• Le Sétois Jean-Claude Martinez candidat à la présidentielle

    L 'ex-vice-président du Front national compte l'être pour la première fois. Avec, comme à son habitude, un programme à des années-lumière des programmes politiques traditionnels.

    Le Sétois Jean-Claude Martinez, ex-vice-président du FN, compte bien être candidat, pour la première fois, à la présidentielle. Il en fera l'annonce officielle ce dimanche en fin de matinée devant la prison de Carcassonne... Un lieu original pour une candidature qui l'est tout autant, au moins dans ses thèmes de campagne. "On peut s'amuser à construire des prisons, c'est une course stupide et sans fin", assène Martinez, qui propose de créer "un choc géographique" en transférant bon nombre de prisonniers vers Saint-Pierre-et-Miquelon, les îles Kerguelen ou la terre Adélie.

    Espoir d'obtenir les 500 parrainages

    "Le petit jihadiste, il trouvera que c'est pas plus mal que la Syrie." Selon lui, plus largement, il faut "penser grand spatialement et temporellement, sinon on enferme tout le monde dans l'Hexagone et nous croupissons tous". Il a bon espoir d'obtenir les 500 parrainages nécessaires pour se présenter. "Les maires sont sensibles à mon idée de transférer l'impôt sur le revenu aux communes, ce serait la fin de la désertification rurale, sanitaire et scolaire".

    Une candidature déjà envisagée en 2012

    Il doit présenter dimanche "une plaquette de 80 pages" qui contient promet-il d'autres projets loin des thématiques classiques. "En la lisant, on a l'impression de changer de planète", lance cet ovni politique, qui, à 71 ans, poursuit son chemin, même esseulé loin du FN. Il était déjà candidat aux régionales en Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, au mois de décembre dernier, ne recueillant que 0,69 % des suffrages. En 2012, il avait déjà envisagé de se présenter à la présidentielle. Mais un autre cadre du FN, Carl Lang, l'ayant aussi souhaité, il s'était effacé. Finalement, Carl Lang n'avait pas recueilli un nombre de parrainages suffisant.

    http://www.midilibre.fr


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  • Jacques Attali : « La France est un hôtel »

    par  

    Les propos de Jacques Attali nécessitent depuis longtemps une grande attention. Rappelons que Jacques Attali est un personnage important de l’hyper-classe mondialiste, membre du Congrès Juif Mondial. Il s’agit ici d’un propos tenu en avril 2011. A réécouter au vu de l’afflux migratoire que nous connaissons aujourd’hui.

      
    ATTALI LA FRANCE EST UN HOTEL AVRIL 2011 par jozecat

    Source : medias-presse.info


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  • Le département de l'Aveyron sollicité pour accueillir des 2016

    Quelques dizaines de migrants de la jungle de Calais devraient bientôt être "accueillis" dans le département de l'Aveyron. Certains élus concernés dans les villes choisies par l'Etat regrettent d'être mis devant le fait accompli.

     
    © France 3 Midi-Pyrénées

    © France 3 Midi-Pyrénées

     
    Il y a urgence pour l'Etat de trouver des solutions d'hébergement pour quelques 9000 migrants de la jungle de Calais. Le démantèlement du camp devrait en effet débuter le 17 Octobre et de nombreuses villes un peu partout en France sont sollicitées pour héberger des familles qui ont fui leur pays.

    Dans l'Aveyron, la préfecture annonce sans grande précision qu'il faut accueillir quelques dizaines de migrants. Les maires des villes concernées ont été avertis mais certains regrettent d'être mis devant le fait accompli, comme le maire de Decazeville qui estime avoir déjà "joué la solidarité" en accueillant 2 familles de migrants à la fin de l'année dernière !
    Pourtant ces migrants seront hébergés dans des logements HLM vacants, les frais d'accueil seront supportés par l'Etat et une association a été mandatée aider ces familles dans leur différentes démarches.

    Voir le reportage de Floréal Torralba et Luc Tazelmati

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  •  Toulouse : l'islamiste radical Farouk Ben Abbes perçoit le RSA
    Thibault Raisse

    Brienne-le-Château (Aube), juin dernier. Farouk Ben Abbes avait été déplacé de Toulouse dans cette ville pendant l’Euro.

    PHOTOPQR/MAXPPP/« L’EST ECLAIR »/JEROME BRULEY
    Farouk Ben Abbes, assigné à résidence, va bénéficier à nouveau des minima sociaux.

    Légalement bordé, certes, mais moralement discutable. Selon nos informations, l'islamiste radical Farouk Ben Abbes perçoit le RSA (revenu de solidarité active) depuis le 1 er juillet dernier. Déjà bénéficiaire du RSA avant son assignation à résidence, il bénéficie à nouveau du dispositif depuis cet été, après une interruption entre mars et mai due à son incarcération... pour manquement à ses obligations d'assigné à résidence.

