•  Général Desportes: En luttant contre les groupes islamistes Poutine défend la France

    Général Desportes: En luttant contre les groupes islamistes Poutine défend la FranceSelon le général Desportes, Vladimir Poutine défend les intérêts de la Russie et ceux de la France. La coalition russe a un objectif et une stratégie claires, alors que la coalition américaine est dans la confusion. Les frappes françaises sont uniquement politiques et idéologiques.

    En attaquant le Front al Nosra Poutine combat les terroristes islamistes, sans distinction. Sa tactique d’appuis aériens avec les forces syriennes au sol est la seule efficace.  Les forces russes ont opéré autant de frappes contre les groupes islamiques en deux semaines que la coalition américaine en 13 mois.

    A noter que la Russie opère également des frappes en Syrie contre les Islamistes à partir de destroyers basés dans la mer Caspienne…

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    La carrière du général Vincent Desportes né en 1953, a  commencée à Saint-Cyr, a alterné des affectations en unités de combat, en états-majors et en opérations.  Il est général de division de l’armée de terre française.

    Ingénieur, titulaire d’un DEA de sociologie, d’un DESS d’administration des entreprises (CAAE), docteur en histoire, le général de division est breveté de l’École supérieure de guerre et diplômé de l’United States Army War College, équivalent du Centre des hautes études militaires pour l’armée de terre des États-Unis.

    Attaché militaire près de l’Ambassade de France aux États-Unis d’Amérique, puis conseiller défense du Secrétaire général de la défense nationale (SGDN), il a ensuite été directeur du Centre de doctrine et d’emploi des forces (CDEF) jusqu’en juillet 2008.

    Vincent Desportes est aussi codirecteur avec Jean-Francois Phelizon de la collection « Stratégies & doctrines » aux éditions Economica.

    Le général Vincent Desportes a été directeur du Collège interarmées de défense (CID), de 2008 jusqu’à l’été 2010. Il est actuellement conférencier, il enseigne la stratégie à HEC, il est aujourd’hui professeur associé à Sciences Po Paris. 

    http://fr.awdnews.com/soci%C3%A9t%C3%A9/g%C3%A9n%C3%A9ral-desportes-en-luttant-contre-les-groupes-islamistes-poutine-d%C3%A9fend-la-france

     


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  • Scandale de l’abattoir d’Alès : ce qu’on ne vous dit pas

    l’abattoir d’Alès.

    Scandale de l’abattoir d’Alès : ce qu’on ne vous dit pas

    Belle performance que celle de l’ensemble des commentateurs et des médias qui ont réussi à ne pas parler ni même évoquer l’abattage halal, principale activité de l’abattoir d’Alès (vidéo). C’est bien une des tares de notre époque de miser sur l’émotionnel pour éviter toute analyse de fond. En effet, si l’émotion est légitime devant ces images insoutenables, il me semble bon de réaliser une analyse des causes.

    Cette affaire révèle, en effet, un triple scandale :
    1°) L’introduction du halal dans un abattoir ne peut que se généraliser à l’ensemble de ses activités pour des raisons de logistique industrielle, banalisant ainsi la souffrance animale et l’inobservance des règles d’hygiène, inhérentes à ce mode opératoire. C’est ce que dénonce sans relâche Vigilance Halal. La pratique quotidienne de l’abattage halal accordé par dérogation, mais devenu la règle, a fatalement des conséquences sur l’état d’esprit des employés des abattoirs, qui prennent de mauvaises habitudes, y compris pour d’autres espèces non concernées par le halal. Ce ne sont pas les plus blâmables.

    2°) La carence évidente des services de la Direction départementale de la protection des populations : ses agents sont présents au quotidien dans les abattoirs. Pourquoi ce silence ? Complicité, peur des réactions, manque de moyens humains ? Une enquête permettra peut-être d’y voir plus clair. Je peux affirmer, en raison de l’expérience de nombreux dossiers en cours pour Vigilance Halal, qu’il y a un problème au niveau des services de l’État, et pas uniquement dans ce domaine. Malgré les nombreux textes législatifs et les affirmations lénifiantes des autorités, le paysage administratif français ressemble de plus en plus à un « village Potemkine ».

    3°) La responsabilité des organisations professionnelles agricoles et de la filière viande : le mirage d’un eldorado du marché halal en plein boom confirme notre analyse d’une conjonction de l’affairisme mercantile et de l’obscurantisme religieux, au détriment des animaux, mais aussi des consommateurs et des éleveurs. L’appât du gain a même saisi le bio, qui peut être halal ! Les éleveurs doivent se ressaisir pour sauver leur honneur et exiger que leurs animaux soient abattus de façon éthique et que cesse l’opacité des pratiques des abattoirs.

