• L'Elysée admet que nous allons au crash !!!

    L'équipe de communication de l'Elysée s'est dotée d'un nouveau compte Twitter, dont le logo n'est pas sans rappeler l'actualité de ces derniers jours :

    Logo
    Philippe Bouvard avait donc vu juste :

    Bouvard


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  • Enquête ouverte en France après des soupçons de fraude concernant des assistants FN au Parlement européen

    Le parquet de Paris a ordonné, mardi 24 mars, une enquête préliminaire visant le Front national, pour abus de confiance. L’enquête a été confiée à l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF).

     Les soupçons nourris par les services financiers du Parlement européen, à l’égard de ces assistants, suspectés de bénéficier de rémunérations versées par Bruxelles, tout en travaillant exclusivement pour le FN sur le territoire français. L’office européen anti-fraude (OLAF), avait été saisi de ces faits concernant « seulement » 20 assistants de députés FN, mais le président allemand du Parlement européen, Martin Schulz, avait accompagné cette initiative d’une lettre adressée à la ministre française de la justice, Christiane Taubira.

    Le parquet de Paris a donc souhaité ouvrir de son côté une enquête judiciaire, assimilant ces rémunérations communautaires à un financement illégal de parti politique. Les investigations, dans ce cadre strictement français, sont élargies à 29 assistants du FN. Parmi les cas suspects, on trouve trois membres du cabinet du président d’honneur du FN, Jean-Marie Le Pen – dont son directeur Guillaume L’Huillier –, et cinq proches de la présidente du parti, Marine Le Pen, parmi lesquels deux de ses conseillers spéciaux, Bruno Bilde et Julien Odoul.

    En poursuivant leurs investigations, les services financiers ont même découvert que neuf assistants « locaux » bénéficiaient également d’un contrat de travail les rattachant au siège du FN. N’apparaissant pas dans l’organigramme officiel du FN, leurs cas n’ont pas été soumis à l’OLAF, mais ils ont en revanche été révélés aux autorités judiciaires françaises.

    Les mesures d’application du statut des députés européens prévoient (article 33, alinéa 2) que « seuls peuvent être pris en charge les frais correspondant à l’assistance nécessaire et directement liée à l’exercice du mandat parlementaire des députés » par le budget du Parlement européen. « Ces dépenses ne peuvent en aucun cas couvrir les frais liés à la sphère privée des députés. » L’article 43 précise que les salaires versés aux assistants par le Parlement « ne peuvent servir directement ou indirectement à financer des contrats établis avec des groupes politiques du Parlement ou des partis politiques ».

    Il apparaît que parmi les vingt assistants locaux dénoncés à l’OLAF, dix ont conclu un contrat de travail qui indique comme adresse d’exécution le 78, rue des Suisses, à Nanterre, c’est-à-dire l’adresse du siège du Front national. C’est également le cas des neuf assistants d’élus au Parlement européen n’apparaissant pas dans l’organigramme et signalés à la justice française.

    Un préjudice de 1,5 million d’euros par an

    Le coût individuel le plus élevé pour le budget européen s’élève à 10 535 euros par mois. La masse salariale globale des 20 assistants parlementaires dont le cas vient d’être soumis à l’OLAF représente 1,5 million d’euros par an, ce qui équivaudrait à un préjudice global de 7,5 millions d’euros pour la totalité de la législature en cours. Un montant supérieur si l’on y ajoute les neuf autres contrats suspects signalés à la justice française…


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  •  Billet paru le 24 juin 2014 ..Mais a l'ordre du jour ...

     CONSTAT DE DÉCÈS !!!  

    Préparez vos mouchoirs ..

    Voici l’excellent éditorial de Guillaume Roquette dans le Figaro Magazine de juin 2014 ..

    Constat de décès !!!

    Et si c’était la bonne nouvelle du mois ? Manuel Valls vient de l’affirmer à ses camarades socialistes avec toute la gravité nécessaire : « La gauche peut mourir. » Voilà qui est bien observé, Monsieur le Premier ministre. Oui, votre camp est en danger de mort, et pas seulement parce qu’une partie de votre majorité parlementaire menace de faire défection d’un jour à l’autre.

    La gauche peut mourir parce qu’elle a été trop longtemps complice de tous les conservatismes qui plombent notre pays. Parce qu’elle s’est trop longtemps couchée devant des syndicats qui réclamaient. au nom d’un prétendu « service public », des rentes de situation que les Français ne supportent plus. Maintenant qu’elle est au pouvoir et qu’il y a le feu à la maison France, c’est la même gauche qui entend réformer le système, à commencer par la SNCF.

    Le gouvernement de Manuel Valls. il faut l’en féliciter, s’est même résolu a affronter la CGT ! Mais pour quel bénéfice ? La réforme en cours ne change pas une ligne au statut ni au régime de retraite exorbitant des cheminots. Elle n’instaure en rien la concurrence qui pourrait transformer, enfin, les usagers que nous sommes en clients. Dans le secteur public. la gauche s’est montrée bien trop longtemps conservatrice pour faire aujourd’hui les révolutions qui s’imposent.

    La gauche peut mourir parce qu’elle trouve légitime que quelques dizaines de millier d’intermittents du spectacle ponctionnent en toute impunité un milliard d’euros par an à l’assurance chômage. Parce qu’elle refuse d’admettre que notre système de solidarité a été dévoyé pour servir de paravent à des combines dont profitent toujours les mêmes. L’argent public n’est pas orienté vers ceux qui en ont le plus besoin mais déverse sur ceux dont la capacité de nuisance ou le poids électoral est le plus fort. Cheminots cégétistes et intermittents en lutte, même combat ! Et derrière eux, la cohorte de tous les bénéficiaires d’un système social qui a généré une véritable société d’assistés.

