ordre, puisqu’il contredit le fameux mantra.

    Ce gouvernement aura définitivement faux sur toute la ligne. Ce qui était inédit, outre le fait qu’on ne devrait pas vacciner en pleine épidémie, c’était la vaccination pour les autres, mais le vaccin n’empêche pas la transmission. Et l’on recommence à évoquer la fameuse balance bénéfice/risque individuelle… Jean-Michel Blanquer osera-t-il encore évincer des classes les élèves non vaccinés ? Les soignants seront-ils encore accusés de contaminer leurs patients ? Vraisemblablement. Mais alors que, chaque jour, le passe sanitaire témoigne de son inutilité voire de sa dangerosité, il devient définitivement caduc. Il faudra faire le dos rond jusqu’au quinze novembre à coups de cotons-tiges dans le nez, mais le maintenir au-delà de cette date sans aucune justification sanitaire s’avérerait encore plus totalitaire.

    Iris Bridier

    Source : http://bvoltaire.fr


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