• Augmentation des violences intrafamiliales à Nice : « Il y a beaucoup d’autoritarisme d’origine culturelle. Monsieur fait comme dans son pays d’origine »

    La brigade des violences intrafamiliales de Nice, dirigée par le major Jean-Luc Le Guern voit passer dans ses locaux vétustes d’Auvare des couples qui se déchirent. Elle constate la violence, les coups. Doit parfois faire face à des féminicides. La brigade traitait 455 dossiers en 2018. L’an dernier, elle a dû composer avec 1114 dossiers. Une véritable explosion qu’elle doit gérer à effectifs constants, avec sept fonctionnaires. Rien que pour les six premiers mois de 2021, elle a déjà traité 590 affaires. « On devrait avoir doublé ce chiffre en fin d’année », constate le major.

    […]

    D’où viennent ces violences conjugales ? «Il y a beaucoup d’autoritarisme d’origine culturelle. Monsieur fait comme il faisait dans son pays d’origine, sauf qu’arrivées en France, les femmes sont plus émancipées et déposent plainte. » Une lueur d’espoir : les campagnes de prévention, la facilité de signaler des faits par mail, permettent aux femmes de sortir de l’enfer. Le major Le Guern a un conseil : « Si vous êtes victime, déposez plainte et quittez le domicile familial au plus vite, même si c’est difficile. »

    […]

    Natacha Himelfarb, déléguée aux droits des femmes dans les Alpes-Maritimes : “Je souhaite qu’on assiste à une augmentation du nombre de signalements. Cela voudra dire qu’on a réussi à améliorer l’accueil, nous faisons beaucoup pour cela, en matière de formation, de moyens. Seule une femme sur quatre se rend dans un commissariat ou en gendarmerie pour déposer plainte. 40% de femmes ne vont absolument rien dire à personne. Ce sont celles-là qui m’intéressent car ce sont celles qui passent sous les radars.

    Nice-Matin via fdesouche


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  • Quand les associations communautaristes feignent de ne pas avoir vu, sur Instagram, l’appel au viol des femmes blanches par un Noir.

    Sur les , le compte @blackingbbc a osé, mi-juillet, lancer l’horrible phrase arguant « C’est pas un  si elle est blanche » avec, en image d’illustration, un homme noir effectuant une pression violente sur une femme blanche…

    blanche,violCe message initialement publié sur Instagram a été relayé, via capture d’écran sur  et Facebook et, fatalement, l’affaire a eu une résonance compréhensible au regard de la haine qu’il véhicule.

    Or, donc, l’agression sexuelle d’une femme blanche par un homme noir n’est pas considérée dans certains petits esprits comme un viol ?

    Or, donc, le fantasme du besoin de réparation des Noirs induit le droit à l’agression, à l’humiliation, que dis-je, au crime ?

    Or, donc, l’appel à la , au crime et au  peut être relayé sans que cela ne dérange les objecteurs de conscience professionnels, les féministes et autres associations communautaristes ?

    blanche,viol

    On aurait voulu avoir les réactions de , d’Élisabeth Moreno, de Caroline De Haas et de toute la smala fémino-gauchiste, mais on se contentera de la courageuse dénonciation faite par l’association Némésis, vous savez, ce collectif accusé d’accointances avec l’extrême  car osant parler des agressions effectuées par les minorités…

    Violer une femme, quelle que soit sa couleur, son origine ou autres, est un crime, en faire l’apologie l’est tout autant.

    Le plus surprenant, dans cette affaire, est la passivité des réseaux sociaux, eux si prompts à sanctionner et suspendre des comptes de patriotes.

     

    Verlaine Djeni

    Bloggeur
     

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  • Témoignage d’une médecin texane devant le Sénat US

    mondialisation.ca 


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  • Passe sanitaire contesté dans son propre camp : la crédibilité d’Emmanuel Macron mise à mal

     

    Passe voté, passe contesté, mais passe dépassé. 

    Avant même son application officielle le 9 août ! Cette affaire du passe est bien mal engagée et l’on se demande quel conseiller a bien pu pousser Emmanuel  à monter dans cette galère. 

    La liste des coûts de tous ordres s’allonge chaque jour : coût économique pour les secteurs concernés qui venaient juste de redémarrer leur activité, coût  avec la montée en puissance d’un mouvement populaire attaché à la  des libertés. Mouvement que ledit conseiller, sans doute en stage durant les deux ans de gilets jaunes, a clairement sous-estimé.

    Pour Emmanuel Macron, c’est une crédibilité déjà abîmée qui risque d’en prendre un coup. Revenons donc sur le « coup » du 12 juillet : reniant sa promesse solennelle du mois de mai de ne pas étendre le  pour des actes de la vie quotidienne, le Président se dédit. Ce retournement n’est pas pour rien dans l’affluence lors des manifestations : la confiance dans la parole présidentielle est mise à mal. Mais Emmanuel Macron pouvait espérer compenser les pertes par des gains substantiels sur deux plans : celui de l’autorité (les Français aiment de plus en plus) et celui de l’efficacité sanitaire dans la lutte contre l’épidémie.

