• Discrimination positive : toujours plus de chauffeurs afro-musulmans à la RATP

    La RATP forme et embauche encore plus de barbus du 93 ; voici Mahran, votre futur chauffeur (une pensée émue pour Ghislaine Dumesnil… Lire ou relire son livre Mahomet au volant, la charia au tournant, Ed. RL).

    La charte « Seine-Saint-Denis Égalité » a été renouvelée ce mardi entre la Régie de transports et le département. À la clé : formations et remises à niveau. Un quart des recrutements franciliens viennent déjà du 93. L’article du Parisien, grâce à ses superbes images, illustrerait à merveille la thèse du Grand Remplacement…

    Source : http://ripostelaique.com


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  • Fabien Bouglé : « Il y a une invasion voulue par le gouvernement de ces monstres d’acier qui polluent notre environnement »

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    Les grandes vacances commencent ; l’occasion, pour les Français, de découvrir les éoliennes qui poussent comme des champignons sur le territoire national.
    Par ailleurs, la commission des finances de l’Assemblée nationale se penche actuellement sur le coût de l’éolien. 

    L’occasion, pour Fabien Bouglé, qui lutte depuis dix ans contre l’implantation des éoliennes, de dénoncer la volonté du gouvernement d’imposer brutalement la transition énergétique – passant par la multiplication par trois du nombre de ces monstres d’acier – liée à d’importants enjeux financiers. Coût pour le contribuable, pollution, recyclage, effets sur la santé… Fabien Bouglé évoque, au micro de Boulevard Voltaire, tous les sujets tabous et angles morts de ce dossier très polémique. 


      Les vacances d’été arrivent.C’est l’occasion pour les citadins de partir à la campagne pour sortir de l’enfer urbain.C’est aussi l’occasion de découvrir ces éoliennes qui poussent un peu partout sur le territoire national pour la plus grande joie de ceux qui apprécient les beaux panoramas…
    Parmi les promesses d’Emmanuel Macron, la multiplication de ces éoliennes va aller en s’aggravant.
    Condamnez-vous cette initiative présidentielle ? En tant que lanceur d’alerte, cela fait une dizaine d’années que je lutte contre l’implantation des éoliennes. 
    Je suis porte-parole du « réseau Ulysse » et du collectif « ne touche pas à nos îles ». 
    Ce dernier a pour but de combattre les éoliennes entre l’île d’Yeu et Noirmoutier. 
    J’ai été vice-président de la Fédération environnement durable. 
    Cette Fédération regroupe les 1500 associations qui luttent contre les éoliennes.

    Les aérogénérateurs – c’est le nom scientifique des éoliennes – sont des monstres d’acier qui polluent notre environnement et nos paysages. 
    Nous en subissons une invasion volontaire. 
    En pleine crise des Gilets jaunes, le président de la République en annonçait la multiplication par trois.

    La crise des Gilets jaunes avait commencé avec la volonté du gouvernement d’instaurer une taxe diesel pour financer la transition énergétique. 

    La taxe diesel a été abandonnée.
    Les éoliennes vont-elles se multiplier pour compenser ce manque à gagner du gouvernement ?


    J’ai découvert par les documents de la Commission de régulation de l’énergie, une délibération de novembre 2018. 
    Ce document disait que les subventions à l’éolien terrestre et marin, cumulé avec les subventions liées au photovoltaïque et les dettes qu’a l’État à l’égard d’EDF, représentent 160 milliards d’eurossur 20 ans. 
    C’est à peu près 8 milliards d’euros d’engagement par an, financé par le contribuable. 
    J’ai découvert que c’était également financé par le consommateur d’essence au travers de la TICPE, la taxe carbone.
    À l’origine de la crise des Gilets jaunes, la Commission de régulation de l’énergie nous explique que pour subventionner l’éolien et le photovoltaïque, il faut trouver des modes de financement. 
    L’essence est ce mode de financement. 
    On prend de l’argent des contribuables et des consommateurs d’essence pour le redistribuer aux promoteurs éoliens qui en font leur bénéfice.
    Globalement, les subventions financent la différence entre le tarif habituel de l’électricité – environ 45 euros le méga watt-heure – et le tarif subventionné de 80 euros le méga watt-heure ou 180 euros le méga watt-heure pour les 6 centrales en projet en mer. 
    Tout cela fait des sommes gigantesques.
    Cela n’était pas surprenant qu’en début de la crise des Gilets jaunes, François de Rugy répondait qu’il fallait continuer le cap de la transition énergétique. 
    La crise des Gilets jaunes est liée à cette volonté farouche du gouvernement d’imposer une transition énergétique et écologique. 
    C’est une pure transition d’hommes d’affaires qui veulent s’accaparer l’argent et les revenus des contribuables français.

