•  Communiqué 

    d’Alexandre Gabriac ...

    Dont de même position que PN 9A..

    Pas plus qu’hier et pas plus que demain, rien de bon pour la France ne sortira du processus électoral.

    Le système démocratique qui affaiblit la France depuis plus de deux siècles et gangrène notre civilisation est verrouillé et irréformable.

    L’élection d'hier soir, comme le deuxième tour qui va suivre, est de l’énergie et du temps perdu pour la France.
    La moitié des français a compris l’inutilité d’aller « urner ».
    Nous ne pouvons que nous en réjouir.

    C’est la malhonnêteté et la malfaisance du règne de l’argent, des menées occultes et des influences étrangères, qui a imposé aux Français la pratique absurde que l’on appelle « le suffrage universel ». Lequel consiste, à toutes occasions, selon des modes de scrutins interchangeables, avec le recours à de multiples trucages, à obtenir – et souvent de ne pas en tenir compte ultérieurement – une opinion passagère exprimée anonymement par le plus grand nombre de suffrages, dont le niveau ne cesse de diminuer à chaque élection.

    Cette comédie à répétition se jouant généralement au nom des « valeurs » d’une liberté (celle du renard dans un poulailler), d’une égalité (plus égale pour les uns que pour les autres), d’une fraternité (à la manière de Caïn vis-à-vis de son frère Abel). Ainsi l’électoralisme, tare et sauvegarde du système démo-ploutocratique, est une théorie de la lutte des places, avec un accaparement durable ou une redistribution alternative de sièges au profit d’arrivistes sans convictions.

    C’est pourquoi nous appelons à préparer et à conduire une deuxième Révolution nationale qui seule peut rendre la France à son destin en la nettoyant des parasites qui la détruisent avec une virulence accrue depuis plus de 60 ans.

    Il y a seulement quelques cas rares où la présence électorale nationaliste peut s’expliquer.
    Cela présuppose l’intention sincère de diffuser des idées nationalistes sans aucune compromission.

    Tout en sachant très bien que la France ne s’est pas faite par les urnes, qu’elle a été défaite par les urnes, et qu’elle ne peut se refaire par les urnes…

                                                              Alexandre GABRIAC


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  • Bernadette Chirac fustige l’attitude de François Hollande!

    Après la suppression de son canton, Bernadette Chirac n’est pas contente et elle le fait savoir!

    L’ancienne première dame de France a considéré ce nouveau découpage comme « Du char­cu­tage ! » et a la dent dur contre l’actuel président de la république François Hollande. Bernadette n’y va pas par quatre chemins pour qualifier les conséquence de ce découpage: « J’ai été chas­sée de chez moi, de mon canton de Corrèze ! ».

    Pire, l’ancienne reponsable de son canton de Corrèze déplore les rendez-vous que François Hollande « Quémende » à son mari et durant lesquels il ne ferait que s’asseoirà côté de lui et lui parler « comme s’il était son cousin germain ! »

    On sait d’ores et déjà pour qui Bernadette Chirac penchera lors des prochaines éléctions présidentiels…


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  •  Aubin-Saint-Vaast : à 20 ans, au chômage, il cherche un boulot à tout prix... et le fait savoir le long de la route ..

    PAR : ÉLODIE ADJOUDJ ..

    D’ordinaire, ce sont des panneaux « à vendre » ou « brocante », qu’on trouve plantés le long de la route. Ne sachant plus quoi faire pour parvenir à trouver un travail, Billy Vilain a décidé, lui, de placarder sa demande d’emploi avec sa photo et son numéro, le long de la D349, un axe passant de l’Hesdinois.

    Billy Vilain a planté cette pancarte le long de la route. Une initiative parmi d’autres pour le jeune demandeur d’emploi.

