•  QUI MAL Y PENSE !

    Pour ceux qui se demandent ce qu'il faut penser du bar lillois La Citadelle, voici ce que son gérant « identitaire », Aurélien Verhassel, a déclaré à Nord Actu le 4 octobre :
    « Je considère que tous les partis qui se créent en concurrence avec le FN sont des partis parasites qui ne font que troubler le message. Qui connait Carl Lang à part les gens du milieu ou qui l’ont connu à l’époque ? Je ne suis pas en phase sur tout avec le FN mais il faut se mettre en ordre de marche derrière Marine Le Pen. »
    Il oublie étrangement de préciser que c'est aussi beaucoup plus rémunérateur de se faire salarier pour coller les affiches du FN que de militer pour ses convictions

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  • Des cours d’enseignement de la Shoah pour les professeurs

    Deux professeurs du lycée Grandmont de Tours organisent une journée de formation du personnel éducatif à « l’enseignement de la Shoah ».

    Il faut trouver les mots justes : telle est l’idée centrale du projet de formation initié par deux professeurs du lycée Grandmont, qui vise à apprendre aux documentalistes, professeurs d’histoire-géographie et professeurs de français comment enseigner la Shoah à leurs élèves.

    Éric Landais, l’un des deux enseignants à l’origine de cette initiative, explique : « Au lycée Grandmont, nous organisons des voyages vers les lieux de la Shoah. Et les professeurs doivent être prêts à répondre aux interrogations des élèves. »

    Pour aider le corps éducatif, Alban Perrin, coordinateur de la formation au Mémorial de la Shoah, a insisté sur le bannissement de deux termes, impropres selon lui à décrire l’indescriptible. D’abord, « holocauste », qui renvoie à un sacrifice religieux et ne peut donc décrire un projet que les historiens affirment méthodique, planifié, implacable. Second terme à proscrire : celui de « solution finale », justement parce qu’il était employé par les nazis – décidément diaboliques.

    Selon La Nouvelle République, « le proviseur du lycée Grandmont, Gilles Zadem, s’est réjoui de cette journée de formation et, par intérêt personnel (sic), a assisté à une partie des conférences et ateliers ».

    Source : http://www.egaliteetreconciliation.fr


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  •  Lomme (59) :  en djellaba, Rachid Slami, fiché S, « pète un câble » et frappe des enfants au Lidl

    Rachid Slami laissera un souvenir tenace à ceux qu’il aura croisés. Le 19 août dernier, il débarque, barbu et en djellaba, sur le parking du Lidl de Lomme (59). À vélo, il fonce sur les passants avant de se mettre à taper sur les clients. L’homme souffre de lourds troubles psychiatriques.

    Rachid Slami s’est rasé la barbe. Dans le box, ce jeudi au tribunal de Lille, l'islamiste de vingt-neuf ans ne cesse de geindre : « J’avais cessé de prendre mon traitement… » Le 19 août dernier, ce débile sous curatelle déboule sur le parking d’un magasin Lidl de Lomme. Une dame traverse le parking ? Elle a droit à une attaque bélier. Une autre passe ? L’intrus lui jette son vélo à la tête.

    La démonstration aurait pu s’arrêter là. Mais Slami pénètre dans la grande surface comme un dément et avise une gamine de douze ans. La petite a droit à deux atémis sur la nuque. Hurlement de la mère qui, du coup, attire la foudre du forcené sur elle. La dernière cible de la famille sera le père, à son tour de subir une pluie de coups.

    Manon Dugast, son avocate, prend le relais et égrène les maux dont souffre son client. « Phobie sociale, agoraphobie, schizophrénie. » Slami est déjà riche d’un casier judiciaire bien fourni pourtant ce sera seulement huit mois, dont cinq avec sursis, avec maintien en détention... jusqu'à ce que cette « chance pour la France » sorte, récidive et tue quelqu'un.

    Source : http://www.fdesouche.com


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  • Une jeune musulmane rouée de coups par ses cousines pour sa liaison avec un catholique

    Une jeune femme amoureuse d'un catholique harcelée par sa famille doit faire face à ses agresseurs présumés, ce jeudi matin, au tribunal correctionnel de Reims.

    Une jeune musulmane rouée de coups par ses cousines .........

    © Fournis par BFMNews

    Ils ont tous deux 22 ans et ils s'aiment. Leur problème? La famille de celle que Le Parisien appelle Nawel, musulmane, n'accepte pas sa liaison avec son amoureux catholique, d'origine portugaise. Dès le début de l'idylle, la jeune femme se doutait que cette histoire serait mal acceptée par sa famille. Au matin du 2 janvier 2015, elle prévient par une lettre ses parents qu'elle quitte leur domicile par souci de ne pas "leur faire du mal" et parce qu'ils "n'accepteront jamais la situation".

    Depuis, les choses sont allées de mal en pis, au-delà de ce que le jeune couple formé depuis trois ans aurait imaginé.

    Harcèlement, menaces et violences du clan familial

    Ce jeudi matin, Nawel fera face à ses bourreaux présumés devant le tribunal de Reims. Deux de ses cousines, 21 et 27 ans, l'auraient attaquée le 25 janvier à l'issu d'un rendez-vous pris pour tenter d'apaiser les tensions familiales. La plaignante dit s'être fait insulter, tirer les cheveux et frapper à coups de poings et de pieds. Les deux jeunes femmes auraient tenté de faire monter Nawel à bord de leur véhicule, selon la plaignante. Elles nient aujourd'hui l'ensemble des faits. Une certitude: l'épisode aura valu à la jeune femme 10 jours d'ITT.

    Du côté des parents et de la fratrie, le tableau n'est pas meilleur. Nawel affirme que son père a proféré des menaces de mort contre elle. Ses sœurs dont elle "était si proche" ne lui répondent plus. "Ils m'ont effacée de leur vie du jour au lendemain", déplore-t-elle. Dégradation de sa boîte aux lettres et du véhicule de son compagnon, coups de fil incessants, la jeune femme a dû quitter Reims pour échapper au harcèlement de sa famille. Elle a depuis trouvé un poste d'infirmière dans une autre ville.

    Faisant l'objet d'un suivi psychologique, elle assure qu'elle "ne regrette rien". "J'ai le droit de décider par moi-même, peu importe ce que veut la tradition", avance-t-elle. Jeudi se tient le procès qui lui permettra peut-être de "tourner la page".


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