• Une députée socialiste d’Ille-et-Vilaine demande à Zemmour de quitter la France
    Marie-Anne Chapdelaine. Pour la députée PS d'Ille-et-Vilaine Zemmour menace la démocratie et devrait donc quitter la France...

    Une députée socialiste d’Ille-et-Vilaine demande à Zemmour de quitter la France

    20/12/2014 – 07H00 Rennes (Breizh-info.com) – « Monsieur Zemmour, la République, on l’aime ou on la quitte ». Dans une tribune publiée dans Libération,  Marie-Anne Chapdelaine députée (PS) de la 1èrecirconscription d’Ille-et-Vilaine, s’en prend violemment – avec quelques députés de la Gauche forte (?) – à Eric Zemmour. Un document révélateur  de de  leur conception hors sol de la France, de son histoire et de sa culture, mais aussi  de la panique qui s’est emparée de l’oligarchie dominante. Edifiant.

     « Nous sommes patriotes. Nous aimons la France, autant que nous aimons la République, parce que, pour nous, la France est République ou elle n’est pas » affirment en préambule les signataires pour qui la France n’a donc commencé qu’avec la Révolution, avant de s’interrompre probablement du 1er Empire à l’avènement de la 3ème République, ce qui trahit une vision pour le moins réductrice de l’histoire française.

    « En faisant des musulmans de France des bouc (sic) émissaires, vous reniez les valeurs républicaines de notre pays. Vous vous accrochez aux stigmates des périodes les plus sombres de notre histoire, pour ériger en modèle votre propre système, antirépublicain, raciste et xénophobe… Non, l’islamophobie n’a pas sa place dans la République ! ». affirment ensuite les signataires qui n’ont manifestement pas lu Le suicide français. A aucun moment en effet Zemmour ne propose de « système » ou de « solution » encore moins de « boucs émissaires ». Il se borne à  livrer à une analyse de la situation de la France – que l’on peut ou non partager – mais son propos s’arrête là.

    Enfonçant le clou, madame Chapdelaine et ses amis, qui n’ont probablement pas lu non plus les ouvrages de l’historien Jacques Dupâquier, continuent : « Vous voudriez nous faire croire que la France appartient à une certaine religion et à une certaine «ethnie», à ce que certains acclament comme un peuple exclusivement constitué par des «Français de souche»mais il s’agit là que du « fruit de leurs fantasmes, déconnecté de ce qu’a été l’histoire de France (sic) ». A les en croire, soutenir que la France a eu pendant des siècles une population d’origine européenne et de culture chrétienne relèverait donc de la psychiatrie.

    Poursuivant leur réquisitoire, nos députés-inquisiteurs multiplient les amabilités à l’égard du journaliste accusé d’être… « antipatriote ». « Vous prétendez aimer la France, mais vous en haïssez le véritable peuple », « M. Zemmour, lorsque vous bafouez la mémoire nationale, vous n’aimez pas la France. », « vous rêvez d’attiser la haine et les rancœurs d’une France contre l’autre » écrivent-ils avant de conclure par un solennel « Vous mettez en danger la démocratie fondée sur le pacte social républicain. ». Pas moins.

    L’analyse – très gramciste – que fait Eric Zemmour dans Le suicide françaisdes causes, en particulier  culturelles, qui ont provoqué l’évolution de la France au cours des quarante dernières années et le succès impressionnant que son livre remporte auprès du public, fait manifestement peur à ceux qui incarnent le système qu’il dénonce. Il est vrai que Zemmour met en évidence la complicité existant entre les libertaires soixante-huitards et les partisans du marché mondialisé. Cette entreprise de « déconstruction des déconstructeurs » ne peut donc qu’irriter l’establisment au pouvoir. Après Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, qui appelle à manifester contre Zemmour, Madame Chapdelaine et ses collègues de la Gauche forte estiment que l’auteur du Suicide français doit être chassé de France.

    « Pas de liberté aux ennemis de la liberté » affirmait Saint-Just en pleine Terreur.  Hier soir, Eric Zemmour a été viré d’I-Télé.

    Photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2014, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.


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  •  MACRON FALSIFIE L’HISTOIRE DE L’ALGÉRIE

    PUBLIÉ PAR :GUY MILLIÈRE..
    Macron vient de reconnaitre la “responsabilité de la France” dans la disparition d’un avocat algérien en 1957, Ali Boumendjel, et il dit que cet avocat a été “torturé et assassiné par l’armée française” à l’époque. C’est censé être, dit-on, un geste d’apaisement” vis-à-vis de l’Algérie. C’est plutôt un geste de soumission et de falsification de l’histoire, et c’est un geste honteux. Que Macron ait fait ce geste n’est pas du tout étonnant.

