Toutes les statistiques le montrent, les cas de syphilis (ou vérole) sont en forte augmentation en France et en Europe. Alors qu’elle avait quasiment disparu en France, cette maladie est réapparue dans les années 2000, et il y a actuellement davantage de cas de syphilis déclarés que de cas d’infection au VIH en Europe, qui n’est pas la seule région du monde à voir ses chiffres flamber ; c’est un phénomène quasi mondial.
En France, les chiffres ont fortement augmenté ces dernières années et on atteint 1.750 cas recensés en 2017.
La population la plus touchée par la syphilis est celle des hommes homosexuels, des personnes ayant des rapports avec plusieurs partenaires dans l’année ou fréquentant des prostitués.
La syphilis est une maladie grave pour laquelle il n’existe pas de vaccin, mais dont le traitement est simple et efficace ; hélas, il ne met pas à l’abri d’une réinfestation.
On peut attribuer l’augmentation de ces chiffres au fait que, la peur du VIH ayant diminué, les relations sexuelles sans préservatif ont augmenté et que les signes cliniques de l’infection par le tréponème (agent de la syphilis) peuvent passer inaperçus ou être confondus avec une autre pathologie. Seul le dépistage sanguin permet d’affirmer le diagnostic, mais la recherche de la syphilis n’est plus obligatoire que chez les femmes enceintes et les donneurs de sang.
Non traitée, la syphilis évolue en trois stades pendant des années, voire des dizaines d’années.
Au stade primaire, quelques jours ou quelques semaines après la contamination, on peut observer un chancre au point d’inoculation, qui le plus souvent amène le malade à consulter, à condition qu’il se situe sur une partie visible du corps (verge, petites lèvres, gorge), mais si ce chancre n’est pas visible (paroi vaginale, rectum), le malade ne consultera pas, car en dehors du chancre, à cette période, la maladie est asymptomatique.
Ensuite, la syphilis évoluera, au bout de quelques semaines, vers sa phase secondaire qui se traduit par une éruption cutanée et muqueuse, avec parfois un peu de fièvre et des atteintes ostéoarticulaires pouvant amener le patient à consulter, mais ces signes sont souvent trompeurs et peuvent être confondus avec d’autres pathologies.
Non traitée à ce stade, la syphilis évoluera silencieusement pendant des années et entraînera des lésions, le plus souvent sévères, d’organes tel que le cœur et les vaisseaux sanguins, les os ou le foie, ainsi que le cerveau et la moelle épinière.
Il s’agit donc d’une maladie très grave que l’on peut, heureusement, bien traiter par des antibiotiques aux stades primaire et secondaire à condition, bien évidemment, d’en avoir fait le diagnostic .
Le dépistage sanguin obligatoire lors de la visite médicale prénuptiale a été abandonné il y a déjà quelques années ; peut-être faudra-t-il y revenir, et surtout proposer ce dépistage, comme on propose celui du VIH, lors des bilans systématiques ou pour les personnes appartenant à des groupes « à risque » afin d’éviter que les porteurs du tréponème ne contaminent d’autres personnes et puissent être traités efficacement.
Sous prétexte de ne pas stigmatiser certains groupes sociaux, il serait vraiment dommage de laisser progresser cette maladie dans la population alors que nous possédons les moyens de l’enrayer par un traitement simple et efficace.
Larcher trouve que les Français mangent trop : défense de rire !
Je sais qu’en baptisant le patapouf Gérard Larcher, président du Sénat, du surnom d’un pachyderme célèbre, je vais m’attirer les foudres de tous les amis de ce formidable animal qu’est l’éléphant… dont je suis, rassurez-vous, car il ne s’agit que de moquerie et rien d’autre, parce que si l’on compare les deux clichés (le précédent et le suivant), il est aveuglément évident que, hormis le tour de taille, absolument rien n’est comparable entre les deux créatures ; l’animal étant doté d’une intelligence et d’une finesse de mémoire… qui font largement défaut à l’humain en question !
