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Diary Sow, l'étudiante sénégalaise disparue en France, dit aller "bien" et être "en sécurité"
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Marlène Schiappa : “C’est vraiment de la soumission de la part du Maire de Grenoble de se coucher devant les dealers”
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Article N°1813 du 06 Octobre 2014..
Savez-vous que l’on vit plus vieux en Algérie que partout ailleurs dans le monde ??.
Quand on pense qu'on oblige les français à travailler davantage pour bénéficier de la retraite et qu'on la donne sans aucune vérification aux algériens après tout ce qu'ils nous ont déjà pris. Ça m'énerve vraiment.
C’est l’intéressante découverte faite par la Cour des comptes qui, en épluchant les comptes de la CNAV (caisse nationale d’assurances vieillesse), l’organisme qui paye les retraites a constaté que le nombre de retraités centenaires algériens (plus de 50.000) était particulièrement important.le nombre de retraités centenaires algériens était particulièrement important. Ce nombre est même supérieur au total des centenaires recensés par l’état-civil en Algérie.LISEZ CE QUI SUIT ..... ET VOUS COMPRENDREZ POURQUOI IL N'EST PAS ETONNANT QUE LES CAISSES DE LA C N A V SONT VIDES !!!!!!
COMMENT L'ALGÉRIE FABRIQUE DES CENTENAIRES (à méditer)
Rolande Ruellan, présidente de la 6e chambre de la Cour des comptes qui a présenté le 9 juillet dernier un rapport sur la fraude sociale devant une commission parlementaire reconnait le problème : ( document que chacun peut consulter pour vérifier cette info) : « Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers » dit-elle, insistant, en particulier, sur le nombre de retraités centenaires algériens.Pourquoi ? Comment ?
C’est ce qu’a tenté de savoir la commission.
« Il suffit de ne pas déclarer à la caisse de retraite le décès de l’ayant-droit » précise la magistrate.
« Mais il n’y a pas de contrôle ? » s’étonne un membre de la commission.« En Algérie nous n’en avons pas les moyens. Il faudrait mettre des contrôleurs itinérants dans tous les pays. Ce n’est pas évident ! » , souligne-t-elle.En résumé clair : les algériens bi-nationaux, ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment où ils se retirent en Algérie pour leur retraite. Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants qui continuent à percevoir la pension de retraite, bien après leur décès.
Et il ne faut évidemment pas compter sur les autorités algériennes pour faire la chasse aux fraudeurs.On peut s’étonner, tout de même, qu’un organisme comme la CNAV qui verse chaque année 4 milliards d’euros de retraite à l’étranger, dont 1 milliard pour l’Algérie, ne soit pas en mesure d’effectuer un minimum de vérifications :
_soit en demandant, tous les deux ans par exemple, aux bénéficiaires de donner une preuve de leur existence - comme cela se fait en France pour les professions libérales, notamment.
_ soit, en les invitant à se présenter dans les consulats de France pour percevoir leurs pensions ( plus compliqué peut-être...
Mais après tout pour percevoir la pension rien n'est impossible...surtout pour leurs enfants qui ne manquerons pas d'accompagner leurs vieux .....pour récupérer une partie de la pension due et perçue...normalement)Alors que le dossier des retraites est au cœur des préoccupations des Français, il serait bon que nos gouvernants se penchent aussi sur cette question......ne pensez vous pas ....
Et qu'en pensent les "braves" syndicats ..... Là, ils n'ont pas réagi ...on ne les a pas entendus .....
Quand on vous dit que les syndicats ...ou les élus responsables nous prennent pour des C O N S !!!( notamment nos "super ministres de gauche ou de droite car ce problème ne date pas d'hier ....)
Alors qu'est ce qu'on fait ????
Comme en Tunisie??Pieds Noirs 9A..
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Stora veut Gisèle Halimi au Panthéon : et pourquoi pas Vergès ?
L'auteur
Manuel Gomez
« Ni excuses, ni repentance » ! Après la remise du rapport commandé à Benjamin Stora sur « la colonisation et la guerre d’indépendance de l’Algérie », la présidence française n’envisagerait que quelques actes symboliques ! Ce n’est certes pas une telle déclaration qui va rendre plus sereines les relations économiques, culturelles et de bon voisinage entre les deux pays.
A la condition, évidemment, que ces déclarations soient suivies d’effet et qu’en réalité la « présidence » ne se déculotte pas !
N’oublions pas qu’en février 2017, alors candidat à la présidentielle, Emmanuel Macron avait qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité » et que, tout récemment, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déposé, lors de sa visite à Alger, une couronne sur la stèle dédiée « Aux martyrs algériens de la guerre d’indépendance » (Les martyrs Français et Européens, il s’en bat les c……. totalement !
Lors de la célébration des massacres commis en Algérie « par l’armée coloniale » (mais pas les émeutiers et assassins Arabes) le 8 mai 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata, le président algérien Tebboune avait demandé à la France « de regarder en face la face sombre de son histoire » et il avait ajouté : « La grandeur d’un Etat se voit lors de la célébration des pages glorieuses de son histoire, mais il est jugé à travers sa capacité à regarder en face les pages horribles de cette même histoire ».
Il est vrai, qu’en ce qui concerne l’Algérie, il lui serait difficile de « célébrer les pages glorieuses de son histoire » : elles n’existent pas.
En revanche, nous sommes prêts à regarder « ensemble » les pages sombres de nos histoires réciproques.
