• Une association pro-migrants bafouant les lois reçoit un prix…remis par la ministre de la la justice !

    Voici qui est révélateur de la connivence entre les mondes de la justice rouge, des fonctionnaires politisés et des associations gauchistes gavées d’argent public… unis pour opérer le Grand Remplacement.

    Source Contre-info

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    « La Commission nationale consultative des Droits de l’Homme (CNCDH) vient bien de décerner la mention spéciale du prix des Droits de l’Homme 2019 au réseau briançonnais d’aide aux réfugiés « Tous migrants ». La cérémonie de remise des prix a eut lieu le 10 décembre au ministère de la justice et c’est la ministre en personne qui a remis ce prix.

     « Tous migrants », engagée depuis 2015 auprès des personnes traversant la frontière italienne, a salué « un acte politique fort » mais également contradictoire avec leur action, « criminalisée » par le gouvernement. « Le devoir de fraternité est récompensé d’un côté alors qu’il est bafoué, réprimé et criminalisé de l’autre, tout comme le sont le devoir d’assistance à personne en danger et, encore plus grave, les valeurs de la République française », a dénoncé l’association. Ces derniers mois, les procès pour « aide à l’entrée » de personnes étrangères se sont multipliés. […] « Le fait que Nicole Belloubet vienne nous délivrer cette récompense en personne, c’est qu’elle a conscience que les droits de l’homme sont bafoués en France », a déclaré Stéphanie Besson, cofondatrice de « Tous migrants », à la Provence.

    Des membres nommés par le Premier ministre

    […] Si en droit français, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) est une autorité administrative indépendante, ses membres sont nommés par le chef du gouvernement. Les membres de la CNCDH sont en effet nommés par décret du Premier ministre, après l’avis d’un Comité composé du Vice-président du Conseil d’État, du Premier président de la Cour de cassation et du Premier président de la Cour des comptes, qui est rendu public.

    Il n’est donc pas exagéré d’écrire que cette association pro-migrants [est soutenue par l’Etat] d’autant que c’est la ministre de la justice en personne qui a remis ce prix à cette association qui enfreint régulièrement nos lois en se faisant complices, consciemment ou pas, des passeurs de migrants. » (source)


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  • Nouveaux tweets d'Agnès Cerighelli, ancienne élue LREM, sur les agents RATP

    Nouveaux tweets islamophobes d'Agnès Cerighelli, ancienne élue LREM, sur les agents RATP
    © LP
     
    À l'occasion de la grève de la SNCF et de la RATP, Agnès Cerighelli s'est fendue de nouveaux tweets islamophobes accusant la direction de la RATP d'avoir "embauché trop d'arabo-musulmans" qui traiteraient les usagers "comme du bétail". 
    Il y a quelques semaines, Agnès Cerighelli a déjà lourdement dérapé, commentant sur Twitter un baiser entre deux chroniqueuses de l'émission TPMP sur C8 : "En raison du délit de diffamation publique à raison de l’orientation sexuelle, rien désormais n’est critiquable. Tout acte homosexuel peut être montré à la TV devant les enfants. La propagande LGBT se poursuit en toute licité sur toutes les chaînes françaises. Honteux ! #TPMP" .
     
    Voilà que ce vendredi, elle s'en prend cette fois-ci à l'une de ses cibles favorites : les musulmans.
     
    Trop d'agents "arabo-musulmans" selon Agnes Cerighelli
     
    En effet, à l'occasion de la grève interprofessionnelle contre la réforme des retraites proposée par le gouvernement, l'ancienne élue de la majorité s'est à nouveau fait remarquer sur Twitter en réagissant aux perturbations du trafic des métros et RER parisiens, à la suite de la mobilisation de la RATP et de la SNCF.
     
    "Le DRH de la #RATP a une immense responsabilité dans la grève qui paralyse métro et RER depuis le 5 décembre., écrit-elle. Il a recruté des milliers d’agents arabo-musulmans qui méprisent #Noël et considèrent les usagers comme du bétail. En décembre, ils sont tj en grève. #grevedu13decembre" .