    Or, le Président pourrait perdre sur les deux tableaux. Passé le succès médiatisé de la vaccination des millions de Français a priori récalcitrants mais poussés à coups de pied au derrière vers les « vaccinodromes » pour pouvoir continuer à travailler, pas sûr que ces vaccinés contraints se montrent très reconnaissants pour cet acte d’autorité qui les visait tout spécialement. Idem pour les réfractaires endurcis. Surtout quand les dernières nouvelles du variant montrent la protection toute relative conférée par les vaccins. En outre, le fait que 50 % des Français, selon un récent sondage, comprennent la mobilisation anti-passe et que 40 % la soutiennent montre que cet acte d’autorité n’a pas été plébiscité par l’opinion, contrairement aux assertions des petits macronistes qui font semblant de croire que la progression de la vaccination traduit celle de l’adhésion à ladite vaccination et encore moins à Emmanuel Macron. Vu leurs résultats aux dernières , on comprend qu’une marche vers les 90% les fasse fantasmer. Mais une vaccination n’est pas un vote.

    Surtout, dès avant son application, l’efficacité du passe sanitaire est remise en cause, et dans le camp même des partisans de la vaccination et du Président qui pousse l’idée de la vaccination obligatoire. Certes, Emmanuel Macron avait lui-même pris la précaution d’ouvrir cette possibilité dans son allocution du 12 juillet. En gros, le passe ne suffira pas, il ne sera pas efficace. Dimanche, c’est le président de la Fédération hospitalière de France qui l’a dit : « Nous n’avons plus le luxe de prendre des demi-mesures. » Un camouflet pour le Président.

    Visiblement, autour d’Emmanuel Macron, on a senti venir l’embrouille. Le JDD se fait l’écho des états d’âme de ce petit monde : « Aux yeux d’Emmanuel Macron, il [le passe] suppose donc une contrepartie : l’absence de restrictions nouvelles. “On va perdre les gens si on cumule passe sanitaire et mesures à l’ancienne” », a-t-il prévenu, mercredi, lors du Conseil des ministres. « C’est pour ça qu’on ne referme pas les discothèques, explique un membre du gouvernement. Que diraient les gens si on leur mettait le passe, puis on leur démontrait qu’il ne sert à rien en remettant des restrictions ? » Des restrictions qui, soit dit en passant, ont déjà été remises ici et là. Et que diraient-ils, les gens, si, après (avant ? Avec ?) le passe, on leur collait la vaccination obligatoire ?

    La Macronie a réussi cet exploit en une semaine : démontrer elle-même l’inefficacité d’une mesure présentée comme LA solution, votée à la hussarde, impliquant des atteintes majeures aux principes de  et d’égalité et ayant réussi à mettre, en plein été, des centaines de milliers de Français dans les rues depuis trois semaines.

    Par ailleurs, le  pourrait censurer le texte en profondeur, comme l’y appellent de nombreux juristes. Et le « tsunami » annoncé par Gabriel Attal pourrait n’être, selon le JDD, qu’une vague ou une vaguelette en comparaison des trois premières.

    Quoi qu’il advienne, la crédibilité d’Emmanuel Macron restera durablement abîmée par le passe sanitaire.


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  • Face au despotisme sanitaire, la Floride défend la liberté

    L’agenda sécuritaire des hauts dirigeants s’accélère et la Maison-Blanche ne fait pas défaut au mouvement : l’équipe Biden a, cette semaine, manifesté sa volonté d’imposer un retour des mesures liberticides : masque pour tous, y compris les enfants en classe, vaccins, confinement…

    Ce 30 juillet, Ron DeSantis, gouverneur de Floride, lui a rappelé de façon ferme et non équivoque que son État resterait un État libre. Pas question de céder à la terreur prétendument sanitaire.

    Son discours, qui s’est concrétisé par la signature d’un décret, a souligné que faire porter des masques aux enfants pouvait avoir des conséquences négatives sur leur santé en altérant la respiration. Il a également rappelé que cela affecte les communications en classe et la performance des élèves. Qu’il n’y a aucune preuve que les comtés l’ayant imposé aient fait mieux que les autres. Ron DeSantis a déclaré que ses propres enfants n’ont jamais porté de masques et qu’ils n’en porteraient pas.

    Hors contexte scolaire, il a annoncé qu’il ne réimposerait aucune restriction Covid dans l’État de Floride malgré l’arrivée du variant Delta en Amérique. Car la courbe de mortalité révèle que s’il y a plus de cas, les décès sont au plus bas.

    Ancien militaire Marine de 42 ans, DeSantis est un gouverneur très apprécié par une large majorité des Floridiens. Il est, de plus, pressenti pour occuper un jour la fonction suprême à Washington. Il représente une approche traditionnelle et patriotique de la gouvernance : le citoyen est un être responsable qui doit rester libre dans un État indépendant et protégé. Tout l’opposé de l’équipe Biden qui cherche absolument à emprisonner l’individu dans une vision marxiste de la société américaine : le moins de liberté possible au service d’un gouvernement fédéral tyrannique.

    Il est grand temps que les États reprennent l’autonomie que la Constitution de 1787 leur a garantie et qu’ils ont laissée, en plus d’un siècle, se consumer au bénéfice d’un fédéralisme dévoyé. Le gouverneur de Floride montre la voie et on s’en félicite.

    Marc Amblard


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