•  Alsace:  un collégien de 12 ans tué par balle dans un bus scolaire

    Le bus scolaire dans lequel un collégien a été tué par balle ce lundi 16 novembre 2015à Hégenheim (Haut-Rhin).

    Le bus scolaire dans lequel un collégien a été tué par balle ce lundi 16 novembre 2015à Hégenheim (Haut-Rhin).

    Une arme à feu a été retrouvée sur un de ses camarades, âgé de 13 ans. Les raisons du drame restent inexpliquées pour le moment, selon le procureur.

     

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    Meurtre ou accident? Un collégien de 12 ans a été tué par balle dans un car scolaire, ce lundi, à Hégenheim, dans le sud de l'Alsace, et un camarade de 13 ans a été interpellé peu après en possession d'une arme à feu.

    «Je n'ai actuellement aucun élément permettant de dire que ce soit volontaire, involontaire, que ce soit un accident», a précisé le procureur de Mulhouse, Dominique Alzéari, lors d'un point de presse.

    Les faits se sont déroulés peu après 16 heures, alors que trente-cinq enfants quittaient en car le collège des Trois Pays à Hégenheim, à deux kilomètres de la frontière suisse et à huit kilomètres de l'Allemagne. Alertés pour un «jet de pétards dans le bus avec personne inconsciente», les gendarmes et les secours découvrent le garçon de 12 ans, inanimé. La jeune victime, atteinte d'un projectile, «est décédée sur place malgré tous les soins qui lui ont été prodigués», a précisé le procureur.

    Des fouilles systématiques «ont été immédiatement diligentées sur tous les abords de l'établissement», ainsi que sur les élèves, par les gendarmes, qui ont permis de découvrir une arme à feu sur un jeune de 13 ans. Ce dernier a été placé en garde à vue vers 17 heures, a souligné le procureur. Le collège a été entièrement bouclé pendant plusieurs heures, les gendarmes ayant même engagé des chiens pour en ratisser les abords.

    «Cellule d'urgence médico-psychologique»

    Pendant que les élèves étaient confinés dans l'établissement, les enquêteurs ont commencé à recueillir un nombre important de témoignages, pour tenter d'identifier les principaux témoins de la scène. L'audition du jeune de 13 ans, sur lequel une arme à feu a été découverte, devait commencer en fin d'après-midi, a précisé le procureur.

    L'inspectrice départementale de l'Education nationale, Anne-Marie Maire, a annoncé la mise en place d'une cellule psychologique. Dès mardi matin, «la cellule d'urgence médico-psychologique va entrer en action pour accueillir les enfants et les adolescents qui sont concernés par ce drame», a ajouté Mme Maire.

    Peu après 19 heures, encadrés par la gendarmerie, de nombreux élèves commençaient à être évacués par des cars scolaires ou par leurs parents venus les chercher. Très émus, certains étaient en larmes, a constaté une journaliste de l'AFP. Dans un communiqué, le président du conseil départemental du Haut-Rhin, Eric Straumann (Les Républicains), s'est ému de cet «effroyable drame». «Ce soir, nous pensons à ce jeune garçon décédé, à cette vie brisée. Nous adressons à ses parents nos pensées les plus attristées. Notre compassion va aussi à la famille de l'auteur de cet acte incompréhensible», a ajouté M. Straumann.

    Par lefigaro.fr

     


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  • AUX ARMES CITOYENS

    Publié le 14 novembre 2015 par Dominique CHALARD..

    AUX ARMES CITOYENS 

    Mes chers compatriotes

    La France a subi hier soir, des attaques terroristes de grande ampleur comme cela avait été le cas dans notre chère Algérie française.

    Ces crimes sont bien évidemment le fait d'islamistes;

    Combien de ces assassins sont entrés sur notre sol avec le statut de migrants?

    Combien de ces français de papier qui pullulent dans les zones de non-droit, sont prêts à passer au "djihad" après avoir reçu les ordres des "Oulemas" au sein des mosquées, véritables lieux dévoués à l’insurrection.

    Depuis 1983 et mon engagement aux cotés des Chrétiens libanais, je n'ai eu de cesse de mettre en garde les français sur leur destinée.

    Ce que nous vivons aujourd'hui, sur notre sol, n'est que la continuité de cette guerre contre notre civilisation et nos valeurs de la part de cet Islam qui n'a rien de tolérant mais qui est bien au contraire une religion de conquête.

    Le temps des discussions et des reculades de nos gouvernants est révolu, nous n'avons pas besoin de "matamore" comme l'UMP et les socialistes; Nous n'avons encore moins besoin de Marine Le Pen et de ses "boys scouts" incapables de gérer cet état de guerre.

