• À Angoulême, un homme est violemment agressé aux cris de « Sale Français »

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  • Le Front National et le front de gauche deviendrait-il pareils ...

    Pour Marion Maréchal-Le Pen, la régularisation du clandestin Tiki est « logique » et « méritée »

    Publié par: Thomas Joly..

    Stéphane Tiki est un délinquant, un étranger qui a violé les frontières de la France et se trouve sur le territoire national après en avoir violé les règles, les institutions, le « pacte républicain ». Comme des centaines de milliers de ses congénères, il s’est imposé en France après avoir obtenu un visa pour faire dans notre pays de prétendues « études », et il y est demeuré à l’expiration de la date de validité du document, montrant tout son mépris pour la France et ses lois.

    Malgré cela, il avait réussi à rejoindre l’UMP et sa branche « radicale », la Droite forte, qui exigeait jusque-là l’expulsion de tous les clandestins. Plus incroyable, il avait réussi à se faire nommer par Sarkozy chef des « Jeunes pop ».

    Il aurait pu également faire carrière comme président du FNJ : Marion Maréchal Le Pen, la branche « radicale » du néo-FN a estimé qu’après avoir menti et violé nos frontières, Stéphane Tiki avait toute sa place en France. Pour la députée FN, il représentait en quelque sorte « l’élite » de l’immigration.

    « En tout cas manifestement il fait partie de ces immigrés qui mériteraient la naturalisation enfin voilà ça semble être un militant politique engagé qui aime la France, bien qu’il ait quand même pour l’instant un peu triché avec les institutions et ça il faut quand même le rappeler. C’est un peu gaguesque cette histoire, il y a une forme de duplicité inquiétante de la part de ce jeune homme quoi qu’on en dise. Après je ne vais pas tirer sur l’ambulance ; je pense que l’éviction de ses responsabilités, temporaire semble-t-il, m’apparaissait logique. Parce qu’on ne peut pas [sic : la légaliste Marion Maréchal-Le Pen devrait savoir qu’aucune loi ne l’interdit] être à la tête d’un mouvement jeune d’un parti politique français quand on n’est pas Français. Mais manifestement de toute façon sa situation va s’arranger. […] De toute façon il est en phase manifestement de demande de naturalisation donc c’est une question de temps. Eh bon, je pense qu’il fait partie de ces immigrés qui pour le coup mérite la nationalité française quand tant d’autres ne la méritent pas. Donc je vous dis je n’ai pas envie tirer sur l’ambulance. » a déclaré Marion Maréchal-Le Pen sur Europe 1.

    Démontrant une fois encore la duplicité du FN sur le sujet, elle a ensuite précisé qu’il faudrait que Stéphane Tiki, en attendant sa « légitime » naturalisation, rentre au Cameroun, mais que sa naturalisation étant imminente, c’était à peine utile. Ainsi, ce qui importe aux dirigeants du FN, ce n’est ni l’esprit de la loi, ni le bien du peuple français, mais la seule application de la lettre de la loi, les apparences, les faux-semblants. Ce n’est pas la délivrance de la France qui intéresse le FN, ni la véritable lutte contre l’invasion, mais seulement l’apparence de la lutte contre une immigration de masse qu’en réalité le parti d’extrême droite a tout autant intégrée que l’UMP et le Front de gauche.

    Le Front national prétend pourtant dans son programme vouloir l’expulsion immédiate des clandestins, qu’ils soient rentrés ou qu’ils se maintiennent illégalement sur le territoire national, c’est-à-dire exactement le cas du délinquant étranger Stéphane Tiki que soutient Marion Maréchal-Le Pen. Pour le FN, il suffit qu’un délinquant clandestin précise avoir fait une demande de régularisation et que l’extrême gauche milite en ce sens pour qu’un individu méprisant nos lois, notre terre et notre peuple, pour qu’il se transforme en parfait « immigré ».

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  • Les étranges jugements de Manuel Valls en janvier 2015 ..

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    Cette étrange déclaration (à mettre en lien avec cet article) suscite quelques questions (liste non - exhaustive) :

    • Tous égaux devant la République, ou bien certains sont-ils plus égaux que d'autres ?
    • N'est-il pas paradoxal de reconnaître officiellement des catégories de citoyens en France au risque de développer encore un peu plus le communautarisme, alors qu'on ne cesse de réclamer à tort et à travers l'unité nationale derrière les "valeurs de la République" et d'exiger que la religion soit reléguée dans la sphère privée ?
    • Quels sont les critères retenus par Monsieur Valls qui lui permettent d'établir une échelle de valeur entre les citoyens de ce pays ? Des critères religieux ?
    • Etablit-il de ce fait un classement qualitatif des religions en France ?
    • Et du reste, comment Monsieur Valls sait-il qui est juif, qui est chrétien ? Fait-il établir des fiches, comme ses illustres prédécesseurs ?

