• Noémie, 12 ans, victime de harcèlement et de racisme anti-blanc après avoir dit préférer les Kinder Bueno blancs aux marrons

    Fdesouche


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    Peut être une image de 1 personne et position debout
     
    FRANCE INTER APPELLE CA DE L'HUMOUR !!!!
     
    sont bien hors sol les pauvres !! cette nana n'est pas drole et se trompe totalement de cible, et ne se rend meme pas compte qu'elle sert celui qu'elle croit dézinguer !!!!!
    L'humoriste de France Inter Charline Vanhoenacker s’amuse avec les affiches d’Eric Zemmour
    Charline Vanhoenacker, humoriste et chroniqueuse sur France Inter, a posté ce jeudi 16 septembre, un tweet invitant à customiser les affiches "Eric Zemmour 2022". Le Z devient support à une signature peu élogieuse...
    Charline Vanhoenacker est l'une des voix de France Inter. Celle qui co-anime chaque jour à 17h l'émission Par Jupiter vient de glisser un tacle appuyé au polémiste - et futur candidat ? - Eric Zemmour. Son tweet posté en milieu d’après-midi ce jeudi 16 septembre a rapidement pris de l’ampleur. Dans une vidéo de 18 secondes, l'humoriste de la station de radio la plus écoutée de France lance ce qu’elle appelle sobrement "un petit jeu". Le concept : travestir les affiches "Eric Zemmour 2022", en ajoutant un O et un B sur le Z de Zemmour...
    Baptisé "Toi aussi poste ton Zob", cet appel est évidemment un clin d'oeil dénigrant au potentiel candidat à la présidentielle. Dans cette vidéo, Charline Vanhoenacker se revendique du mouvement national de LOL activism...
    Pas sûr que le principal intéressé apprécie l’initiative. D'autant qu'à la fin de la vidéo, la chroniqueuse esquisse une moustache sans équivoque...
    Le divorce semble consommé depuis longtemps entre le polémiste et France Inter. La ligne éditoriale de la radio publique n'étant pas tout à fait en adéquation avec les idées zemmouriennes...
     
    Maintenant pour ce dédouanée, cette gamine d'âge mental de 8 ans avec un pois chiche dans son cervelet ,devrait prendre un portrait de Jupiter,de lui faire une petite moustache du socialiste Hitler et non d'extrême droite comme tous les gauchos baveux le prétendent et de lui faire un petit zizi en bâton de berger à la Braguette  .

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  • Pas capable de faire des gosses, Macron veut piquer les nôtres! 


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  • Chèque énergie, explosion des prix du gaz et de l’électricité, Bruno encore ministre : tout est transitoire !

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    Alors qu’en France, tout indiquait que la situation économique, maîtrisée par un gouvernement d’experts, serait résolument d’un calme olympien, survient soudainement un petit accroc au bon goût jupitérien : les prix de l’énergie commencent à montrer des signes d’affolement. Flûte et zut, les mois d’hivers, énergivores, pourraient coûter plus cher que prévus aux Français et, pire, aux électeurs. Voilà qui pourrait envenimer une campagne présidentielle pourtant placée sous le signe de la joie de vivre dans un pays apaisé.

    Le constat est en effet embarrassant : les prix de l’énergie en Europe ont vigoureusement grimpé ces dernières semaines et ne donnent pas l’impression de se calmer. Cela tombe mal : alors que l’hiver ne s’annonce pas spécialement chaud, les prix de l’énergie ont commencé à grimper un peu partout en France, en Espagne, au Royaume-Uni, en Allemagne.

    Ainsi, depuis le mois d’août 2020, sur le marché ICE de Londres, le prix du gaz naturel a pris quelque 90% pendant que le charbon thermique voyait son prix de référence tripler. Sapristi, certains vont vraiment sentir passer leur prochaine facture d’électricité ou de gaz.

    Apparemment, cette explosion des prix comporterait plusieurs facteurs explicatifs, depuis une reprise économique marquée en Asie, qui consomme traditionnellement plutôt du gaz pour ses besoins énergétiques, et qui a récemment accaparé une forte proportion de la production mondiale. Parallèlement, on déplore aussi une baisse de la production russe vers l’Europe suite à des soucis techniques, liés à l’incendie dans une usine de traitement de gaz pour le Yamal-Europe, le gazoduc germano-russe.