    Demande-t-on aux contribuables français son avis sur le financement de ce surcoût de l’énergie ?

    Vladimir Poutine a dit lors de sa conférence de presse de janvier 2019 « la crise des Gilets jaunes est la crise des Français qui ne veulent pas financer le changement de leur système énergétique et de leur ressource d’électricité ».
    Cet argent à fond perdu sert à financer un changement de dispositif électrique. 
    On passe d’une électricité charbonnière, gazière ou nucléaire à une électricité éolienne payée deux fois plus cher pour le terrestre ou trois à quatre fois plus cher pour le marine qui sont subventionnés au seul profit des promoteurs.
    Pour ce qui concerne l’éolien en mer, ces promoteurs ne sont bien souvent pas Français. 
    Je peux citer le consortium EMINE ou le consortium qui détient le projet de centrales éoliennes au Tréport. 
    Ce consortium est détenu à hauteur de 70 % par des Japonais et des Chinois.

    On a bien compris que l’éolien coûtait une fortune. 
    Comme on nous vend que la planète va mourir et que le réchauffement climatique a lieu, on serait tenter de se dire que financer une transition énergétique plus durable et plus respectueuse de l’environnement, pourquoi pas ?

    On est dans un pays très particulier. 
    Quand on parle de réchauffement climatique, on sait que le réchauffement climatique serait le fait d’émissions de gaz à effet de serre et de CO2 dans l’atmosphère. 
    Or, en France la majorité de nos ressources électriques est décarbonée.
    La France est le pays le plus vertueux qui soit dans l’Union européenne en termes d’émissions de gaz à effet de serre. 
    Notre production d’électricité produit très peu de gaz à effet de serre. 
    Le gouvernement, dans sa volonté farouche de développer des éoliennes, est en train de transformer une électricité d’origine décarbonée en une électricité éolienne intermittente.
    Le facteur de charge des éoliennes est de 22 %. 
    En France, les éoliennes ne fonctionnent que 22 % du temps de leur capacité maximum d’utilisation. Au moment où les éoliennes ne tournent pas, nous sommes obligés d’utiliser des usines au gaz et au pétrole. 
    Ces usines sont émetteurs de gaz à effet de serre. 
    C’est contradictoire. 
    Plus on développe des éoliennes plus on est obligé de développer des usines au pétrole ou au gaz. Elles sont elles-mêmes émettrices de gaz à effet de serre. 
    On est dans une schizophrénie totale. 
    Cette source d’électricité est en réalité extrêmement polluante en particulier dans sa fabrication et dans son mode d’installation.

    L’éolienne 100 % vert existe-t-elle ?

    Pour une éolienne, il faut des métaux rares produits en Chine dans des mines qui émettent des déchets radioactifs. 
    Il y a une mine en Mongolie qui a deux fois plus de radioactivité que la centrale nucléaire de Tchernobyl. 
    On a même des émissions de déchets nucléaires par la recherche de métaux rares qui constitue un des éléments les plus importants du rotor des éoliennes.
    Pour ce qui est des pales, ce sont des matières non recyclables. 
    Ces fibres de carbone ne sont pas recyclables. 
    Les socles en béton où sont posés les mâts restent sur place. 
    La loi demande simplement d’enlever un mètre de hauteur des socles. 
    Les promoteurs éoliens enfoncent le socle de un mètre par rapport au niveau du sol.
    Il ne s’agit que de matières polluantes et non recyclables. 
    Aujourd’hui, il n’y a aucune disposition légale qui impose le recyclage des éoliennes. 
    Elles partent à la décharge.