    Au printemps 2017, quelques semaines avant l’élection présidentielle, Macron avait décrit la colonisation française comme un crime contre l’humanité, et il l’avait fait au côté de membres du FLN algérien, sur le sol algérien. Cela avait été une insulte à la France et à l’armée française, et un crachat au visage de tous ceux qui ont donné naissance à l’Algérie, car avant la colonisation française, l’Algérie n’existait pas (et ce doit être dit, la France a créé l’Algérie et a bâti tout ce qui en a fait un pays). Cela avait été un signe de lâche complicité avec le FLN, une ancienne organisation terroriste à laquelle la France a cédé le pouvoir en 1962 et qui, depuis, a dirigé le pays qu’elle était censée gouverner vers le naufrage et le sous-développement. Macron ayant été élu malgré tout, il n’est pas étonnant qu’il récidive.

    Macron avait demandé fin 2020 à Benjamin Stora, un historien de gauche “anti-colonialiste”, un rapport sur la guerre d’Algérie, au nom d’une “volonté de réconciliation des peuples français et algériens” censée permettre un “travail de mémoire et de vérité” ; et le rapport rendu voici peu, comme c’était prévisible, n’est pas porteur de réconciliation, sauf si on entend par “réconciliation” l’adoption de la position du paillasson par la France et si on attend des Algériens qu’ils s’essuient les pieds sur le paillasson. Le rapport trahit la mémoire et la vérité et insulte la France et l’armée française une fois de plus, mais cette fois, ce n’est pas Macron qui insulte, mais celui à qui Macron a fait appel. Ce qui concerne Ali Boumendjel découle du rapport.

    La guerre d’Algérie a été déclenchée par le FLN, qui a été une organisation terroriste particulièrement barbare, et qui, elle, s’est rendue coupable d’actes méritent vraiment d’être qualifiés de crimes contre l’humanité.

    C’est une organisation dont la “branche militaire” a été dirigée par un homme qui s’est engagé dans la Wehrmacht au temps d’Adolf Hitler et qui a appris la haine et l’ignominie chez les nationaux-socialistes, Said Mohammedi. C’est une organisation qui traite comme un héros, jusqu’à ce jour, Mohammed al Maadi, qui dirigea la “brigade nord-africaine” de la Gestapo française au temps de la collaboration, “brigade” qui a commis des massacres sur le sol français à la fin de la Deuxième guerre mondiale (Mohammed al Maadi tentera de trouver refuge en Allemagne dans les derniers mois de la guerre auprès de Amin al Husseini, l’ancien mufti antisémite de Jérusalem, l’un des responsables de la Shoah, l’oncle du chef de bande terroriste islamique Yasser Arafat, alias Abou Ammar).

    C’est une organisation à laquelle la France n’aurait jamais dû céder le pouvoir, et le fait que la France l’ait fait a couté la vie à des milliers d’innocents, pieds noirs et harkis, et a ruiné et ravagé ce que la France et des Français avaient créé.

    C’est une organisation que les dirigeants français, s’ils avaient un sens minimal de l’honneur, devraient traiter comme un ennemi répugnant, sans jamais lui céder quoi que ce soit, verbalement ou matériellement.

    C’est une organisation vis-à-vis de laquelle la soumission n’est vraiment pas de mise.

    Macron n’est pas le premier à adopter une position de soumission vis-à-vis, mais il le fait de manière plus ostensible et plus obscène que ses prédécesseurs.

    Ali Boumendjel était du côté du FLN, donc du côté des atrocités commises par le FLN. L’armée française à l’époque faisait la guerre à des terroristes qui commettaient des atrocités, et il a été dès lors complice. Un complice de terroristes atroce ne mérite aucune pitié.

    L’armée française à l’époque avait des vies à sauver, celles des victimes d’attentats terroristes à venir. Un Président français qui se conduit comme Emmanuel Macron est indigne d’être Président. 

    Dans un contexte où nombre d’Algériens vivent en France et sont, pour un certain nombre d’entre eux, devenus français, Emmanuel Macron envoie un signal effroyable et délétère qui ne peut qu’aggraver une situation déjà marquée par la violence et le refus de la France et de la civilisation occidentale par de nombreux immigrés et Français de papier.

    Il semble qu’Emmanuel Macron veut vraiment détruire et ravager ce pays.