    Face à la terreur, à la monstruosité de ces barbaresques, nous devons nous tourner vers un Bachir Gemayel qui a su en son temps, avec les phalanges chrétiennes libanaises, sauver son peuple de l'extermination .

    Mes chers compatriotes, nous sommes en guerre depuis longtemps, mobilisons nous pour assurer un avenir à nos enfants et à notre beau et vieux pays face au péril mortel de l'Islamisme.

    Dominique Morel

    Délégué régional du parti de la France Auvergne


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  • Le pire est a venir !!!

     
     
     
     
     

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    Traduction: Personne n'en a rien à foutre à propos de vos victimes.
    L'Etat islamique va prendre le contrôle de l'Angleterre et il n'y a rien à faire contre cela. Nous sommes en train de transformer la Grande-Bretagne en Etat islamique.
     Nous allons supprimer les fêtes de Noël et Pâques.
    Nous allons violer toutes les filles de 13 ans et elles nous donneront des enfants.
     Nous allons faire de votre peuple britannique de merde une minorité.
     
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  •  Brest.  Un policier finistérien livre un témoignage choc : « Personne n’ose dire les choses »

    (interview)

     
     Posté par: redacbzhinfo ..

     
    police_nationale
     
     
    16/11/2015 – 07H00 Brest (Breizh-info.com) – 
     
    Philippe (NDLR : prénom d’emprunt) , est policier, depuis une dizaine d’années, dans le Finistère. Lorsque nous l’avons rencontré, il ne souhaitait pas répondre à nos questions, puis après négociation, il a fini par accepter, sous couvert d’anonymat total : « il n y a pas de raison que je prenne pour tout le monde, personne n’ose dire les choses ». Edifiant.

    De prime abord, nous l’avons interrogé sur la relation qu’ont les policiers avec la presse : « Souvent, on accuse la presse de ne pas tout raconter au public, ou de déformer les choses. Mais il faut aussi savoir que le premier filtre, c’est au sein de la police ou de la gendarmerie. Les interlocuteurs, y compris les syndicalistes policiers, ne disent pas tout, parfois à raison sous couvert d’enquête en cours, parfois à tort, pour ne pas faire de vagues ou  ne pas permettre d’amalgames ».
    Il reconnait toutefois également que « au sein des gros journaux il y a forcément des consignes pour ne pas donner les profils de certains délinquants, parce que quand on lit certains articles, on hallucine des précautions inutiles de langage qui sont prises alors qu’ils ont tous les éléments ».
    Il évoque enfin l’importance des médias « hors-système » : « c’est à vous et aux médias comme vous qu’il faut envoyer l’information aujourd’hui  puisque les autres ne disent pas tout ; dans les commissariats, beaucoup vous lisent, et tout le monde sait très bien que vos sites sont disposés à sortir des choses que les autres ne font pas, car vous êtes indépendants ».
     
    On évoque ensuite la situation à Calais : « une poudrière avec des collègues totalement à bout. Ca ne peut que mal finir. Mais là encore, c’est le silence total dans la police. Il n y en a pas un pour contester alors qu’au sein de la base, beaucoup ont l’impression de n’être que des pions au service d’un gouvernement qui change tout le temps. Je suis pas rentré dans la police pour servir un gouvernement mais pour contribuer à maintenir l’ordre, y compris par la force au service de mon peuple, dans mon pays. Il y a beaucoup de grandes gueules qui parlent de grève,  mais ça ne va pas plus loin que quelques tracts et un mouvement de colère corporatiste.».
     
    Pour ce policier, le « devoir de réserve n’a plus aucun sens aujourd’hui. Tout le monde nous crache dessus. Vous avez vu ce qu’on prend dans la tronche tous les jours ? A Brest, même une petite frappe de 13 ans peut venir nous insulter et nous menacer sans être inquiété . Dans n’importe quel autre pays où l’ordre est respecté, il se serait pris à minimum une trempe monstrueuse et sinon une ou deux journées de garde à vue dans un cachot, au pain et à l’eau, avec dans le même temps la fin des allocations pour ses parents. Première et dernière connerie.» .
    Philippe, frustré, désabusé après à peine dix années de bons et loyaux services dans la Police nationale,  envisage de démisssionner : « il n y a pas 50 000 solutions. Soit tous ensemble, nous policiers, nous réagissons, quitte à remettre en cause notre hiérarchie la plus haute, soit nous n’avons plus rien à faire ici ; à la base, nous sommes censés être au service de la sécurité  et de la paix publique, c’est à dire protéger nos compatriotes. On a un gouvernement qui nous demande de faire de la prévention et surtout pas de vagues, et une justice qui bousille le travail des collègues. Donc on fait tout sauf assurer la sécurité des compatriotes. Je ne comprends plus ce respect de la hiérarchie dont parlent certains de mes collègues. Nous ne sommes pas là pour cirer les pompes à un Ministre ou à un Préfet, mais pour agir dans la rue et mettre hors d’état de nuire toutes les petites frappes qui agressent, dealent, volent de façon exponentielle. ».
     