    Les éoliennes produisent une nuisance panoramique. 

    Si c’est le seul problème, on pourra s’y faire…

    Il faut ajouter aux problèmes de l’éolien, les problèmes liés à la santé humaine et animale. 
    Il y a actuellement un énorme scandale à Nozay en Loire-Atlantique. 
    Plus de 300 vaches sont mortes depuis l’installation de la centrale éolienne. 
    Les infrasons créent un syndrome éolien. 
    Cela représente de gros problèmes de santé, tachycardie, malaise, dépression. 
    Toutes les personnes étant à proximité de ce parc présentent ces problèmes. 
    Ils sont soulevés dans le monde entier. 
    Des études scientifiques sont réalisées en Australie, aux États-Unis et au Canada. 
    En Allemagne, l’académie de médecine allemande a lancé une alerte pour demander l’arrêt de l’installation des éoliennes compte tenu des maux de santé qui allaient résulter de ces installations.
    En France, l’académie de médecine a préféré dire « c’est l’effet nocebo ». 
    L’effet nocebo, c’est la tarte à la crème des promoteurs éoliens. 
    C’est l’effet négatif sur l’éolien qui crée les problèmes de santé des citoyens à côté des éoliennes. C’est parce qu’ils ont des informations négatives qu’ils sont malades, disent-ils… 
    Les vaches mortes n’avaient a priori pas d’informations négatives sur les éoliennes. 
    C’est donc du foutage de gueule et du grand n’importe quoi !
    En Australie, cela a été dénoncé par une commission d’enquête. Ils disent : « arrêtez de raconter n’importe quoi avec l’effet nocebo ». 
    C’est une réalité que vivent les gens !
    Ce négationnisme de l’état de santé des impacts des éoliennes sur la population est totalement insoutenable et crée un trouble psychologique supplémentaire aux troubles médicaux auquel peuvent être confrontés les habitants qui sont à proximité des éoliennes. 
    Il faut dénoncer avec force cette théorie inacceptable. 
    Malheureusement, elle a été récemment reprise par l’Académie de médecine française.

    En ce moment à Paris siège une commission parlementaire de financement de la transition écologique. 

    A priori, elle se penche sur ces questions de l’éolien.
    Quels résultats sortent de ces travaux ?