    Pour conclure, l’ensemble des médias et commentateurs passe systématiquement à côté de l’essentiel. Les revendications de végétariens extrémistes demandant la fermeture de TOUS les abattoirs et de végétarisme pour tous sont totalement surréalistes et ne servent qu’à brouiller le débat. Vigilance Halal opte pour une position plus pragmatique visant à interdire l’abattage rituel, à faire respecter la législation, à mettre en place la méthode Temple Grandin, ce professeur d’université du Colorado dont on ne parle jamais en France, dans cette attitude classique de cécité prétentieuse et de primauté de l’idéologie sur la réalité.

    Alain de Peretti – Boulevard Voltaire


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  •  Prières de rue : relaxe requise pour Marine Le Pen

    La présidente du FN était jugée ce mardi, à Lyon, pour avoir comparé, en 2010, les prières de rue musulmanes à l'Occupation nazie. Le parquet estime que l'infraction n'est pas suffisamment caractérisée. Le jugement sera rendu le 15 décembre.

    figarofr: Mardi 20 octobre. Marine Le Pen quitte, souriante, le TGI de Lyon.© ROBERT PRATTA/REUTERS Mardi 20 octobre. Marine Le Pen quitte, souriante, le TGI de Lyon.

    La présidente du FN était jugée ce mardi, à Lyon, pour «incitation à la haine raciale». Marine Le Pen avait comparé les prières de rues à l'Occupation allemande, des propos tenus il y a cinq ans à Lyon lors d'une réunion publique. «En dénonçant ces prières dans l'espace public, imputables non à l'ensemble de la communauté musulmane, mais a une minorité, elle n'a fait qu'exercer sa liberté d'expression», a estimé le procureur de la République, Bernard Reynaud, qui a demandé sa relaxe. 

    Le magistrat a reconnu que les propos prononcés par Marine Le Pen pouvaient être «choquants» mais a estimé qu'ils «faisaient partie de la liberté d'expression». «C'est une opinion, et il n'y a pas de délit d'opinion. La violence du verbe fait partie du quotidien des politiques, même si on peut le déplorer», a-t-il ajouté. «Vous ne pourrez pas condamner Madame Le Pen.»

    Une «persécution judiciaire»

    A son arrivée au tribunal de grande instance de Lyon, la présidente du FN s'était déclarée victime d'une «persécution judiciaire». «Je suis encore une fois non seulement dans mon droit comme responsable politique d'évoquer un sujet fondamental, mais c'est même un devoir pour moi de le faire», a-t-elle dit devant les micros tendus autour d'elle.

    Marine Le Pen a souligné la quasi-concomitance de ce renvoi en correctionnelle avec les élections régionales de décembre, qu'elle explique par une manœuvre politique dirigée par le gouvernement. «Nous sommes à un mois des élections régionales alors que cette affaire a cinq ans. Ça ne pouvait pas attendre un mois?», a dit la présidente de la formation d'extrême droite, tête de liste de son parti dans la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie.

    Le Pen assume ses propos

    Devant le tribunal, Marine Le Pen a réfuté les accusations d'islamophobie. «Je ne remets pas en cause dans mes propos la liberté de culte, il n'y a pas d'islamophobie, personne ne conteste le droit de chacun de vivre sa foi», a-t-elle dit. Elle a assuré qu'elle ne parlait pas de «l'Occupation avec un grand ‘O'», celle de la Seconde Guerre mondiale, «mais de l'occupation avec un petit o», qu'elle réduit à l'occupation de la voie publique. «Il n'y a pas de référence à la Seconde Guerre mondiale», a-t-elle assuré.

    La dirigeante du FN a dit assumer ses propos tenus il y a cinq ans: «Les prières de rue sont un acte politique engagé par des imams radicaux, c'est une provocation à l'égard de la République. Je m'oppose au voile, à la burka, aux prières de rue, ce sont des idées politiques. Et je ne suis pas la seule à le penser car la République française les a interdits.»

    La présidente du Front national, poursuivie pour «provocation à la discrimination en raison de l'appartenance à une religion», encourt un an de prison et 45.000 euros d'amende. Le jugement sera rendu le 15 décembre.