Et autant je me fous de ce que ressentirait Larcher de la comparaison (s’imaginant sans doute supérieur à l’animal, comme il le croit pour les citoyens français), autant je ne voudrais surtout pas froisser le digne animal qui mérite notre respect et notre affection.
Ah mais parce que vous ne connaissez pas le dernier exploit de l’olibrius, qui ferait mieux de tourner sa langue neuf fois dans sa bouche avant de parler (et d’écrire), ça lui éviterait de sortir des inepties grosses comme lui (c’est dire), car quand on a son tour de taille (et du reste) on évite de parler de bouffe au commun des mortels… surtout si c’est pour leur conseiller de manger moins !
Les commentaires qui suivent ce chef-d’œuvre sont absolument savoureux, et valent le détour, à commencer par celui-ci, qui résume assez bien le sujet, en termes accessibles à tout le monde, y compris aux gens qui ne sont rien, et à qui il faudrait tout expliquer avec patience… comme notre chefaillon d’État dont la principale occupation est de faire rédiger des bobards bien clairs :
Quant à notre « fondateur » il n’y va pas par quatre chemins dans cette hilarante vidéo où il met le paquet question humour et dérision, dans le louable espoir de nous dérider en ces temps anxiogènes… et où les commentaires qui suivent n’ont rien à envier à ceux de la sortie de Larcher.
C’est le même bonhomme qui veillerait, paraît-il, à ce que le Sénat se féminise… sans doute afin d’obéir aux volontés de la « parité » hommes/femmes, puisque sans ce diktat-alibi les politicards précédents n’y auraient jamais pensé d’eux-mêmes, et que bien sûr il faudrait y regarder de plus près pour y voir ici comme ailleurs, non pas une égalité parfaite 50/50 mais bien plutôt un véritable équilibre sans qu’il soit absolument nécessaire d’y inviter l’arithmétique !
Il semblerait toutefois que même si le trait est outré sur l’illustration qui suit, prêtant plutôt à rire, il n’est pas exclu qu’elle recèle une part de vérité… mais ce ne sont que des suppositions gratuites… comme le sont les monstrueuses accusations du gars Larcher !
Ah ben oui, on y croit, on y croit… surtout quand on le voit comploter avec le pourfendeur des Gilets jaunes, voulant nous faire croire qu’il s’intéresse au sort des Français… autres que les « tout neufs » … À moins qu’ils ne soient occupés, le plus sérieusement du monde à concocter les menus du Sénat pour le mois à venir ; Gégé s’inquiétant auprès de Manu de savoir s’il peut y introduire du homard, ou si c’est encore trop tôt !
Mais sachez d’ores et déjà, braves gens, que désormais le kebab au homard sera interdit au citoyen lambda qui s’en délectait, perfidement dénoncé par « l’exquise » Sibeth N’Diaye (entre deux essayages chez son costumier) et que pour montrer l’exemple, il y aura obligatoirement, au moins une fois par trimestre, le « jambon-purée-compote » arrosé au Sidi-Brahim au menu des sémillants sénateurs, montrant ainsi aux bâfreurs populeux comment faire des économies… et sauver la planète par la même occasion.
Ayant beaucoup du mal à croire moi-même à mes trouvailles… je donnerai néanmoins quelques pistes au critique gastronomique Larcher, afin qu’il nous lâche la grappe avec nos menus, et s’occupe prioritairement de réduire son tour de taille, plutôt très nuisible à son discours moralisateur :
– Commencer un régime, en s’inscrivant de toute urgence sur le site qui nous gonfle à longueur de temps sur les antennes, avec ses repas livrés à domicile… si j’ai bien tout compris via l’additif qui suit… pour quatre semaines consécutives… autrement dit sans doute des plats lyophilisés… Miam !