    Cela fait à peu près six mois que la commission d’enquête parlementaire présidée par Julien Aubert fait ces travaux. 
    Elle finira fin juillet. 
    Des polytechniciens interviennent. 
    Ils expliquent que l’éolien en mer est une catastrophe. 
    La question de l’intermittence du vent conduit à ce problème d’émission de gaz à effet de serre indirect. 
    Les pêcheurs sont également venus exprimer leur colère face à la destruction de leur activité professionnelle. 
    Installer des éoliennes dans des zones de pêche c’est détruire toutes possibilités pour les acteurs de la pêche de vivre de leur travail. 
    Ils ont des indemnités absolument dérisoires.
    Quatre professionnels de la pêche ont été entendus il y a quelques semaines. 
    Il va y avoir aussi toutes les questions de l’acceptabilité sociale. 
    Les promoteurs éoliens annoncent dans leur sondage que 80 % d’avis sont favorables.
    Le Figaro a fait un sondage dont la question était : « êtes-vous favorables à l’éolien ? ». 70 % des sondés répondent non !
    Lors d’une commission d’enquête dans le cadre du projet de parc éolien entre l’île d’Yeu et Noirmoutier, 80 % des interventions dans le cadre de cette enquête publique exprimaient une opposition à ce projet. 
    De très nombreux sondages sont réalisés dans la presse régionale quotidienne et à chaque fois le sondage révèle une opposition entre 60 et 80 %.
    La première contribution sortie au Conseil économique et social est celle pour la transition écologique. 
    C’était la fin des subventions à l’éolien.
    Récemment, une mission d’information à l’Assemblée nationale a eu lieu sur les problèmes de transition énergétique. 
    La fin de l’éolien était la proposition la plus votée dans le cadre d’une consultation publique.
    Il y a vraiment un problème entre les sondages qui sont financés par les promoteurs éoliens qui veulent nous faire croire qu’il y a une acceptabilité sociale forte. 
    La réalité est tout autre avec des sondages toujours défavorables. 
    De plus, les associations antiéoliennes ne font que se multiplier. 
    Cela ne peut pas durer !
    Le gouvernement doit entendre la colère populaire et le fait que le monde rural ne veut pas être la victime d’un monde urbanisé qui souhaite changer le mode de vie des gens.
    D’un côté, on a le boboisme écologique – il faut sauver la planète – à grand renfort de jeunes filles décérébrées à qui ont dit ce qu’il faut dire. 
    De toute façon, on n’aura pas d’éolienne dans Paris.
    Au nom de cette morale écologique, on souhaite imposer aux ruraux une industrie avec des montres d’acier de 150 mètres de haut. 
    C’est la moitié de la tour Eiffel et l’équivalent de la tour Montparnasse.
    En tant qu’élu conservateur, je côtoie des camarades antiéolien de tous les partis politiques. 
    C’est vraiment formidable. 
    C’est une ouverture d’esprit qui nous permet de rencontrer et de discuter avec des personnes, tous courants politiques confondus, qui sont attachés à notre pays et à ses paysages. 
    Cette agglomération de personnalités et de sensibilités différentes fait qu’on a une amitié française qui se crée sur le fondement de la préservation de l’âme de notre pays, son paysage et son patrimoine architectural et paysager.
    Les antiéoliens sont peut-être les acteurs d’un renouveau citoyen et d’une reprise en main de notre destin écologique par la lutte contre la lutte de l’écolobusiness. 

    Ce sont des affairistes du vent qui ne sont là que pour faire de l’argent au détriment des populations. 

    Il faut dénoncer ouvertement la transition écologique qui n’est qu’une histoire d’argent au détriment de la population.

    Fabien Bouglé

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  • FRANCE : Ta justice, tes institutions, tout fout le camp !

    L'AURORE.overblog.fr -:-:-:-:-:-:- par Manuel GOMEZ           par Manuel GOMEZ

    France ta justice « fout le camp », et ce n’est pas une blague ! Jugez par vous-même : Jeudi 13 juin, vers 13 h 50, gare SNCF de Romans-sur-Isère, une jeune femme de 31 ans, avec son bébé dans une poussette, est abordée par un ressortissant clandestin de nationalité algérienne qui lui fait des propositions à caractère sexuel (Il est vrai, n’est-ce pas, que selon certains imams et certains rappeurs musulmans, les islamistes ont le devoir d’engrosser le plus possible de femmes françaises afin d’améliorer la démographie de notre pays !).

    Cette honnête maman a refusé avec fermeté ces propositions, ce qui a mis très en colère l’algérien qui a balancé la poussette et le bébé et soulevé la jupe de le jeune femme tout en l’insultant d’une manière particulièrement obscène.

    Interpellé par la police et placé en garde à vue, le clandestin, âgé de 22 ans, qui était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, est ressorti totalement libre du commissariat à l’issue de sa garde à vue « mais assigné à résidence ».

    De qui se moque-t-on ? A quelle assignation à résidence peut être obligé un clandestin menacé d’expulsion qui, forcément, n’a pas de résidence fixe ? J’aimerais que l’on m’explique cette sentence absurde !

    Le dossier, apprend-t-on, sera transmis au parquet qui décidera des suites à donner, alors que l’on sait pertinemment « que de suites il n’y aura pas ».

    Ce clandestin peut donc tenter de renouveler son agression sexuelle, et peut-être même réussir à violer une jeune femme française, puisque nos magistrats lui ont laissé la liberté de recommencer.

    N’aurait-il pas été plus judicieux de l’expulser séance tenante afin qu’il débarrasse au plus vite la ville, la région, le pays !

    Et quand ce n’est pas la justice, ce sont nos institutions qui « déconnent ».

