• Un duo de producteurs homosexuels accusé de viol par ascendant sur mineur

    Après l’affaire Duhamel, c’est un nouveau scandale sexuel qui est révélé cette fois par le journal Le Monde. Olivier A., un homme de 48 ans, a déposé plainte le 8 janvier, accusant son oncle, le producteur de télévision Gérard Louvin, d’avoir “favorisé” des viols incestueux commis sur lui par son “mari”, le producteur Daniel Moyne.

    Daniel Moyne est accusé de “viol par ascendant sur mineur de 15 ans” et Gérard Louvin est accusé de “complicité” de ces faits.

    Selon le journal Le Monde, Olivier A. détaille dans cette plainte les pratiques sexuelles qu’il affirme avoir été obligé de pratiquer sur la personne de Daniel Moyne. Il était âgé d’à peine 10 ans lors des premiers qui se sont poursuivis jusqu’à ses 14 ans.

    Me Debuisson, l’avocat de la victime, dénonce les “horreurs subies” par son client, en situation de “détresse”.

    La juriste Camille Kouchner a accusé son beau-père Olivier Duhamel politologue d’avoir abusé de son frère jumeau. Cela “a servi d’électrochoc”, déclare Me Debuisson. “Il a senti le besoin de libérer sa parole”, veut “pouvoir faire reconnaître son statut de victime” et permettre de “libérer la parole d’autres victimes” éventuelles du duo homosexuel.

    Le plaignant avait déjà été entendu en 2014 dans le cadre d’une enquête ouverte initialement “à la suite d’un signalement concernant le fils adoptif” du duo homosexuel.

    A l’occasion de cette audition, Olivier A. avait décidé de “crever l’abcès” et de relater les faits.

    Le couple avait été entendu sur ces accusations par les policiers fin 2015, mais l’enquête était finalement classée sans suite “le 5 septembre 2016 du fait de l’acquisition de la prescription de l’action publique”.

     

    Source : .medias-presse.info


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  • Un ex-candidat EELV-LFI mis en examen pour tentative d’assassinat

    Un ex-candidat EELV-LFI mis en examen pour tentative d’assassinat

    Le mardi 12 janvier, un homme était blessé par balles à Saint-Priest, ville de la métropole lyonnaise. Mohammed Djeffalet son frère sont soupçonnés d’être les auteurs des tirs.

    En mars 2020, Mohammed Djeffal était candidat pour Saint-Priest sur la liste ACTES (Alliance Citoyenne pour la Transition Ecologique et Sociale), soutenue par la fédération Europe Ecologie-Les Verts du Rhône. Parallèlement, Mohammed Djeffal était également candidat aux élections métropolitaines lyonnaises, cette fois-ci sous les couleurs de La France insoumise.

    A quand la dissolution de LFI et d’EELV ?

     

    Source : lesalonbeige


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  • Rapport Stora : comment « pacifier » les mémoires quand celle de l’Algérie repose sur la haine de la France ?

    Pacifier les mémoires, certes, mais à condition :

    1) Que cela ne soit pas une fois de plus à sens unique… Or, les principales mesures préconisées par le Rapport Stora incombent à la partie française alors que du côté algérien il  est simplement demandé des vœux pieux…

    2) Que la mémoire algérienne ne repose plus sur une artificielle construction idéologique car, comme l’a joliment écrit l’historien Mohammed Harbi, « L’histoire est l’enfer et le paradis des Algériens »

    Enfer parce que les dirigeants algériens savent bien qu’à la différence du Maroc millénaire, l’Algérie n’a jamais existé en tant qu’Etat et qu’elle est directement passée de la colonisation turque à la colonisation française. (Voir à ce sujet mon livre Algérie l’histoire à l’endroit).

    Paradis parce que, pour oublier cet « enfer », arc-boutés sur un nationalisme pointilleux, les dirigeants algériens vivent dans une fausse histoire « authentifiée » par une certaine intelligentsia française…dont Benjamin Stora fait précisément partie….

    Voilà donc pourquoi, dans l’état actuel des choses, la « réconciliation » des mémoires est impossible. Voilà aussi pourquoi toutes les concessions successives, toutes les déclarations de contrition que fera la France, seront sans effet tant que l’Algérie n’aura pas réglé son propre non-dit existentiel. Et cela, les « préconisations » du Rapport Stora sont incapables de l’obtenir, puisque, pour l’Algérie, la rente-alibi victimaire obtenue de la France, notamment par les visas, est un pilier, non seulement de sa propre histoire, mais de sa philosophie politique…

    Un peu de culture historique permettant de comprendre pourquoi, il est donc singulier de devoir constater que l’historien Benjamin Stora a fait l’impasse sur cette question qui constitue pourtant le cœur du non-dit algérien. Au moment de l’indépendance, la priorité des nouveaux maîtres de l’Algérie fut en effet d’éviter la dislocation. Pour cela, ils plaquèrent une cohérence historique artificielle sur les différents ensembles composant le pays. Ce volontarisme unitaire se fit à travers deux axes principaux :

    1) Un nationalisme arabo-musulman niant la composante berbère du pays. Résultat, les Berbères furent certes « libérés » de la colonisation française qui avait duré 132 ans, mais pour retomber aussitôt dans une « colonisation arabo-musulmane » qu’ils subissaient depuis plus de dix siècles…

    2) Le mythe de l’unité de la population levée comme un bloc contre le colonisateur français, à l’exception d’une petite minorité de « collaborateurs », les Harkis. Or, la réalité est très différente puisqu’en 1961, 250.000 Algériens servaient dans l’armée française, alors qu’à la même date, environ 60.000 avaient rejoint les rangs des indépendantistes.

    Or, cette fausse histoire constitue le socle du « Système » algérien, lequel se maintient contre le peuple, appuyé sur une clientèle régimiste achetée par les subventions et les passe-droits. Ce même « Système » qui, à chaque fois qu’il est en difficulté intérieure, lance des attaques contre la France.

    N’en déplaise à Benjamin Stora, voilà qui n’autorise pas à croire à sa volonté d’apaisement mémoriel.

    Bernard Lugan


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  • Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’HARKIS HISTOIRE D'UN ABANDON Réalisé par Marcela Feraru’


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  • Sérum antiscorpionique : il est né en Algérie en 1878..
     
    Il y a juste une plaque en marbre apposée sur le mur gauche du hall d’entrée de l’immeuble du 8, rue Didouche Mourad (ex-Michelet), à Alger. Une plaque sobre, modeste, discrète, sans fioritures ni ostentation. Qui dit que le Dr Étienne Sergent a habité dans ce bâtiment, qui fait angle entre la rue Didouche Mourad et le boulevard Mohamed V, pendant 55 ans. Mais, l’essentiel, l’important n’est pas là. À la neuvième et dernière ligne du texte, où l’on découvre que le toubib en question fut l’inventeur du sérum antiscorpionique.Le remède miracle contre les piqûres de scorpions a été mis à jour dans les laboratoires de l’Institut Pasteur d’Algérie, situé à proximité de la fontaine du Hamma, du Jardin d’essai et du Musée nationale des beaux-arts.
    Peut être une image de monument et texte qui dit ’DANS CETTE MAISON HABITA DURANT 55 ANS LE DOCTEUR ETIENNE SERGENT 1878 1948 'IITUT PASTEUR DE ALGERIE PENDANT OU QU'IL EFFECTUAIT SES IMPORTANTS TRAVAUX SUR LE PALUDISME ET LES MALADIES INFECTIEUSES ET INVENTAIT LE. SERUM ANTISCORPIONIQUE’
     
     

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