Ce n’est certes pas son discours de ce 8 mai 2020 qui permettra « un apaisement mémoriel », alors qu’il ne s’agit que d’un tissu de mensonges : « La répression sanglante et sauvage de la colonisation abjecte demeurera une marque d’infamie collée au front du colonisateur qui a commis, 132 années durant, des crimes imprescriptibles à l’encontre de notre peuple, car le nombre de victimes a dépassé 5 millions et demi de personnes de tous âges confondus, soit plus de la moitié des habitants de l’Algérie sous l’occupation coloniale ».
Tebboune n’a certainement pas bénéficié de l’enseignement des professeurs de la colonisation car son calcul est totalement ridicule : comment « la colonisation » a-t-elle pu, en 132 années, tuer plus de 5 millions de personnes alors qu’il y avait moins de deux millions d’Arabes lors de la conquête, en 1830 et plus de dix millions, lors de notre départ en 1962 ? Mais nous sommes habitués à ce genre de bouffonneries : souvenons-nous des 45.000 morts de la répression après les assassinats de Sétif, comptabilisés par les gouvernements successifs de l’Algérie indépendante ; alors que « leurs chercheurs » en ont dénombré environ 8000, ce qui n’est déjà pas si mal !
Donc, le seul historien de service, Benjamin Stora, a remis son dossier au président de la République qui, apparemment, connaît mieux l’histoire de l’Algérie en 2021 qu’en 2017, ce qui est un progrès certain.
Retenons certains points précisés dans ce dossier mémoriel :
Tout d’abord, ce fameux canon « Baba Merzouk » qui a été « volé » lors de la conquête au Fort l’Empereur, sur les hauteurs d’Alger. Précisons qu’il appartenait aux Turcs et ajoutons « qu’on s’en fout totalement », qu’il soit rendu ou qu’il reste à Brest.
Comme on se fout également et totalement que l’on rende à l’Algérie « les restes humains des combattants algériens du 19e siècle, conservés au Muséum National d’Histoire Naturelle ». Ce ne sont pas les « ossements » qui nous font défaut, il y en a des millions dans nos catacombes, ne serait-ce que ceux du « cimetière des Innocents » !
Ouvrir les archives, identifier les lieux (ne le sont-ils pas ?), chercher les « disparus » (lesquels ? Les nôtres certainement, ceux enlevés et disparus après le 19 mars (Accords d’Evian) et jusqu’au 5 juillet 1962 à Oran).
Ceux qui ont été assassinés, ceux qui ont été enlevés et éliminés, civils et militaires, ceux que l’on a vidé de leur sang pour fournir les hôpitaux de l’ALN et du FLN, celles qui ont été dirigées vers les « bordels » des militaires algériens et qui n’ont pas survécu. Ces milliers d’assassinés, d’enlevés, de disparus, ne sont pas dans des cimetières algériens, mais dans des fosses communes.
Entretenir les cimetières, lesquels ? Les rares qui n’ont pas été saccagés ? Laissons nos morts se venger directement sur ceux qui les « ont dérangés » dans leur repos éternel ! Ils sont et seront toujours dans nos cœurs et nos pensées.
Eriger une stèle dédiée à l’émir Abd-el-Khader en 2022, à Amboise où il fut détenu ? De qui se moque-t-on, Stora ? Pourquoi pas une stèle également, aux responsables du FLN, emprisonnés à l’Ile de Ré, à Messali Hadj, également détenu en France et à combien d’autres ? Mais, il est vrai que nous vous devons déjà une « Place Maurice Audin », ce traître qui avait collaboré avec nos ennemis. Et bien d’autres rues, avenues, boulevards et places du 19 mars 1962, commémorent les Accords d’Evian. Il en faut, selon vous, davantage car la FNACA en réclame !
Ajoutons également, pourquoi pas, l’assassinat de l’avocat Ali Boumendjel ! Allons, Benjamin Stora, voulez-vous la liste de toutes les personnalités assassinées par le FLN depuis 1954 et jusqu’en 1962 ?
Et nous atteignons le summum de votre méconnaissance de l’histoire, Stora : commémorer la date du 17 octobre 1961. Date à laquelle, selon vos sources, « a eu lieu une répression contre des travailleurs algériens en France ». Non, Stora, il s’agissait d’une manifestation interdite, organisée par le FLN avec la participation de militants du FLN, nos ennemis à l’époque, et non pas de « braves travailleurs algériens » !
Que savez-vous de la répression de cette manifestation, Stora ? Absolument rien.
200 Arabes jetés dans la Seine et des milliers de blessés ? Où sont-ils passés ? Pas dans les morgues, pas dans les hôpitaux, pas rejetés par la Seine, consultez les rapports officiels de l’époque. Alors où ? Uniquement dans le livre de fiction du communiste Jean-Luc Einaudi, publié plusieurs années plus tard.
Vous vous ridiculisez, Stora, en demandant l’entrée au Panthéon de l’avocate du FLN, Gisèle Halimi, pourquoi pas Maître Vergès à ses côtés ?
Tiens, je n’ai pas lu, dans votre rapport, le nombre de milliards que vous proposez d’offrir à l’Algérie au titre de « réparations pour les préjudices commis par la colonisation » : seriez-vous radin ?
En revanche, vous devriez relire le texte des « Accords d’Evian ». Il y était précisé que l’Algérie devait indemniser les Français et Européens pour l’ensemble des « biens » abandonnés sur place, quand ils ont choisi la valise plutôt que le cercueil. Mais, peut-être, êtes-vous en train de calculer le montant ! Prenez votre temps, nous sommes très patients !
Manuel Gomez
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