    A Chambourcy (78), quatre élèves sont exclus des classes de 5éme et de 4ème, du collège André-Derain pour violences.

    L’un d’eux pour des attouchements sur une « adulte » du collège, les trois autres pour avoir agressé violemment, le 22 février, un élève.

    Deux le frappaient cependant que le troisième filmait.

    Cette décision totalement justifiée a été purement et simplement annulée par la commission d’appel académique de Versailles.

    Des bureaucrates installés confortablement dans leurs fauteuils qui portent ainsi un grave préjudice et discréditent l’autorité du personnel enseignant qui, sur le terrain, se trouve trop  souvent confronté aux insultes, violences et agressions, que ce soit de la part de certains élèves ou de certains parents totalement irresponsables.

    Les enseignants du collège de Chambourcy se sont mis en grève ce dernier vendredi, pour protester contre cette décision inique du rectorat, mais c’est l’ensemble des enseignants qui auraient dû se joindre à cette protestation, avec énergie contre une hiérarchie irresponsable.

    On souhaiterait savoir ce que pense de cet incident le ministre de l’Education Nationale, Jean-Michel Blanquer ?

    En revanche, en Espagne, le passage devant des magistrats n’est pas nécessaire pour la reconduite à la frontière.

    Pas de demi-mesures pour la soixantaine de migrants clandestins, dont 15 mineurs, tous marocains, qui ont affrontés les forces de l’ordre sur le port de Ceuta (Maroc espagnol) et qui, après avoir réussi à pénétrer sur le territoire espagnol, ont tous été immédiatement reconduits dans leur pays en vertu de la loi sur les étrangers entrant illégalement.


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  • Tous les terroristes doivent être expulsés dès leur sortie de prison.

    L'AURORE.overblog.fr -:-:-:-:-:-:- par Manuel GOMEZ           par Manuel GOMEZ

    Un terroriste, membre de la filière djihadiste des Buttes-Chaumont, Mohammed Taha El Hannouni, âgé de 25 ans et originaire du département des Yvelines, condamné pour terrorisme aggravé en juillet 2017 à 7 ans de prison, pour association de malfaiteurs terroristes, qui avait déjà agressé des surveillants pénitentiaires alors qu’il était détenu au Centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, dans le département de l’Orne, en Normandie, tout récemment mis en actualité par une prise d’otages de deux gardiens de prison.

    Lors de cette première agression la compagne de El Hannouni avait été très grièvement blessée durant l’intervention des forces de l’ordre et avait succombée à ses blessures.

    Transféré au Centre pénitentiaire du Havre, en Seine Maritime, Mohammed Taha El Hannouni a récidivé ce jeudi 20 juin. Dès l’ouverture de sa cellule, à 7 h du matin, il a frappé les deux surveillants à l’aide d’un pied de table en fer et des tronçons de verre, les blessant au niveau des bras et des jambes, aux cris d’Allah Akbar.

    Fort heureusement ils n’ont été que légèrement blessés.

    Le détenu a été immédiatement placé en quartier disciplinaire et une enquête a été ouverte par la direction de la police judiciaire de Rouen et la section antiterrorisme du parquet de Paris a été également saisie.

    Les surveillants de la prison du Havre ont exercé immédiatement leur droit de retrait.

    Ce terroriste radicalisé sera libérable en 2021, même si sa condamnation est prolongée à cause de cette nouvelle agression, il sortira un jour de prison : « A votre avis sera-t-il « déradicalisé » ? Ou prêt à s’attaquer de nouveau à des citoyens français innocents, vous peut-être, qu’il croisera quelque part en ville ?

    Le syndicat UFAP-UNSA a dénoncé la « gestion calamiteuse » des détenus radicalisés.

    Cette gestion que nous dénonçons depuis des années dans Riposte Laïque, Dreuz.Info et ici-même

    Tous ces terroristes doivent être expulsés dès leur libération vers leurs pays d’origine. Ils doivent être déchus de leur nationalité, s’ils sont « Français » et la question ne se pose même pas s’ils sont étrangers !

