• «On n’insulte pas les Algériens» : le président Tebboune prévient qu’il ne fera pas «le premier pas» pour apaiser les tensions avec Macron

    Le président algérien Abdelmadjid Tebboune prévient samedi dans une interview accordée à l’hebdomadaire allemand Der Spiegel qu’il ne fera pas «le premier pas» pour tenter d’apaiser les tensions provoquées par des propos critiques d’Emmanuel Macron sur la «nation» algérienne.

     «Je n’ai pas de regrets. Macron a rouvert un vieux conflit de manière totalement inutile», dénonce le dirigeant algérien. «Si (le polémiste d’extrême droite Eric) Zemmour dit quelque chose comme ça, qu’importe, personne ne fait attention. Mais quand un chef d’État déclare que l’Algérie n’était pas une nation distincte, c’est très grave», fustige-t-il.

    Dans ces conditions, «je ne serai pas celui qui fera le premier pas», prévient le chef de l’Etat algérien. «Sinon je vais perdre tous les Algériens, il ne s’agit pas de moi, mais d’un problème national». «Aucun Algérien n’accepterait que je contacte ceux qui nous ont insultés», explique Abdelmadjid Tebboune.

    «On ne touche pas à l’histoire d’un peuple, et on n’insulte pas les Algériens», déplore le président algérien. Pour lui, «ce qui est ressorti, c’est la vieille haine des maîtres coloniaux, et je sais que Macron est loin de penser de cette façon». «Pourquoi a-t-il dit ça ? Je pense que c’était pour des raisons électorales stratégiques», estime le président algérien. […]

    Le Figaro


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  • Darmanin fait gazer une manif de mamans voulant protéger leurs enfants!

    Valls a fait école! Alors ministre de l’Intérieur, il avait fait gazer des mères et des enfants pendant la Manif Pour Tous… Considérant  que c’était une judicieuse idée, le  petit Moussa  a fait ressortir les lacrymos contre un collectif de  mamans manifestant devant l’église de la Madeleine à Paris, tant elles étaient indignées par les nombreuses maltraitances infligées aux enfants, surtout dans les établissements scolaires… depuis le début de la crise Covid.

    Le collectif Mamans Louves, créé à la rentrée scolaire 2021, regroupe des mères  de toute la France, de tous âges et de tous horizons socio-professionnels. Ces femmes sont unies autour d’une même cause : le respect de l’autorité parentale dans la gestion de la crise du Covid, la défense et la protection des enfants. Soutenu par la députée Martine Wonner, ce collectif demande un débat public à Emmanuel Macron sur la situation des enfants affectés par la gestion délétère de cette crise.

     Ces mamans considèrent intolérable que ce  gouvernement se substitue à leur responsabilité de parents pour prendre des décisions ayant des conséquences fondamentales et parfois irréversibles sur la vie des enfants. Elles dénoncent nombre de décisions, irréfléchies, autoritaires, dangereuses, car « elles portent atteinte à la santé psychique et physique, à l’éducation, aux valeurs essentielles que nous devons inculquer à nos enfants. »

    La porte-parole du collectif, Roxane Chafei, rappelle que : « Nous portons nos bébés, nous les mettons au monde, nous les veillons jours et nuits, nous leur donnons l’amour, le soin, l’attention et l’éducation dont ils ont besoin, et à ce titre, nous devons être concertées avant toute prise de décision pour eux. »

    Et comme, sous la dictature Macron, protéger ses enfants  est devenu inacceptable, Darmanin a fait gazer ces redoutables  Mamans Louves.

    En France, désormais, c’est ainsi que le pouvoir débat…

    Daphné  Rigobert

    Hors Zone Press a filmé la scène mais n’autorise pas la publication du lien. En allant sur Youtube, vous pourrez regarder cette vidéo intitulée « Tensions lors de la manifestation du collectif « Mamans Louves ».

    Reportage RT sur cette manif.

     

    https://www.youtube.com/watch?v=9ZmR1Daf_Fo

    Les Mamans Louves sur Sud Radio.

     

     

    https://www.youtube.com/watch?v=8dQOkPan1FE


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  • Peut être une image de texte qui dit ’Quand l'Élysée gave à coup de millions I'IFOP et IPSOS 4 septembre 2021 On pouvait s'y attendre. Les deux mastodontes Français du sondage, l'IFOP et IPSOS, ont décroché le gros lot de la part de l'Élysée. Ces deux instituts de sondages qui gomment scandaleusement le vote populaire dans leur méthode de calcul, ont en effet remporté un marché de bons de commande lancé par le Service d'information du gouvernement (SIG) d'une valeur totale de... 13,9 millions d'euros.’


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  • Voila le genre de crevure qui dirige le monde

     

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