    Bis repetita
     
    Un tweet ouvertement islamophobe, donc, qui a fait réagir de nombreux internautes.
    Ils l'accusent notamment de faire des amalgames et des raccourcis, ou encore de stigmatiser une frange de la population sur des supputations infondées.
    Mais il en faut bien plus pour arrêter Agnès Cerighelli qui s'est empressée d'en rajouter une couche : "La #RATP a supprimé en 2007 la clause de nationalité française pour tous ses agents. Responsables de la sécurité de millions d’usagers, les agents RATP sont en majorité arabo-musulmans. Le prosélytisme islamique s’est aggravé. A l’approche de #Noël, la grève est systématique."

    Exclue du parti en 2018
     
    Pour rappel, Agnès Cerighelli, ancienne conseillère municipale dans la ville de Saint-Germain-en-Laye et adhérente LREM de 53 ans, n'en est pas à son coup d'essai.
    C'est même peu dire ! À de nombreuses reprises, elle a ciblé plusieurs communautés, que ce soit à la télévision ou sur les réseaux sociaux.
    Dès septembre 2018, le comité départemental LREM a donc demandé son exclusion, laquelle est actée en quelques jours.
    Elle a reçu sa notification d'exclusion par courrier avec accusé de réception le 27 septembre 2018. Mais malgré les demandes répétées des responsables du parti pour lui faire retirer la mention d'adhérente sur Twitter, celle-ci apparaît toujours en guise de bio.
    SOS homophobie 
     
    @SOShomophobie
     
     

    .@SOShomophobie étudie la possibilité d’agir en justice contre cette personne. Nombre de ses tweets sont et répandent la haine. Ils doivent disparaître des réseaux sociaux et leur auteure doit être sanctionnée par la justice.

    Voir l'image sur Twitter
     
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    Proche de la députée Agnès Thill

    "C'est très ambigu, justifie Agnès Cerighelli pour Le Parisien.
    Je reçois toujours les invitations aux événements du parti. J'ai même assisté au meeting de Nathalie Loiseau pour la campagne des Européennes à Aubervilliers."
    Aujourd'hui, elle se dit proche de la députée Agnès Thill, elle-même menacée d'exclusion pour ses propos homophobes.
    Le 13 décembre 2019 à 17:45 • Baptiste Regnard

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  • 50 % des hypermarchés Carrefour en fortes pertes !

     Selon cette information rendue publique par le magazine Capital, les difficultés du groupe Carrefour ne semblent pas s’arranger et la grande distribution souffre terriblement du changement des usages.

    Ainsi la moitié des hypermarchés Carrefour accuserait de fortes pertes; en perdant de l’argent avant même d’avoir payé les loyers de leurs locaux.

    Cette information officielle corrobore ce que peuvent me raconter certains membres impertinents de notre communauté et qui travaillent chez Carrefour.

    D’après leurs témoignages la situation semble même être encore plus grave et je ne vous parle même pas de ce que peuvent me dire ceux qui travaillent du côté des activités de contrôle de gestion…

    « Dans le détail, sur les 191 Carrefour Hypermarchés SAS que compte le groupe, 89 afficheraient un déficit, sans même prendre en considération les loyers et les amortissements. Pire, l’an passé, Carrefour a enregistré pour la première fois un résultat d’exploitation négatif ».

    En attendant un hypothétique redressement qui ne viendra sans doute jamais, parce que nous avons à faire à un changement massif des usages des consommateurs, qui ne veulent plus aller passer 3 heures dans des hypers le samedi et perdre leur vie à pousser des caddies dans des univers sans âme, au moment même où il faut réduire notre consommation et revoir nos modes de vie. Le modèle économique des hypers semble avoir vécu. Bref, en attendant un hypothétique redressement disais-je, c’est du côté social que l’on va pouvoir tenter de faire des économies rapidement !

    « Quant aux personnels, l’entreprise a déjà mené un plan de départs volontaires en 2018 portant sur 500 postes. Cette année, une rupture conventionnelle collective a été ouverte sur 3.000 postes, avec à la fin du mois de novembre quelque 2.800 départs validés. Sollicité par Capital.fr, Carrefour n’a pas encore commenté l’ensemble de ces informations ».