    Devant le laxisme coupable des magistrats et la peur de commettre une bavure par les membres des forces de l’ordre, les terroristes, les délinquants, les voyous, ne craignent plus d’être interpellés et condamnés car ils savent qu’ils ne craignent pas grand-chose.

    C’est ainsi que mercredi soir le chef de la police municipale de la petite ville de Cateau-Cambrésis, dans le Nord, a été renversé par un voyou qui a refusé de se soumettre à un contrôle, après avoir percuté une voiture.

    Dans un premier temps il a refusé de présenter ses papiers et foncé délibérément sur le policier, qui a été propulsé contre un mur, selon la déclaration du maire, Serge Siméon.

    L’un de ses collègues a fait usage de son arme de service « en prenant bien soin d’éviter de toucher l’individu en fuite », qui, par réaction, a percuté trois autres véhicules, dont celui des policiers, avant de disparaître.

    La brigade de recherche de la gendarmerie de Cambrai a été chargée de l’enquête pour « tentative d’homicide ».

    Nous sommes en guerre, paraît-il, contre le terrorisme, contre les djihadistes, contre les assassins, mais ce n’est pas ainsi que l’on gagne des guerres.

    Dans une guerre nos soldats risquent d’être tués, certes, mais surtout leur devoir, leur droit, est de tuer nos ennemis.

    Dans notre (supposée) guerre ce sont les nôtres qui sont le plus souvent tués et nos ennemis préservés d’une mise à mort, quand ils sont condamnés ailleurs, et « choyés » dans nos prisons, quand ils ont la chance de revenir « chez nous » !  

     

     


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  • ~~ KATZ… CRIMINEL DE GUERRE ~~

    ~~ KATZ… CRIMINEL DE GUERRE ~~

    « Et ton nom paraîtra dans la race future, aux plus cruels tyrans, une cruelle injure ! »

    Jean Racine - (« Britannicus »)

    En ce début d’année 1962, en Algérie, l’Organisation Armée Secrète était arrivée à l’apogée de sa puissance et le slogan « l’OAS frappe où elle veut, quand elle veut », n’avait jamais été aussi vrai. A Oran, elle était maîtresse de la ville. A sa tête figurait des noms prestigieux comblés de gloire et d’honneurs qui entretenaient un climat de confiance malgré le tragique de la situation…

    Le gouvernement gaulliste ne pouvant admettre pareille humiliation, avait nommé à la tête du secteur autonome d’Oran, afin de réduire cette « OAS narguante » -et pour le malheur des Oranais- le 19 février 1962, le général Joseph Katz en remplacement du général Fritsch qui refusait de pratiquer sur les membres de l’OAS cette besogne de basse police qu’était la torture. La mission de Katz : « Mettre au pas la ville sous contrôle de l’OAS ». L’Organisation était alors dirigée par les généraux Jouhaud et Gardy, le colonel Dufour, le commandant Camelin, le lieutenant de vaisseau Pierre Guillaume, Charles Micheletti et Tassou Georgopoulos.

    En bon exécutant, Katz, s'apprêtait à écraser ceux qui refusaient d'obéir aux ordres de l'Elysée et ceux qui persistaient à crier « Algérie française ! », maxime désormais classée comme « cri séditieux », ajoutant aux vertus de l'obéissance passive, une haine que même le règlement de la gendarmerie (sa garde prétorienne) ne prescrivait pas.

    Carré d'épaules, rond de ventre, aussi peu distingué que son complice d’Alger, le colonel Debrosse, outre celle de leur cruauté, on leur prêtait une certaine ressemblance : même corpulence massive, même front de taureau, même manie de traiter tout le monde de « con » ou de « bon à rien », même absence de scrupules. En somme, pour reprendre les mots de Lamartine : « Rien d’humain ne battait sous son épaisse armure ».

    Katz était un militaire républicain que De Gaulle avait cueilli à Bordeaux pour l'envoyer mater la « racaille d'Oran » (sic). Son sentiment à l'égard des Pieds Noirs était celui-ci : « Un ramassis de descendants de déportés de droit commun, de négriers qui veulent conserver leurs privilèges. ».