    (Avec Reuters)     

     

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  • La politicienne allemande poignardée envisageait la saisi de terrains et de bâtiments pour loger les migrants.

    La politicienne allemande poignardée envisageait la saisi de terrains ....

      Article publié le 18.10.2015 sur lesobservateurs.ch Cologne.

    Henriette Reker a annoncé jeudi (ND Ch. H. article publié en 2014) que les 10 emplacements conteneurs qui étaient prévus à la base pour les 700 migrants respecteraient les normes de logement. Selon elle, il s'agiraient d'appartements terminés avec cuisines et salles de bain. A chaque emplacement, 70 à 80 migrants devraient être logés. Les frais pour le loyer et les préparations de construction vont probablement se situer autour de plusieurs centaines de milliers d'euros. La ville ne veut pas dévoiler où se situent ces emplacements. Henriette Reker déclare "Je ne peux pas exclure la confiscation des terrains et des bâtiments pour l'hébergement des migrants". La ville avait prédit que, dans les deux prochaines années, 2000 réfugiés supplémentaires doivent être logés à Cologne. Source allemande Traduction Schwarze Rose


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  • Fin du diesel : belle aubaine pour l’État en perspective

                                                        
     
    Le bénéfice de cette « opération santé » pour les caisses de l’État se chiffrera à plusieurs centaines de millions d’euros par an, et cela durant plusieurs années.
       
     L'ETAT va se remplir les poches !Avez-vous cru un seul instant que l’État socialiste s’intéressait vraiment à notre santé au point de programmer la suppression des véhicules diesel uniquement dans ce but tout à fait louable ?
    J’espère que non, vous n’êtes tout de même pas naïfs à un tel point, et que, tout comme moi, vous avez supposé qu’il s’agissait, une fois de plus, d’une opération opaque pour nous « piquer » quelques milliards d’euros.
    En voici la démonstration :
    D’abord, le « diesel » est-il dangereux pour notre santé ?
     Faux : selon certains scientifiques.
    Vrai : d’autres disent le contraire…
    Une certitude : cela était vrai il y a quelques années mais, depuis, les moteurs diesel sont équipés de filtres à particules fines qui les réduisent à 99,9 %.
    Il suffisait donc d’inciter financièrement et plus efficacement les propriétaires de voitures de plus de 5 ans au remplacement progressif de leurs véhicules diesel, si l’on avait vraiment voulu résoudre un problème sanitaire.
    Alors, cherchons ailleurs les véritables raisons de cette vaste opération.
    Prenons l’exemple de deux automobilistes parcourant chacun 15.000 km par an, le premier avec un véhicule diesel et le second avec un véhicule essence.

    1) Un véhicule diesel consommant 6 litres au 100, sa consommation annuelle sera donc de 900 litres de gazole, taxé à 0,66 € le litre, soit 594 euros.

    2) Un véhicule essence consommant 8 litres au 100 consommera annuellement 1.200 litres d’essence, taxée à 0,86 € le litre, soit 1.032 euros.

    Le manque à gagner pour l’État est donc de 438 euros entre ces deux véhicules.
    Ainsi, le parc automobile français, composé d’environ 35 millions de voitures, permettra de dégager un bénéfice supplémentaire, pour les caisses de nos « racketteurs », de plus de 10 milliards d’euros chaque année, dès la disparition totale du diesel, sachant que le parc est actuellement composé d’environ 70 % de véhicules diesel.
     Et en attendant, à partir de 2016, jusqu’à la disparition complète du parc diesel, c’est un gain annuel de plusieurs centaines de millions d’euros que fera l’État.
    Et ce n’est pas fini…
    1 centime d’euro de PLUS sur le litre de diesel, sur environ 24.500.000 véhicules, consommant 6 litres aux 100 sur 15.000 km, rapporteront 220.500.000 d’euros.
    1 centime d’euro de MOINS sur le litre d’essence d’environ 10.500.000 véhicules, consommant 8 litres aux 100 sur 15.000 km, coûteront 126.000.000 d’euros.

    Soit encore un bénéfice pour l’État de 94,5 millions d’euros par année, jusqu’à la date à laquelle le prix du gasoil sera identique à celui de l’essence.

    Si l’on tient compte d’un prix moyen actuel : gazole 1,12 et essence 1,36, le temps de rattrapage nécessaire sera de 12 années.

    Le bénéfice de cette « opération santé » pour les caisses de l’État se chiffrera à plusieurs centaines de millions d’euros par an, et cela durant plusieurs années.
     

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