    Vous voyez un peu le ratio ?

    500 personnes en départs volontaires, pour 3 000 départs avec ruptures conventionnelles. Lorsqu’un groupe de la taille de Carrefour signe 3.000 ruptures conventionnelles, cela pourrait ressembler fort à un plan de licenciements déguisé, que dis-je, excusez-moi à un plan de sauvegarde de l’emploi…

    Peut-être que la direction du travail devrait se pencher sur ce dossier.

    Charles SANNAT

    Source Capital.fr ici

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  • La réforme des retraites racontée aux Français par Sibeth Ndiaye



    Il paraît qu’une des vertus de la  sera d’apporter de la simplification.
    Plus simple pour qui, on se pose d’ailleurs la question.

    Dans le plus simple appareil, disent beaucoup de ceux qui sont concernés par cette réforme. Simplification !
    Quand on écoute la porte-parole du gouvernement, , on se dit que c’est pas gagné.
    Sur France Inter, jeudi, la secrétaire d’État, interrogée par Léa Salamé, s’est essayée à une explication de cette fichue réforme des retraites, notamment en ce qui concerne le principe de l’âge d’équilibre fixé à 64 ans et du bonus-malus qui va avec.
    La journaliste, pourtant très loin d’être la plus sotte de sa génération, visiblement, ne comprenant goutte aux explications de la porteuse de parole gouvernementale, pose une question simple – ça tombe bien : « Il y a quelque chose que j’ai pas compris, si je pars à 62 ans, le malus de 5 %, je le paye jusqu’à 64 ans seulement ou je le paye sur toute ma retraite ? »
    Réponse du ministre, accompagnée d’un hochement du chef du bas vers le haut et du haut vers le bas, histoire de bien montrer qu’elle est sûre de son fait : « Vous le payez jusqu’à 64 ans… et après, vous revenez à taux plein. »
    Impeccable. Salamé, qui veut être certaine d’avoir bien compris tout comme y faut, insiste : « Et après, je regagne… » « Vous revenez à taux plein… exactement », coupe celle en qui le Verbe macronien s’est fait chair.
    Deux peccables.
    Et voici tout un peuple de quinquas, tout d’un coup, rasséréné.
    Deux ans de malus, après tout, c’est pas la mer à boire.
    Sauf que…

    Sauf que ce n’est pas du tout ça.
    Le malus, c’est à vie.
    Jusqu’à la fin de la retraite, c’est-à-dire, en principe, jusqu’à la mort.
    Ballot pour celle qui venait d’assener aux auditeurs : « Ce que je veux vous dire aujourd’hui, c’est qu’on ne va pas mentir aux Français. »
    En général, quand ça commence comme ça, on est pris d’un doute.
    Mais, me direz-vous, raconter n’importe quoi, parce qu’on ne connaît pas son sujet, ce n’est pas forcément mentir.
    S’il n’y a pas malice, au fond, c’est pas grave.
    Certes, Napoléon disait que « la plus grande des immoralités est de faire un métier qu’on ne sait pas ».
    Mais ça, c’était avant.
    Et Napoléon était un mâle blanc qui, du reste, ne profita pas longtemps de sa retraite et des annuités accumulées au cours de ses nombreuses campagnes.
    Pour rattraper sa bourde, Sibeth Ndiaye s’est contentée du service minimum en balançant un tweet d’excuses que d’aucuns qualifieront de cavalier : « Désolée, erreur de ma part ce matin sur France Inter : comme aujourd’hui avec le taux plein, partir avant l’âge d’équilibre, ce sera partir avec un malus qui s’appliquera tout au long de la retraite. » Sorry, les filles !
    Au temps pour moi, bande de blaireaux.

    Sous d’autres cieux, certains se sont fait hara-kiri pour moins que ça mais, comme on dit par chez nous, un instant de honte est vite passé.

    Pas si simple que ça, cette réforme des retraites, puisque même les plus grands cerveaux de ce gouvernement semblent s’y perdre.


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