    Alors qu'à Alger, depuis la sanglante affaire des Barricades, on avait surnommé Debrosse : « Le sanguinaire », très vite, aux yeux des Oranais, Katz allait devenir « Le boucher ». Pour briser toute résistance, la première consigne qu'il donna à sa troupe essentiellement constituée de « gens sûrs », en l'occurrence les Gendarmes Mobiles, dits « les rouges », fut celle de tirer à vue sur tout Européen qui aurait l'audace de paraître sur une terrasse ou un balcon lors d'un bouclage. « Le feu - précisa-t-il - sera ouvert sans sommation sur les contrevenants à partir du 23 avril. De même, le feu sera ouvert, par tous les moyens y compris l'aviation, sur les éléments OAS circulant en ville. ». C'était ratifier une pratique que les « gendarmes rouges » utilisaient déjà depuis un mois...

    Les premières victimes du « boucher d’Oran » furent deux adolescentes de 14 et 16 ans : Mlles Dominiguetti et Monique Echtiron qui étendaient du linge sur leur balcon. Elles furent tuées par les gendarmes. Les projectiles d’une mitrailleuse lourde de 12/7 traversèrent la façade et fauchèrent dans leur appartement, Mme Amoignan née Dubiton, dont le père était déjà tombé sous les balles d’un terroriste du FLN, ainsi que sa petite fille, Sophie, âgée de deux ans et demi et sa sœur, Frédérique, âgée de treize ans qui, atteinte à la jambe, eut le nerf sciatique arraché et dut être amputée.

    « Il est beau qu’un soldat désobéisse à des ordres criminels » ; à l’évidence, ces « soldats » par trop zélés n’avaient pas lu Anatole France…

    Cette lutte « impitoyable et par tous les moyens », selon l'ordre donné par de Gaulle, faisait partie d'un plan mûrement concerté : IL FALLAIT ABATTRE L'ALGERIE FRANÇAISE ; il fallait aussi montrer aux masses musulmanes, longtemps hésitantes, qu'elles devaient maintenant et définitivement, opter pour le FLN dont la France était désormais l'alliée, luttant, avec ce mouvement terroriste, contre l'ennemi commun : LE FRANÇAIS D'ALGERIE ! Et cette alliance n’avait aucune limite, ne souffrait d’aucun scrupule dès lors qu’elle permettrait de venir à bout de l’OAS… Pour preuve : au mois de mai 1962, la gendarmerie « blanche » arrêta un assassin de la pire espèce, Slémani Slimane, qui reconnut avoir torturé et tué vingt-sept Européens. Il fut inculpé. Katz le fit libérer et rapportera que ce dernier « lui rendra de grands services dans les jours les plus agités ».

    S'adressant à un membre de l'Exécutif Provisoire, Katz eut ces mots terribles :

    « Donnez-moi un bataillon de l’A.L.N. et je réduirai l’O.A.S. à Oran ». Ces propos, monstrueux et inqualifiables de la part d'un officier français firent l'objet d'une question à l'assemblée Nationale (J.O. du 8 mai 1962 - page 977).

    Ce « bataillon de l’ALN », Katz allait néanmoins se le procurer –avec l’assentiment discret de l’Elysée- en procédant au recrutement de la plus immonde espèce d’assassins qu’il eût été donné de voir…

    Ce renfort était constitué par les « martiens », ces révolutionnaires du mois de mars, qui, le cessez-le-feu prononcé, venaient sans danger rejoindre les rebelles. Ils étaient les combattants de la dernière heure, impatients de fêter dans le sang leur baptême de « libérateurs » et de se parer d’états de service de pillages et de tueries à faire pâlir le plus chevronné des assassins. Leur unique but était de se faire valoir et, surtout, de faire oublier qu’ils s’étaient abstenus de combattre durant sept années, attendant de connaître l’issue des armes pour se ranger du côté du vainqueur. De ce fait, ils étaient devenus les plus sanguinaires : exactions, tortures, viols, massacres d’Européens et de harkis se multipliaient, mais on n’en parlait pas. Leurs bandes anarchiques allaient être à l’origine du pogrom anti européen du 5 juillet 1962 à Oran qui fit plusieurs milliers de victimes… mais dont on taira le nombre exact.