    Adapté d’un article publié sur les4verites.com

    © Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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  • Peut être une image de texte qui dit ’1962 Indépendance de l'Algérie. Robert PALMADE avec Dora aDa Mabrouk 1962 La France m'a oublié Enfants dans les orphelinats oubliés par la France abandonnés par la république. Un Un destin qui nous concerne tous. Bachari’
    "Un jour, la France est partie. Toute la France. L’armée, les colons, les politiques, les administrations, les documents de première importance, les pieds-noirs, les harkis, les familles et leurs enfants, les meubles et les animaux. En 1962, tous les Français sont partis pour la France, sauf moi et d’autres enfants laissés à l’orphelinat, à ses murs, à ses nouveaux occupants."
    C’est comme ça que commence l’histoire de Robert Palmade, né un soir de Juillet 1955, abandonné le lendemain par sa mère, en Algérie Française, en pleine guerre. Pupille de la nation française, Robert a été pris en charge, placé en pouponnière, puis dans des familles d’accueil.
    En 1962, à l’indépendance de l’Algérie, la nation française a laissé ses pupilles sur place. Robert a été oublié, comme tous les autres enfants de l’orphelinat, il n’a jamais été rapatrié en France. Combien sont-ils à avoir été abandonnés par la France ?
    Combien de pupilles de la nation française restés en Algérie? Impossible à dire.
    En 1969, un décret du gouvernement algérien ordonnait de changer les noms des enfants à consonance étrangère. C’est comme ça que Robert Palmade s’est appelé pendant des années Abdelkader Achli.
    Abdelkader, Robert, Français, Algérien, pupille, orphelin, c’est l’histoire d’une vie gâchée, d’une vie passée à côté, d’une identité trouble, brouillée, toujours entre deux, jamais à sa place, toujours seul. C’est l’histoire d’un enfant, d’un homme, qui s’est battu pour ne pas perdre son nom, Robert Palmade.
    De ce nom, il dit, c’est une promesse, une fatalité, c’est un héritage honni et chéri, Robert Palmade, c’est un mariage forcé entre l’Algérien que je suis devenu et le Français que je suis. Robert Plamade aujourd’hui n’espère qu’une chose c’est la reconnaissance de la France.
     
    Article du Monde en 2002
     
    *Deux fois abandonné. C'est ainsi que se vit Robert Palmade, orphelin, confié par sa mère à l'Assistance publique en Algérie française dès sa naissance, en 1955, et laissé sur place par les autorités lors de leur départ, en 1962. Vingt-deux ans après son arrivée en France, l'homme blessé, qui a dû subir le traumatisme d'une identité modifiée sans jamais savoir s'il était français ou algérien, veut obtenir réparation pour abandon en tant que pupille de l'Etat.
    Son drame commence avec celui de sa mère, inconnue, dont il n'a retrouvé qu'une trace : une déclaration où elle explique ne pouvoir élever son enfant "en raison de graves conséquences qui pourraient en résulter", comme l'atteste le procès-verbal du 24 juillet 1955 du service des enfants assistés à Aumale, dans le département d'Alger. Elle ne lui a légué que son prénom, Robert, raconte-t-il. Baptisé Palmade, le jeune pupille de l'Etat français est placé en pouponnière, puis confié à trois familles successives. Des placements avec leur lot de drames. "Je me souviens en particulier de cette femme qui attendait auprès de l'assistance sociale, silencieuse, explique M. Palmade. C'est elle qui, quelques mois plus tard, m'a brûlé avec une petite cuiller chauffée à blanc parce que je faisais pipi au lit. Une nuit, elle m'a jeté dehors avant qu'un voisin me ramène au commissariat."
    Lors de la signature des accords d'Evian, l'administration coloniale plie bagage. La plupart des pupilles de l'Etat dans les orphelinats sont rapatriés en métropole. Pas Robert Palmade : dans la confusion du rapatriement des fonctionnaires, il a été "oublié". Il avait 7 ans, et a vu arriver dans l'orphelinat une nouvelle équipe éducative algérienne. Envoyé dans un centre avec d'autres enfants algériens, Robert y est resté trois ans avant d'être à nouveau placé dans une famille kabyle. Trop pauvre pour assurer le suivi d'un enfant scolarisé, le père de famille l'a obligé à quitter l'école et à l'aider à vendre du fumier.

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  • Peut être un mème de 2 personnes et texte qui dit ’La France selon la gauche: Les méchants Les gentils åF’


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  • Documentaire sur la pédophilie dans la communauté ultra-orthodoxe de Tel-Aviv


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