– Ou alors, ne rien changer à son look pour, au contraire, s’inscrire à un club de sumo(en plus ça fera plaisir à Chirac) ; il a d’ailleurs déjà plusieurs atouts, puisque, en dehors de son physique avenant, il doit bien avoir acquis, tout au long de ses longues années de pratiques politiciennes, la célébrissime courbure d’échine devant plus puissant que soi…
Bref, tu fais comme tu veux Gégé, l’essentiel étant que tu cesses de nous emmerder avec tes sorties à la noix… et ne t’avise pas d’aller pleurnicher chez la mère Lætitia Avia, comme quoi je me livrerais à de l’incitation à la haine… car c’est toi qui as commencé à nous chercher, en révélant ton mépris envers ceux qui pourtant te font vivre… très grassement si l’on en croit ta silhouette !
À bon entendeur salut, et au plaisir de ne plus t’entendre, ni te lire !
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression !
P.S. On me dit dans l’oreillette que je ne suis qu’une mauvaise langue qui n’a rien compris au si beau discours de l’innocent et « légèrement enrobé » (comme Obélix)Gérard Larcher, qui n’a pas dit clairement que les Français mangeait trop… mais qu’il fallait combattre leur « gaspillage » !
Eh bien « cher » Gégé, va donc dire ça à tous ceux qui « dansent devant le buffet » dès le 20, voire le 15 du mois, parce qu’ils n’ont plus un sou pour nourrir leurs gosses, pendant que toi et tes suffisants copains vous vous empiffrez sans limite à la « cantine » du Sénat !
Et qu’on le veuille ou non, il m’apparaît de la plus honteuse tartuferie de faire la leçon aux citoyens, dont une grande partie connaît des fins de mois difficiles, quand on « bouffe » pour 16,45 €, précisément grâce à une scandaleuse subvention… payée par les contribuables à qui l’on demande de payer sans moufter, sinon case prison pour incitation à la haine :
« On sait que les cantines de la République sont bonnes. On n’imagine pas qu’elles sont, en plus, bon marché. Dans un dossier spécial publié en octobre 2015, le magazine Capital s’est intéressé au restaurant du Sénat. Au menu du jour : foie gras mi-cuit entier et une sole des côtes bretonnes façon meulière. Montant de la note ? Seulement 16,45 euros. « Soit à peine plus que le prix d’une pizza Regina », constate le magazine. Pour les personnes ne travaillant pas au Sénat, le menu est facturé 26,75 euros. Comment est-ce possible ? C’est simple, la « cantine » du Sénat qui donne sur les jardins du Palais du Luxembourg est… subventionnée. Chaque année, elle coûte 800 000 euros par an aux contribuables. Quand on sait qu’un sénateur gagne 7 100 euros par mois, sans compter l’indemnité de frais de représentation, on ne comprend pas comment ce privilège n’a pas disparu avec la crise ».
Le cœur de Gérard Larcher bat depuis toujours pour le général de Gaulle. Dans les années 1960, alors lycéen, il s'engage chez les jeunes gaullistes, "par admiration pour le général" de pacotille et par "influence familiale". Il adhère ensuite au RPR de Jacques Chirac, dès sa création en 1976. Celui qui se revendique "gaulliste social" a par ailleurs publié en 2012 un livre sobrement intitulé : "Le Gaullisme, une solution pour demain" ...<<Enfin disons-nous ,une solution pour une France migratoire colonisée et étrangère >> que nous Pieds Noirs nous le savons bien !
Des valeurs gaullistes qui n'empêchent pas un certain pragmatisme, chez celui qui est parvenu à gravir tous les échelons à droite, avec une indéniable habileté. En 1995, alors que s'affronte dans son camp Balladur et Chirac, il préside, dans sa permanence de Rambouillet, le comité de soutien à Edouard Balladur, pendant que son épouse, dans les mêmes locaux, préside celui de Jacques Chirac. Plus récemment, lors de la primaire de la droite 2016, il est un soutien de la première heure de François Fillon...
