• Zineb El Rhazoui sur la marche contre l'islamophobie


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  • Immigration, le Medef veut simplifier l’embauche de travailleurs étrangers

    Mercredi 6 novembre, le gouvernement a présenté son plan sur l’immigration, un cache-misère qui ne changera radicalement rien à l’invasion de l’hexagone. Ce n’est qu’une combine supplémentaire dans la campagne orchestrée par Macron pour redorer une image largement ternie auprès de Français pour qui faire barrage à l’immigration est une priorité.

    Parmi les mesures annoncées, il en est certaines qui concernent l’immigration « économique ». Pas de faux espoir : le but du gouvernement n’est pas de réduire le chiffre de 33 502 travailleurs extra-communautaires embauchés l’an dernier grâce à une procédure administrative allégée mais de mieux la gérer sur tout le territoire.

    Quoi qu’il en soit des objectifs recherchés, le Medef, par la voix de son président, Geoffroy Roux de Bézieux aux micros de RMC, a tout de suite réagi en rappelant que c’est « chasse-gardée ». Il faut que “l’octroi de titres de travail” aux étrangers soit « plus facile, plus simple” et que le recrutement d’étrangers «soit beaucoup plus transparent, objectif, professionnel et planifié» , a donc estimé Roux de Bézieux.

    G Roux de Bézieux
     
    @GeoffroyRDB

     Est-ce qu’on rend l’octroi d’un titre de travail plus simple, plus transparent et plus planifié par rapport aux besoins de l’économie ? Je crois qu’il faut dire oui.  @JJBourdin_RMC

    L’immigration, le patronat est pour qu’on se le dise, le travailleur immigré coûte moins cher que le salarié français !

    Jean-Yves Le Gallou@jylgallou

    Il n’y a pas de pénurie de main d’œuvre, il y a juste trop de salaires tirés à la baisse par une immigration incontrôlée . https://twitter.com/jylgallou/status/1191726422907392000 

    Jean-Yves Le Gallou@jylgallou

    Quotas d’immigration ? Piège à cons! A manip? On laisse rentrer clandestins et faux #refugiés et on les régularise au titre du travail...Et ensuite cela leur ouvre le « droit » au regroupement familial = immigration en cascade

    Voir l'image sur Twitter
    Jean-Yves Le Gallou@jylgallou

    Quotas d’immigration ? Piège à cons! A manip? On laisse rentrer clandestins et faux  et on les régularise au titre du travail...Et ensuite cela leur ouvre le « droit » au regroupement familial = immigration en cascade

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    Jean-Yves Le Gallou@jylgallou

    C’est sur ! L’idée de mieux payer les gens pour trouver des salariés ne vous viendraient pas à l’esprit... l’alliance des lobbys immigrationnistes et d’un certain patronat est lamentable  https://twitter.com/asselinfasselin/status/1191719167835160576 

    François Asselin@AsselinFasselin

    Quotas d'immigration : "une bonne nouvelle", pour le leader de la CPME https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/quotas-d-immigration-economique-une-bonne-nouvelle-selon-le-leader-de-la-cpme-7799391912 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info


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  • La fraude sociale ? Un « pillage en règle » impossible à chiffrer …


     C’est une question qui revient régulièrement dans le débat, sujette à fantasmes, nous dit-on, car toujours sans réponse, un peu comme l’Arlésienne ou le monstre du Loch Ness : quel est le coût réel de la fraude sociale ?
    Les Français honnêtes réclamant une réponse, le gouvernement a commandé à la sénatrice de l’Orne Nathalie Goulet (UDI) et à la députée de Meurthe-et-Moselle Carole Grandjean (LREM) un rapport pour tenter d’y voir clair.

    Leur mission : « procéder à une évaluation robuste et objective du coût de la fraude aux prestations sociales ».
    Le rapport a atterri mardi dernier sur le bureau du Premier ministre.
    Sa conclusion robuste et objective : le coût réel de la fraude sociale est impossible à chiffrer !
    Il est vrai, comme le rappelle Public Sénat, que les chiffres les plus fous – mais pas nécessairement les plus faux… – ont circulé, notamment ceux avancés par Charles Prats, magistrat spécialisé dans la fraude fiscale et sociale.
    En décembre 2018, il évaluait, « sur un total de 450 milliards de prestations, à 14 milliards d’euros annuels le montant des escroqueries aux prestations sociales liées à l’existence de faux numéros d’immatriculation de personnes nées à l’étranger ».
    En septembre dernier, la commission des Affaires sociales du Sénat évalue, elle, la fraude aux « faux numéros » de Sécurité sociale entre 117 et 138,6 millions.
    Mesdames Goulet et Grandjean se gardent bien de trancher et avancent à cela plusieurs raisons. En premier lieu, éviter d’enfler la polémique qui fait rage sur le sujet, toute personne dénonçant les fraudes étant immédiatement accusée de faire la chasse aux pauvres en général et aux immigrés en particulier.
    En second lieu, il est impossible de travailler sérieusement car les administrations concernées refusent de transmettre les données.
    « On n’a pas eu les moyens de chiffrer car les administrations nous ont fermé les portes », a déclaré la sénatrice, sur l’antenne de Public Sénat.
    Une certitude, toutefois : « Si le chiffrage de la fraude aux prestations sociales est difficile à estimer, chacun s’accordera à partager qu’elle est largement sous-estimée du fait de son caractère dissimulé », écrivent ces dames dans leur rapport.

    Un rapport dans lequel elles relèvent l’extraordinaire inventivité des fraudeurs, « créativité » qui est détaillée par chapitres : fraudes à l’état civil, fraudes à la résidence, fraudes au logement, fraudes aux documents et attestations, fraudes médicales, fraudes aux déclarations de ressources et de patrimoine, fraudes à la dissimulation d’activité, fraudes aux coordonnées bancaires, fraudes au RSA, fraudes transfrontalières et fraude des entreprises.