    Quand on lui rappelle que lui aussi tient à garder l’anonymat, et qu’il n’est donc « pas mieux » que les collègues dont il dit « qu’une bonne partie pense comme lui », voici sa réponse : « vous avez vu l’affaire Jallamion (NDLR : Un policier suspendu sans solde par sa hiérarchie pour avoir simplement diffuser une photo d’un islamiste sur facebook afin de le dénoncer) ? Bon, et bien moi j’ai une famille, des gamins, et je ne vais pas me jeter en première ligne la tête la première pour me faire rattraper par la patrouille.  Entre les suicides de collègues, les conditions de travail déplorables, le sentiment que la justice se f… de notre gueule, et l’impunité presque totale pour toute la racaille de ce pays, un jour ou l’autre, on va de toute façon se poser dans les commissariats, et refuser d’aller emmerder un tel pour une nuisance sonore, un tel pour un excès de vitesse ou une alcoolémie trop chargée. Et là, les dirigeants, de droite comme de gauche, devront nous écouter, nous la base, et pas la hiérarchie à la recherche de prestige personnel: soit on fait le ménage dans nos villes et pour nos compatriotes, et la justice collabore avec nous et avec fermeté. Soit il faudra envoyer d’autres personnes faire le sale boulot. Mais le peuple finira par se révolter dans ce cas-là, et personnellement, je pense qu’il aura raison ».
     
    Particulièrement cinglant.
    Avant d’aller reprendre son service de nuit, Philippe nous confie : « c’est dingue de ce dire que même chez nous, dans le Finistère, ça devient ingérable. Et encore , je crois que je plains plus que nous les collègues de Nantes ou même de Rennes. »
     Avant de lâcher : « ce qui nous fait tenir, c’est la solidarité entre nous. Quand je suis rentré dans la police, j’étais particulièrement fier de pouvoir protéger mon pays comme cela. Maintenant, quand je vois comment la police est respectée, crainte et efficace aux Etats-Unis, en Angleterre, dans d’autres pays qui nous entoure, je me dis qu’il y a vraiment un problème en France ».
     
    Photo : Wikipedia (cc)

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  • Des racailles demandent 1.000 euros pour trois vidéos et des photos .

    Posté sur leJDD 

    Attentats de Paris

      Plusieurs lieux de la capitale ont été visés vendredi soir. (Reuters)

    Avec leur smartphone, ils "ont pris des images" dans l'intention de les vendre aux journalistes. Karim et Hacen* proposent leurs productions 1.000 euros avec une exclusivité totale.
     
    Ils viennent de Mantes-la-Jolie (Yvelines).
    Karim et Hacen* sont venus passer la soirée dans le bas de Belleville, derrière le barrage policier qui sécurise le périmètre autour de la pizzeria Casa Nostra et du bar La Bonne Bière.
     Le premier a une vingtaine d'années et roule dans une grosse berline Citroën.
    Le second, à peine plus âgé, est père de famille.
    Sur son téléphone portable, il a mis en fond d'écran la photographie de sa fille, un bébé aux grands yeux noirs.
     Hacen travaille dans le coin mais refuse de donner des détails.
     Les deux copains sont arrivés sur les lieux quelques minutes après l'attaque… juste avant la police.
     Avec leur smartphone, ils "ont pris des images", trois vidéos et une dizaine de photographies dans l'intention de les vendre aux journalistes.
     
    Lorsque les médias arrivent sur les lieux, ils repèrent les "télés" réputées généreuses pour un bon document.
     Karim et Hacen proposent leurs productions 1.000 euros avec une exclusivité totale.
     Sur les clichés, la voiture grise mitraillée, des balles sur le sol d'un restaurant, des corps allongés, l'arrivée des premiers secours…
     L'acheteur a le droit de supprimer lui-même les photos sur le téléphone du vendeur une fois le transfert effectué.
    La transaction ne peut se faire sur place.
    Le vendeur propose une petite promenade en voiture pour que l'échange se fasse à l'abri des regards.
     Plusieurs équipes offrent le même type de services autour des différentes scènes de crime.

    Version connectée du profiteur de guerre.
     
    * Les prénoms ont été modifiés.

    Rédaction - Le Journal du Dimanche

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