     

    Un parcours « classique »

    Billy Vilain a le parcours presque classique d’un jeune homme de son âge. Voilà encore quelques mois, il était en apprentissage dans un supermarché de Marconnelle. Son bac pro en poche, il rêve de décrocher une place de vendeur. « J’aime le contact avec la clientèle. C’est ce qui me plaît. Et je m’étais dit qu’avec toutes les grandes surfaces, je trouverais un emploi. » Seulement, depuis septembre il n’a même pas décroché le moindre entretien.

    UNE RECHERCHE EFFRÉNÉE

    Ce n’est pas faute d’avoir essayé, nous confie-t-il, un brin désenchanté mais pas découragé. Il a écumé les commerces puis les usines du Montreuillois, est allé jusqu’à Rue, Boulogne et Arras pour y déposer son CV. « 98, au total », précise-t-il.

    Suivi au Pôle emploi d’Hesdin, il a répondu par cet intermédiaire à de nombreuses annonces aux quatre coins du pays : « en Alsace, en Aquitaine, en Basse-Normandie, dans les Côtes-d’Armor... », énumère-t-il. Diplômé, le jeune homme est donc aussi mobile et même véhiculé (« C’est ma grand-mère qui m’a payé ma voiture il y a de ça un moment déjà. »). « Ce que je veux, c’est travailler. Même si c’est dans les DOM-TOM, j’irais ! » Alors, qu’est-ce-qui pêche ? « Je ne sais pas, on ne répond à aucune de mes candidatures... »

    DEUX FORMATIONS AVORTÉES

    En parallèle, et parce qu’il ne voyait rien venir, Billy s’est lancé dans une formation pour passer son permis poids lourd en février. « Puis, j’ai dû subir une intervention chirurgicale. » Et les portes de la formation se sont refermées. Qu’à cela ne tienne, il a passé les sélections pour devenir gendarme adjoint volontaire. « Je n’ai pas de réponse pour l’instant. » Prêt à reprendre les études, toujours en apprentissage, il a aussi postulé pour un BTS commerce. « J’ai jusqu’au 1er avril pour trouver un employeur, sinon ça tombera à l’eau. » Il s’est même résolu à postuler pour des jobs saisonniers, sans plus de résultats. La pancarte plantée le long de la route n’est donc pas un acte de désespoir ni de colère. C’est juste une façon comme une autre – une de plus – de remuer ciel et terre. « Franchement, j’en ai marre. Je ne sais plus quoi faire. S’il le faut, je mettrais des pancartes ailleurs. J’envisage même des banderoles... »

    « C’EST GRÂCE AUX RESTOS DU COEUR QUE JE MANGE »

    Si Billy met tant d’énergie à trouver un emploi, c’est bien sûr parce qu’il « déteste rester à rien faire » comme il le répète. Mais aussi parce qu’il en a besoin pour vivre. « Des copains au chômage, j’en ai. Je ne suis pas le seul. Mais eux ne cherchent pas vraiment, ils vivent encore chez leurs parents, avec leurs frères et sœurs. » Une chance que Billy n’a pas. Il est indépendant depuis quelque temps déjà. « Quand j’étais en apprentissage à Marconnelle, je louais une maison à Guisy, 500 euros par mois. Mais quand ça s’est terminé, j’ai dû la rendre. Avec environ 650 euros d’indemnités chômage, ça devenait difficile. » Depuis, c’est donc dans un mobile-home du camping de Maresquel-Ecquemicourt que le jeune homme vit. « C’est à ma grand-mère et elle me le prête, mais elle ne peut pas subvenir à tous mes besoins. Je paie l’emplacement 227,50 euros, c’est plus raisonnable qu’un loyer. »

    Plus d’indemnisation dans quelques mois

    Pour se nourrir, c’est un peu la débrouille. Et le jeune homme reconnaît, avec regret, qu’il s’est résolu à faire appel à la banque alimentaire. « Sans les Restos du cœur de Beaurainville, je ne pourrais pas. C’est grâce à eux si je mange. »

    Une situation qui devient plus difficile à mesure que les mois passent. « Le 15 août, je ne serai plus indemnisé et je n’aurai plus aucune ressource. Déjà là, c’est difficile. Je n’ai pas toujours de quoi mettre du gasoil dans la voiture… » Ce qui n’aide pas franchement pour la recherche d’emploi. Un vrai cercle vicieux, une spirale que le jeune homme espère au plus vite quitter en retrouvant le chemin de l’emploi.