Plus anecdotique, «il fut couronné "bébé Blédine" avant de savoir marcher», indique une biographie de ce Normand né le 14 septembre 1949 à Flers (Orne). «J'avais déjà bon appétit», plaisante-t-il.
Bref !
Bien nourris ces sénateurs .... bien payés aussi ...mais ils servent a quoi au juste a part se voter des salaires astronomiques , des avantages , des retraites énormes ....
Et pour le reste Basta .
Qu'il est beau notre Larcher ! ça nourrit bien son homme le Sénat !
A écoutez
Malin, le président du Sénat Gérard Larcher ,dit que sa permanence est ouverte PRÈS DE 6 jours par semaine. On a vérifié : il n’a PRESQUE pas menti.
Explosion des cambriolages dans la France entière : la faute à qui ?
Le Figaro publie le bilan semestriel des cambriolages en France. Et les chiffres ne sont pas bons. La hausse de 1,15 % pourrait paraître minime. Mais il faut préciser que ce sont, tout de même, plus de 116.000 cambriolages en six mois qui viennent de se produire, soit plus de 640 cambriolages par jour.
Surtout, ce qui devrait inquiéter, c’est la diversité des zones touchées : métropoles, petites villes, France périphérique, zones police ou zones gendarmerie, tout le pays semble subir cet assaut de la délinquance. Paris, bien sûr, est aux premières loges, avec plus de 6.600 cambriolages, mais les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Val-d’Oise connaissent aussi des augmentations de plus de 10 %.
Mais la hausse la plus spectaculaire est incontestablement celle qui touche des départements de la France périphérique : le territoire de Belfort (+60 % !), la Haute-Marne (+36 %), l’Aube (+34 %), la Meurthe-et-Moselle (+28 %), la Marne (+26 %), la Meuse, la Côte-d’Or et la Sarthe subissant, elles, une augmentation de 23 %.
Quelques baisses sont heureusement à constater en Seine-et-Marne et dans les Yvelines (-12 %). Mais c’est surtout le chiffre des Alpes-Maritimes qui est significatif : -22 % de cambriolages sur ces six premiers mois de 2019. Comme si les villes et les départements où la droite est forte, et les habitants exigeants en termes de sécurité vis-à-vis de leurs élus, réussissaient mieux que les autres.
D’ailleurs, un sondage Odoxa/Fiducial publié par Le Figaro révèle que la sécurité est LA préoccupation majeure des Français pour les municipales : ils la placent en tête, à 50 %, devant l’environnement ou le développement économique. Et, sans surprise, les cambriolages, pour 45 % d’entre eux, constituent un motif d’insatisfaction. Le cambriolage, d’exceptionnel qu’il était, est entré ces dernières années dans le quotidien des Français : selon un sondage OpinionWay pour Covéa, Verisure et SARETEC, 20 % d’entre eux déclarent en avoir été victimes, et 63 % y avoir été confrontés ! Cela fait des dizaines de millions de Français !
À Paris, Anne Hidalgo et Christophe Castaner, dépassés l’un et l’autre, se renvoient la responsabilité de l’explosion de la délinquance. Ils ont tous les deux raison. L’une s’est fait l’égérie de l’accueil des migrants. Or, selon le sénateur de Paris Pierre Charon, citant les chiffres de la préfecture de police, 45 % des actes de délinquance à Paris sont dus à des migrants. Quant à M. Castaner et à Mme Belloubet, ils n’ont eu, pendant six mois, qu’un seul ennemi : les gilets jaunes. Contre eux, police et Justice ont été impitoyables.
Pour le Français moyen, plus ou moins gilet jaune de cœur, c’est la double peine : il subit une criminalisation jamais vue de la part de l’État (arrestations préventives, violences physiques, acharnement des procureurs comme à Nice ou La Roche-sur-Yon, encore, ce week-end) et il est soumis à une vague de criminalité sans précédent.
Il est peut-être temps de renverser les priorités assignées à la police et la Justice, et de sortir de ce duo d’incompétences PS-LREM, à Paris comme dans nos villes, non ?
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