ATTALI LA FRANCE EST UN HOTEL AVRIL 2011 par jozecat
Source : medias-presse.info
Le Sétois Jean-Claude Martinez candidat à la présidentielle
L 'ex-vice-président du Front national compte l'être pour la première fois. Avec, comme à son habitude, un programme à des années-lumière des programmes politiques traditionnels.
Le Sétois Jean-Claude Martinez, ex-vice-président du FN, compte bien être candidat, pour la première fois, à la présidentielle. Il en fera l'annonce officielle ce dimanche en fin de matinée devant la prison de Carcassonne... Un lieu original pour une candidature qui l'est tout autant, au moins dans ses thèmes de campagne. "On peut s'amuser à construire des prisons, c'est une course stupide et sans fin", assène Martinez, qui propose de créer "un choc géographique" en transférant bon nombre de prisonniers vers Saint-Pierre-et-Miquelon, les îles Kerguelen ou la terre Adélie.
Espoir d'obtenir les 500 parrainages
"Le petit jihadiste, il trouvera que c'est pas plus mal que la Syrie." Selon lui, plus largement, il faut "penser grand spatialement et temporellement, sinon on enferme tout le monde dans l'Hexagone et nous croupissons tous". Il a bon espoir d'obtenir les 500 parrainages nécessaires pour se présenter. "Les maires sont sensibles à mon idée de transférer l'impôt sur le revenu aux communes, ce serait la fin de la désertification rurale, sanitaire et scolaire".
Une candidature déjà envisagée en 2012
Il doit présenter dimanche "une plaquette de 80 pages" qui contient promet-il d'autres projets loin des thématiques classiques. "En la lisant, on a l'impression de changer de planète", lance cet ovni politique, qui, à 71 ans, poursuit son chemin, même esseulé loin du FN. Il était déjà candidat aux régionales en Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, au mois de décembre dernier, ne recueillant que 0,69 % des suffrages. En 2012, il avait déjà envisagé de se présenter à la présidentielle. Mais un autre cadre du FN, Carl Lang, l'ayant aussi souhaité, il s'était effacé. Finalement, Carl Lang n'avait pas recueilli un nombre de parrainages suffisant.
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Jacques Attali : « La France est un hôtel »
Les propos de Jacques Attali nécessitent depuis longtemps une grande attention. Rappelons que Jacques Attali est un personnage important de l’hyper-classe mondialiste, membre du Congrès Juif Mondial. Il s’agit ici d’un propos tenu en avril 2011. A réécouter au vu de l’afflux migratoire que nous connaissons aujourd’hui.
Le département de l'Aveyron sollicité pour accueillir des 2016
Toulouse : l'islamiste radical Farouk Ben Abbes perçoit le RSA
Brienne-le-Château (Aube), juin dernier. Farouk Ben Abbes avait été déplacé de Toulouse dans cette ville pendant l’Euro.
Légalement bordé, certes, mais moralement discutable. Selon nos informations, l'islamiste radical Farouk Ben Abbes perçoit le RSA (revenu de solidarité active) depuis le 1 er juillet dernier. Déjà bénéficiaire du RSA avant son assignation à résidence, il bénéficie à nouveau du dispositif depuis cet été, après une interruption entre mars et mai due à son incarcération... pour manquement à ses obligations d'assigné à résidence.
Ce Belge de 31 ans, qui vit dans le quartier de la Reynerie à Toulouse (Haute-Garonne), a bouclé fin juillet son dossier de demande de RSA auprès de la Caisse d'allocations familiales de Haute-Garonne. Constatant la régularité de sa demande, le conseil départemental lui a signifié mi-septembre l'octroi du RSA, avec effet rétroactif au 1 er juillet.
Proche de Fabien Clain
« Il remplissait toutes les conditions, notamment celle d'être ressortissant de l'Union européenne. Sa dangerosité supposée ne fait pas partie des critères prévus par les textes », constate une source proche du dossier. Figure de l'islamisme radical, le nom de Farouk Ben Abbes est cité une première fois à propos de l'attentat du Caire (Egypte) en 2009 qui a coûté la vie à une lycéenne française, Cécile Vannier.
Privée de loyer, la propriétaire a donc, elle, logiquement engagé une procédure d’expulsion et a obtenu gain de cause.
Jointe par téléphone, cette propriétaire, une dame âgée de 73 ans, ne donne, d’ailleurs, elle, pas du tout la même version des faits : « Ce monsieur a laissé se dégrader ma maison et il est responsable de son état actuel. D’ailleurs, tout cela a été jugé au tribunal qui m’a donné raison puisque M. Bajot a été débouté de toutes ses prétentions et prié de quitter les lieux. Je ne souhaite pas commenter davantage cette histoire… »
Ce que fait, par contre, sa fille, très remontée : « La victime dans cette histoire, c’est ma mère et non M. Bajot qui est un manipulateur et a de très mauvaises relations de voisinage. Il est effectivement responsable des dégâts causés dans la maison. Mais il n’a jamais voulu qu’on y rentre pour les constater. Il a arrêté de payer le loyer alors qu’il travaillait et en avait les moyens… Ce qui est malhonnête et la justice l’a puni. Aujourd’hui, il campe dans le chemin qui mène au garage de cette maison et nous ne pouvons pas y accéder, ni à notre maison . Alors qu’on a peur qu’il la squatte ou la dégrade… »
Après son expulsion de mardi, Bruno Bajot a, en effet, pu stocker ses affaires sensibles comme l’électroménager et la hi-fi chez son beau-frère. « Mais le reste est là dehors… », détaille-t-il, campant effectivement depuis mardi, avec sa famille, sur un terrain communal qui jouxte la maison de laquelle il a été délogé et interdisant de fait l’accès au garage de la propriétaire. Au centre de ce terrain, une table sur laquelle trône un réchaud de camping, et des chaises. Et tout autour des affaires disséminées…
« Je dors dans une voiture avec mon fils et ma femme dans l’autre », nous confie-t-il en ce jeudi matin. Prenant sa situation avec un détachement étonnant, il explique : « Maintenant il faudrait qu’on trouve vite une solution de relogement. J’ai essayé de voir auprès de l’IME local qui m’a renvoyé sans succès vers l’Apremis (Accompagnement, prévention, réflexion et médiation pour l’insertion sociale) d’Amiens. L’association DALO (Droit au logement opposable) nous a aussi proposé un appartement à Doullens mais il était trop petit. On cherche plutôt une maison avec deux ou trois chambres. Aujourd’hui, ma compagne est partie voir à la SIP (Société immobilière picarde) d’Amiens s’il n’y aurait pas une solution… »
Une solution que « vu son passif, M. Bajot aura du mal à trouver… Ce que, au final, on regrette car on aimerait récupérer notre maison », pense la fille de son ex-propriétaire.
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