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  • Antichristianisme en France : le rapport accablant de l’Observatoire de la Christianophobie

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    L’Observatoire de la Christianophobie vient de publier son rapport 2015 sur la christianophobie en France.

    Le bilan de l’année 2014 est accablant avec 186 actes antichrétiens recensés sur le territoire français. La plupart du temps, ces actes christianophobes ne font l’objet d’aucun traitement médiatique dans la presse mainstream.

    L’Observatoire de la Christianophobie a eu connaissance de :

    - 25 cas de tags haineux

    - 118 cas de vandalisme, profanation ou incendies

    - 12 cas de vols

    - 4 cas d’attaques informatiques

    - 16 cas de provocations publiques à la violence ou à la discrimination

    - 11 cas de violences physiques, actions christianophobes ou perturbations du culte

    Toutes ces situations sont pénalement répréhensibles.

    L’Observatoire de la Christianophobie a également comptabilisé les détournements des symboles chrétiens et les pressions diverses pour l’année 2014 en France :

    - 10 cas de la part de médias

    - 14 cas de la part d’entreprises et de publicités privées

    - 15 cas de la part d’institutions publiques

    - 10 cas de la part d' »artistes »

    L’Observatoire de la Christianophobie montre aussi l’augmentation impressionnante des actes commis contre les lieux de culte chrétiens en France depuis 2008. Les derniers chiffres fournis par le Ministère de l’Intérieur concernent l’année 2013. 405 cas d’atteintes aux lieux de culte chrétiens ont été répertoriés cette année-là, soit 82 % de l’ensemble des atteintes à des lieux de culte en France.


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  • Un sénateur jamais présent touchera plus de 7200 euros net par mois

    Le président du Sénat, Gérard Larcher, a annoncé que la Chambre Haute envisage de pénaliser les sénateurs absentéistes en leur infligeant des retenues sur leurs indemnités. Une mesure allant dans le bon sens, mais encore loin du compte.

    Lu sur le Huffington Post :

    [T]out parlementaire qui sera absent, au cours d’un même trimestre, à plus de la moitié des votes solennels, ou des réunions de commission, ou des séances de questions au gouvernement (convoquées une fois toutes les deux semaines), verra son indemnité de fonction amputée de moitié. Soit une perte sèche de 700 euros par mois.

    Le Sénat s’est voulu encore plus sévère avec les récidivistes qui « sèchent » purement et simplement tous les travaux de la haute assemblée. Si l’absence d’un parlementaire atteint la moitié des trois catégories citées précédemment, la sanction entraînera la suppression de la totalité de l’indemnité de fonction (1400€/mois) et de 50% de l’Indemnité représentative de frais de mandat (IRFM, soit 3000€/mois).

    Résultat des courses: les sénateurs les moins assidus pourraient perdre jusqu’à 4400€ d’avantages financiers par mois[.]

    La rémunération d’un sénateur étant de 11 628,90 euros net par mois, une retenue de 4400 euros signifierait qu’un sénateur jamais présent continuerait à toucher 7228,90 euros par mois.

    Et pour toucher l’intégralité de leurs indemnité, il leur suffirait de ne pas être absent à la moitié des votes solennels, réunions de commission et séances de questions au gouvernement.

    Question rhétorique : dans quelle entreprise serait-il possible à un salarié de ne respecter qu’une grosse moitié de la durée prévue par son contrat de travail et quand même toucher l’intégralité de son salaire ?

    ***

    Si le cas des « sénateurs-fantômes » est minoritaire, il concerne quand même une trentaine d’entre eux, soit près de 10 % :

     

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