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  • Que fait la France d’un djihadiste qui rentre au pays? Elle lui donne une allocation « adulte handicapé »

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    Mohamed el-Ayouni est français. Il est parti faire le djihad en juillet 2004 à la frontière irako-syrienne avec deux autres Français. Il avait 25 ans. Quand il en a eu assez, il est rentré en France, a demandé une pension, et l’a obtenue.

    Un de ses camarades de djihad, Cherif Kouachi, n’a pas eu la chance de partir faire le djihad. Surveillé par la DST, il se fera interpeller à Paris, en janvier 2005, alors qu’il s’apprêtait à prendre l’avion pour Damas.

    Ce sont les victimes de Charlie Hebdo qui surtout n’ont pas eu de chance.

    Si la DST n’avait pas arrêté et livré Kouachi à la justice qui lui a rendu sa liberté, il serait probablement mort en Irak et les journalistes de Charlie Hebdo seraient toujours en vie.

    Il reçoit une allocation « adulte handicapé » de 800,45 € jusqu’à la fin de sa vie

    Quand Mohamed el-Ayouni est expulsé vers la France, il a perdu un bras et un œil dans un bombardement. Il fait une demande d’allocation « adulte handicapé » aux services sociaux, révèle Le Point dans son édition papier du 15 janvier 2015, qui lui est accordée, et reçoit 800,45 €, jusqu’à la fin de sa vie.

    Et s’il est bien conseillé, il touchera également certes sous certaines conditions et temporairement « l’allocation temporaire d’attente », qui s’échelonne jusqu’à 1540€ par mois. Faites l’addition, ça fait 2340€ par mois. Il vaut mieux quelques fois êtes délinquant et terroriste que … bon citoyen.

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    « J’ai été blessé le jour où les Américains ont fait une offensive terrestre dans le secteur où je me trouvais. J’ai vu un avion sans pilote qui est passé au-dessus de nous. J’étais caché derrière un mur (…) Nous nous apprêtions à défendre notre secteur lorsqu’un char a tiré sur la position où je me trouvais. C’est à ce moment-là que j’ai été blessé. »

    « J’ai constaté que j’étais plein de sang et que mon bras était arraché. Je ne voyais plus d’un oeil. Je me suis relevé, j’ai reculé et deux autres moudjahidin m’ont amené en voiture dans un endroit qui ressemblait à un petit cabinet médical. J’ai alors subi une opération chirurgicale. »

    Une fois guéri, il rejoint le groupe terroriste «Jaysh e Mohamed» (l’Armée de Mohamed) affilié à Al-Qaïda basé à Hit, au nord-ouest de Ramadi et de Falloudja, et qui a revendiqué l’attentat contre le siège de l’ONU à Bagdad qui a fait 23 morts en août 2003.

    Au bout de plusieurs semaines, Mohamed el-Ayouni commence à se sentir inutile : « Je voulais quitter l’Irak parce que je ne pouvais plus rien faire du fait de mon handicap.»

    Il finit par franchir la frontière à pied avec d’autres terroristes, est pris en charge par deux médecins syriens, puis, il est interpellé par la police syrienne, et expulsé vers la France.

    De retour en France en 2006, Mohamed el-Ayouni confesse au journaliste du Parisien qui signe C.D. « Je serais prêt à faire le jihad partout dans le monde. »

    En attendant, il est surtout prêt à recevoir les aides de la France, pleine de mansuétude pour ses enfants djihadistes.

    Le 19 mars 2008, Mohamed se retrouve devant la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris avec deux autres terroristes, lors du procès de la « filière irakienne du 19e arrondissement de Paris », à laquelle appartenaient également les frères Kouachi.

    Il comparait libre sous contrôle judiciaire, précise Le Monde. Et Christiane Taubira n’existait pas encore…

    Il était jugé pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes ».

    Il n’est donc pas outrancier de le décrire comme un terroriste, à qui la France accorde des droits lorsqu’ils sont fatigués ou lassés de s’être livré au djihad.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.


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