    La fraternisation entre Gardes Mobiles et FLN était sans retenue : le soir, les premiers étaient généreusement pourvus en prostituées envoyées par les seconds. On ne peut, dès lors, s'étonner de l'attitude passive qui fut celle de Katz et de ses gendarmes lors de la tuerie du 5 juillet… Sur ce point, rappelons cette anecdote impliquant un officier français musulman, le lieutenant Rabah Kheliff qui commandait la 4e compagnie du 30e BCP (Bataillon de Chasseurs Portés). Le 5 juillet 1962, celui-ci, apprenant que des civils européens étaient regroupés en divers points de la ville d’Oran dans l’attente d’être exécutés, décida de passer outre les ordres de Katz de ne pas intervenir et de se porter à leur secours. Il prévint par téléphone son colonel, qui répondit : « Faites selon votre conscience, quant à moi je ne vous ai rien dit ».

    À la tête de la moitié de sa compagnie, le lieutenant Kheliff gagna un des points de regroupement, devant la préfecture. « Il y avait là une section de l’ALN, des camions de l’ALN et des colonnes de femmes, d’enfants et de vieillards européens dont je ne voyais pas le bout. Plusieurs centaines, en colonnes par trois ou quatre, qui attendaient là avant de se faire zigouiller » rapportera t-il. Le lieutenant Kheliff exigea et obtint du préfet, Souiyah El Houari, leur libération. S’étant quelque peu éloigné de son détachement, il fut lui-même pris à partie et blessé par des civils algériens, puis dégagé par ses hommes, à qui il interdit d’ouvrir le feu. Après quoi, il établit des patrouilles sur les axes routiers menant à l’aérodrome et au port pour « arracher littéralement » des malheureux des mains de leurs agresseurs.

    A la suite de cet acte héroïque, il fut mis aux arrêts de rigueur, et convoqué par Katz qui lui adressa ces mots terribles : « Si vous n'étiez pas arabe, je vous casserais ! ».

    La « victoire » acquise, l’indépendance accordée à ses alliés, KATZ quitta Oran pour la Métropole le 13 août 1962, après avoir fait l’objet, le 4 août, d’une citation à l’ordre de l’armée comportant l’attribution de la Croix de la Valeur Militaire avec palme pour, entre autres, « avoir su rétablir et préserver avec force et dignité l’autorité légale et l’ordre public »... décoration qui lui sera remise par le Ministre des armées, Pierre Messmer. Une nouvelle étoile vint également rappeler ses « bons et loyaux services ». De Gaulle savait payer ses séides !…

    Nommé fin 63 à la tête de la 4ème Région Militaire (Bordeaux), il quitta le service armé début 1968 avec le grade de général d’armée (5 étoiles).

    Une plainte pour « complicité de crime contre l’humanité et obéissance à des ordres criminels » fut déposée le 16 octobre 1999 entre les mains du doyen des juges du Palais de Justice de Paris au nom de 47 familles des victimes du massacre du 5 juillet à Oran ainsi que du Comité VERITAS (1). Cette plainte fut déclarée irrecevable mais suivie d’une décision par le juge de non informer. Un appel de cette décision n’aura pas de suite en raison du décès du « Boucher d’Oran » intervenu le mardi 6 mars 2001 à Amélie-les-Bains (66).

    Rejeté par ses pairs, il finira ses jours, seul, et sa famille choisira de l’inhumer au cimetière de ROSAS, en Espagne.

    José CASTANO

    e-mail : joseph.castano0508@orange.fr 

    LA PHOTO DE LA HONTE !

    Gendarmes mobiles (« les rouges ») arborant le drapeau du FLN en signe de « victoire ». La honte ne se raconte pas, elle s’encaisse !

     LE BOUCHER D'ORAN

    -          « Les Justes meurent comme des chiens ; les crapules ont leur chance. C’est un monde totalitaire déserté par toute transcendance. Le Mal n’y est pas un scandale mais la règle commune » (Commandant Hélie Denoix de Saint Marc)


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