    Ce Belge de 31 ans, qui vit dans le quartier de la Reynerie à Toulouse (Haute-Garonne), a bouclé fin juillet son dossier de demande de RSA auprès de la Caisse d'allocations familiales de Haute-Garonne. Constatant la régularité de sa demande, le conseil départemental lui a signifié mi-septembre l'octroi du RSA, avec effet rétroactif au 1 er juillet.

    Proche de Fabien Clain

    « Il remplissait toutes les conditions, notamment celle d'être ressortissant de l'Union européenne. Sa dangerosité supposée ne fait pas partie des critères prévus par les textes », constate une source proche du dossier. Figure de l'islamisme radical, le nom de Farouk Ben Abbes est cité une première fois à propos de l'attentat du Caire (Egypte) en 2009 qui a coûté la vie à une lycéenne française, Cécile Vannier.

    Son nom apparaît un an plus tard dans un projet d'attentat contre une salle de spectacle. Le Bataclan, déjà. Mais en 2012, il bénéficie d'un non-lieu. Il est par ailleurs proche de Fabien Clain, converti français qui a revendiqué la tuerie du 13 Novembre au nom de Daech dans une vidéo. Il est assigné à résidence dans la foulée des attentats de Paris et de Saint-Denis. En mars dernier, Farouk Ben Abbes avait déjà touché de l'argent public, en percevant 21 650 € de l'Etat à la suite de deux mois d'incarcération jugée abusive par la cour d'appel de Paris, décision confirmée par la Cour de cassation. Une somme qui comportait un trop-perçu de près de 15 000 €. La chancellerie en a engagé le recouvrement auprès du Trésor public local.
     Source : leparisien

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  •  GÉZAINCOURT (80) Ils dorment dans leurs voitures

    Bruno Bajot, sa compagne et son fils ont été expulsés mardi matin de la maison qu’ils louaient, par décision de justice. Ils campent depuis à côté, espérant un logement.

    Dans l’attente d’un relogement, Bruno Bajot campe sur un terrain communal. Au grand dam des propriétaires qui voudraient bien récupérer leur bien.Dans l’attente d’un relogement, Bruno Bajot campe sur un terrain communal. Au grand dam des propriétaires qui voudraient bien récupérer leur bien.

    Privée de loyer, la propriétaire a donc, elle, logiquement engagé une procédure d’expulsion et a obtenu gain de cause.

    Jointe par téléphone, cette propriétaire, une dame âgée de 73 ans, ne donne, d’ailleurs, elle, pas du tout la même version des faits : « Ce monsieur a laissé se dégrader ma maison et il est responsable de son état actuel. D’ailleurs, tout cela a été jugé au tribunal qui m’a donné raison puisque M. Bajot a été débouté de toutes ses prétentions et prié de quitter les lieux. Je ne souhaite pas commenter davantage cette histoire… »

    Ce que fait, par contre, sa fille, très remontée : « La victime dans cette histoire, c’est ma mère et non M. Bajot qui est un manipulateur et a de très mauvaises relations de voisinage. Il est effectivement responsable des dégâts causés dans la maison. Mais il n’a jamais voulu qu’on y rentre pour les constater. Il a arrêté de payer le loyer alors qu’il travaillait et en avait les moyens… Ce qui est malhonnête et la justice l’a puni. Aujourd’hui, il campe dans le chemin qui mène au garage de cette maison et nous ne pouvons pas y accéder, ni à notre maison . Alors qu’on a peur qu’il la squatte ou la dégrade… »

    Après son expulsion de mardi, Bruno Bajot a, en effet, pu stocker ses affaires sensibles comme l’électroménager et la hi-fi chez son beau-frère. « Mais le reste est là dehors… », détaille-t-il, campant effectivement depuis mardi, avec sa famille, sur un terrain communal qui jouxte la maison de laquelle il a été délogé et interdisant de fait l’accès au garage de la propriétaire. Au centre de ce terrain, une table sur laquelle trône un réchaud de camping, et des chaises. Et tout autour des affaires disséminées…

    « Je dors dans une voiture avec mon fils et ma femme dans l’autre », nous confie-t-il en ce jeudi matin. Prenant sa situation avec un détachement étonnant, il explique : « Maintenant il faudrait qu’on trouve vite une solution de relogement. J’ai essayé de voir auprès de l’IME local qui m’a renvoyé sans succès vers l’Apremis (Accompagnement, prévention, réflexion et médiation pour l’insertion sociale) d’Amiens. L’association DALO (Droit au logement opposable) nous a aussi proposé un appartement à Doullens mais il était trop petit. On cherche plutôt une maison avec deux ou trois chambres. Aujourd’hui, ma compagne est partie voir à la SIP (Société immobilière picarde) d’Amiens s’il n’y aurait pas une solution… »

    Une solution que « vu son passif, M. Bajot aura du mal à trouver… Ce que, au final, on regrette car on aimerait récupérer notre maison », pense la fille de son ex-propriétaire.

    http://www.courrier-picard.fr


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