    Selon le principe moralisateur qui sévit chez nous depuis des lustres, les belles âmes s’exclamant avec des trémolos dans la voix qu’« on ne peut ajouter la suspicion à la misère », on refuse toujours de croiser les données entre administrations.
    Exemple, « l’unicité du domicile fiscal et du domicile social », que la sénatrice voudrait bien voir effective et pour laquelle elle va déposer un amendement car, aujourd’hui, dit-elle, « on peut se déclarer célibataire à Paris, en couple en Normandie et veuf en Bretagne, et vous allez recevoir les prestations, sans que ce soit coordonné ».
    Autre point épineux : les cartes Vitale.
    « Grâce à notre conférence de presse du 3 septembre, on a eu le nombre de 59,4 millions de cartes Vitale en circulation. Ce qui fait un excédent d’environ 5 millions de cartes. Il y a 5 millions de cartes en vrac en trop dans notre système », explique Nathalie Goulet à Public Sénat.
    « On est dans un triangle des Bermudes, dit-elle. Ça ne peut pas être que des doublons, il y a forcément de la fraude. »
    Forcément, en effet.

    Ce qui jette un éclairage particulier sur les polémiques autour de l’AME, car l’aide médicale d’État « n’est qu’un échantillon de ce qui se passe au niveau national sur d’autres prestations : c’est-à-dire du pillage en règle », assure la sénatrice.

    Marie Delarue

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  • « Évacuation de camps de migrants à Paris : ces clandestins devraient être expulsés à coups de pied au cul »

    Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, réagit au nouveau démantèlement de camps de migrants à Paris.

    Thomas Joly@ThomasJoly60
     
     

    Énième évacuation de camps de migrants à Paris : alors que ces clandestins devraient immédiatement être expulsés de France à coups de pied au cul, nos gouvernants vont les loger, les soigner, les nourrir et les régulariser aux frais des contribuables français

     
    Voir les autres Tweets de Thomas Joly
     
     

     


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  • Radars-tourelles : la révolte repart de plus belle !


     
    Bien des indices montrent que le mouvement des gilets jaunes, malgré la répression, l’essoufflement et la récupération par l’extrême gauche et les Black Blocs, n’a peut-être pas fini de mijoter.
    Sous une forme ou sous une autre. Peut-être en repartant à la base de son élan.

    Et la base, c’était les radars : pendant tout l’été précédant l’explosion du mouvement, le 17 novembre dernier, les radars étaient incendiés ou vandalisés partout en province.
    Le gouvernement n’avait pas voulu voir.
    Or, voici que, dès le 25 octobre dernier, on apprenait, dans Capital, que la destruction des radars était, cette semaine-là, repartie à la hausse, à la surprise générale – enfin, surtout celle des autorités -, et ce, malgré les peines très lourdes prévues contre les auteurs de dégradation de ces engins : « Selon le site radars-auto, 11 cabines ont été incendiées cette semaine. Le phénomène, qui touche aussi bien les radars fixes que les radars autonomes, les radars tourelles, les radars discriminants ou les radars double face, a été constaté dans toute la France. Pourtant, précise le site, de nombreux engins sont sous surveillance policière. Le week-end dernier, deux radars ont été incendiés : un radar autonome en Meurthe-et-Moselle et un radar fixe en Saône-et-Loire. Des destructions qui se sont poursuivies tout au long de la semaine. Lundi, c’est un radar tourelle qui a pris feu dans le Morbihan alors que trois nouveaux appareils ont été vandalisés mardi : dans les Alpes-de-Haute-Provence, le Val-d’Oise et la Haute-Marne. Le lendemain, un autre radar tourelle a été retrouvé au sol dans la Sarthe et une cabine installée le matin même a été incendiée jeudi dans l’Oise. Enfin, dans la nuit de vendredi à samedi, deux autres radars ont été victimes des flammes. À nouveau dans l’Oise pour l’un et en Loire-Atlantique pour le second. »
    Mais cette flambée n’est pas retombée et toute la France semble de nouveau touchée.
    Le Président et le gouvernement devraient s’en inquiéter.
    Ces jours-ci, c’est en Bretagne que les destructions les plus spectaculaires ont eu lieu : des radars tourelles, réputés imprenables, incassables, ont été mis hors service, sciés, et cela, dans les heures mêmes qui ont suivi leur installation !
    Selon France Bleu Armorique, le radar de la RN164, à Plémet (Côtes-d’Armor), est déjà hors d’usage : il « il a été vandalisé dans la nuit de jeudi à vendredi. Scié à la base, l’appareil est tombé sur la voie. »
    D’après 20 Minutes, le week-end dernier, « un radar tourelle installé à Plouvara, toujours dans les Côtes-d’Armor, avait déjà été incendié et mis hors service ».
    La Bretagne s’était fait connaître par la révolte des bonnets rouges puis avait pris une part active à celle des gilets jaunes.
    Une réponse aussi radicale à l’installation de ces nouveaux radars devrait faire réfléchir le gouvernement.
    Il est, en tout cas, consternant qu’un an après, les mêmes gouvernants soient toujours en place, d’Édouard Philippe à Christophe Castaner, et, surtout, que la politique en la matière n’ait pas changé, se contentant d’inventer des radars plus nombreux, plus hauts, plus résistants, plus « efficaces », puisque le gouvernement a prévu d’installer 1.200 radars tourelles d’ici à « fin 2020 », selon le délégué interministériel à la Sécurité routière Emmanuel Barbe.
    Nul doute que la France périphérique appréciera cette attention et cet investissement qui lui est spécialement destiné…

    Dominique Monthus

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