    Quant à l’électricité, elle marque une hausse importante liée à une demande forte naturelle en cette période de rentrée, et notamment par le fait que la modularité de sa production est assurée par… le gaz (dont le coût augmente) et le charbon (dans une proportion qui diminue heureusement). Dans ce tableau, on se réjouira du choix fait par la France de se concentrer sur le nucléaire, et on pourra s’interroger sur la pertinence de tout faire pour l’abandonner au moment où il devient de plus en plus décisif pour le pouvoir d’achat des Français…

    Au demeurant, le plus intéressant de ces hausses bondissantes des tarifs du gaz & électricité est qu’on va inévitablement assister à un accroissement notable des prix des produits qui dépendent justement de ces énergies dans leur fabrication et production, comme la métallurgie (l’acier notamment), la chimie ou l’agroalimentaire dont le rabotage des marges, amoindries par cette hausse, devra être compensé par une hausse des prix au consommateur final (rassurez-vous, c’est bien de vous qu’il s’agit ici).

    Bonus supplémentaire : avec la transition écologique qui tombe vraiment à pic, le prix du CO2, totalement artificiel car exclusivement issu de régulations arbitraires, augmente gentiment lui aussi, ce qui ajoute au coût global de production. Youpi.

    Eh oui, cette transition énergétique, obstinément votée et revotée par une bande de décroissants au beurre de contribuable, dont la facture estimée était déjà stratosphérique, va donc nous coûter encore plus cher que prévu. Prudent, vous prévoyiez d’y perdre un bras ? Eh bien ajoutez-y vos deux jambes, et le compte n’y sera sans doute pas. Au passage, cela donne une petite idée de ce que « inflation transitoire » signifie vraiment et si le mot foutaise vous vient naturellement à l’esprit, c’est normal : oui, il va y avoir de l’inflation, et son impact n’en sera vraiment pas transitoire.

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    Devant une telle situation, on pourrait sombrer dans le désespoir. Heureusement, Bruno Le Maire ne laissera pas faire et enfile dare-dare son pyjama de combat, saisit d’un coup d’oeil expert l’ampleur des problèmes, et, sans attendre que son cerveau surpuissant ne distille une autre pensée vagabonde, entre en jeu : puisqu’il le faut, le gouvernement va agir !

    En préambule, Bruno nous rappelle un élément fondamental, quasi-philosophique, de toute prise de décision : tout ceci n’est que temporaire (et aussi transitoire que l’inflation). Il n’y a donc aucune raison de s’agiter inutilement.

    « Notre analyse, c’est que cette augmentation est temporaire et que les choses devraient se stabiliser en 2022 »

    Voilà, ne paniquez pas mes loulous contribuables, tout ceci devrait se stabiliser gentiment en 2022. On est immédiatement rassurés, notamment parce que le ministre, grâce à une puissance d’analyse maintes fois démontrée, ne se trompe jamais. Ca se stabilisera. À quel niveau, à quel moment, et pour qui, on n’en sait rien mais peu importe.

    En outre, le Bruno de Bercy ne s’arrête pas en si bon chemin et ne se contentera pas de rassurer les Français : il peut aussi, dans le même temps et grâce à sa souplesse légendaire, les soulager par l’application sur leurs plaies fiscales de riches onguents gouvernementaux : le ministre de l’Économie, tout empreint d’une hardiesse qui sied à ce sémillant quinquagénaire à l’intelligence surdéveloppée, n’a pas exclu de recourir au « chèque énergie », ce procédé vraiment malin par lequel l’État donne une somme d’argent aux Français pour qu’ils puissent payer leur énergie (un peu comme les chèques de rentrée scolaire, mais sans la possibilité d’acheter un écran plat avec). Or, comme cette somme provient directement des étables à licornes de la République qui produisent tous les jours un peu plus de chèques et de subventions à paillettes colorées, on sait déjà que Bruno n’aura pas de mal à distribuer ces chèques pour mettre un peu plus de paillettes dans la vie énergétique des Français.


    Enfin, si la distribution de paillettes « chèques énergie » et d’argent gratuit des autres ne suffit pas, l’actuel Ministre des Absences d’Économies propose un petit geste fiscal, toujours tout en souplesse avec un déhanché de toréro : puisqu’il est loisible à l’État de distribuer l’argent qu’il n’a pas, il lui est aussi relativement simple de piocher un peu moins violemment dans les poches de ses contribuables. Nul doute que l’effet obtenu (une augmentation de la distribution d’argent magique couplée à une diminution de la ponction d’argent des autres) sera d’excellente augure pour les finances dont Bruno a la charge.

    Que voulez-vous : les élections approchent et le sort du champion actuel de l’Élysée dépend de ces petites entorses à l’excellente gestion du budget français.

    Chose encore plus amusante et simultanée : pendant que l’Europe, en comptant sur le vent et le soleil, choisit donc de se passer d’énergie et de retourner à la misère, la Chine choisit, elle, d’augmenter ses capacités et d’innover, chose que la France n’a plus fait avec décontraction depuis au moins un quart de siècle.

    Vraiment, heureusement qu’on a Bruno !

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