    Famille de la gauche Française !!!

    Qui peut croire que François Hollande et Manuel Valls oseront vraiment s’y attaquer ?
    Il parait qu’en matière économique, la gauche au pouvoir est devenue sociale-démocrate. Sociale-libérale, affirment même les plus enhardis. Mais seul le discours a changé, pas les actes. La Cour des comptes l’a une fois de plus répété cette semaine :
    Le gouvernement ne tient pas ses promesses d’économies.
    La dépense publique ne baisse pas,
    L’objectif de 3 % de déficit ne sera pas atteint en 2015.
    Seule la dette est au rendez vous, elle atteindra les 2 000 milliards dès cette année.

    Pour corriger le tir, affirme la Cour, il faudrait supprimer 30 000 postes publics par an dans l’administration d’Etat, les collectivités locales et les hôpitaux. Il faudrait aussi faire travailler davantage le fonctionnaires. La gauche n’osera jamais.

    Constat de décès !!!

    Constat de décès !!!

    Le socialisme est l’idéologie d’un monde disparu dans lequel le secteur public pouvait dépenser et redistribuer indéfiniment l’argent prélevé sur le privé. Au fond d’elle même, la gauche de gouvernement sait bien que la mondialisation a tué ce modèle. Alors elle fait mine de s’être convertie à l’économie de l’offre et répète tous les matin qu’elle va baisser le charges qui pèsent sur nos entreprises. Mais elle refuse de s’attaquer aux rigidités du marché du travail. De la même façon, elle veut dépenser moins sans renoncer à l’Etat providence.
    Elle fait l’apologie des entrepreneur tout en votant des lois qui foulent aux pieds les valeurs de responsabilité, de liberté et de mérite.

    La gauche française est en train de mourir des contradictions qu’elle est incapable de surmonter.

    http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/


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  • PEOPLE : JAMEL DEUX BOUSES RATTRAPE PAR SON PASSE !!

    Par :RENE DECLERCQ TOURCOING..

     PEOPLE : JAMEL DEUX BOUSES RATTRAPE PAR SON PASSE !!

       

    Comme pour toutes célébrités, les journalistes creusent dans leurs passés afin de faire ressortir des ERREURS de jeunesse.
    Bien évidemment, Jamel Debbouze n'échappe pas à la règle et les journalistes n'hésitent pas à lui rappeler l'accident qui lui a couté son bras et la mort de Jean Paul Admette, fils de Marlène Admette, le 17 Janvier 1990.
    Ce jour la, Jean Paul Admette, est poussé sur la VOIE ferrée en gare de Trappes. Un train qui arrive à 150 km à l'heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette célèbre main qu'il cache dans sa poche.
    Madame Admette fût catégorique et dénonça ce qui suit :   "c'est bien Jamel Debbouze qui a tué mon fils".   "Jamel Debbouze dont je peux encore vous donner l'adresse à Trappes, 19 rue du Moulin de la galette, était connu comme un délinquant comme un voleur de voiture à Trappes. Il est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h.  Jamel était accompagné de deux autres personnes des « zoulous ». Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé.  Tout ça parce que Jamel, qui n'a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu'ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l'on d'ailleurs jamais retrouvé.  On ne nous a rendu que le corps. Oui je c'est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la VOIE ferrée." " J'affirme que Jamel Debbouze est l'assassin de mon fils, c'est lui qui a poussé mon fils sous le train  " Immédiatement après l'accident plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c'est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la VOIE ferrée. Et c'est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main. Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l'Ecole, tous sauf une jeune fille africaine Edwige ANZOUANA qui persistera dans ses déclarations "
    L'affaire fût menée en justice et Jamel Debbouze poursuivit pour homicide involontaire SUITE a la plainte déposée par la famille Admette. Le comique obtiendra un non lieu.


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  • Français, ne vous laissez plus enfumer par les fausses bonnes annonces du gouvernement

    Publié le 30 mars 2015 par Denis PIGNOL

    Français, ne vous laissez plus enfumer par les fausses bonnes annonces du gouvernement

    Français, ne vous laissez plus enfumer par les fausses bonnes annonces du gouvernement

    Lagauchematuer | Christian Balboa |  je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande | 29 mars 2015

    Le gouvernement et une presse complaisante sont passés maîtres dans l’Art de masquer la réalité et de de nous faire prendre des vessies pour des lanternes et des défaites pour des victoires.

    Quelques exemples :

    1 – Le vrai-faux miracle de Sainte Marisol

    Le déficit de la Sécurité sociale passe sous les 10 milliards d’euros. L’annonce faite par la ministre de la santé, Marisol Touraine, a été reprise par toute la presse. Ce résultat est nettement meilleur que prévu : dans le budget 2014, le déficit devait atteindre 11,7 milliards. Touraine s’est donc réjoui de cet « excellent résultat » en l’attribuant… à la politique du gouvernement. Sauf qu’en réalité, il n’en est rien.

    Selon le Canard enchainé :

    Français, ne vous laissez plus enfumer par les fausses bonnes annonces du gouvernement

    « Ce bon chiffre provient d’un accident comptable. Au quatrième trimestre 2014, l’encaissement des cotisations a explosé, pour atteindre un bonus de 6,2% (par rapport à 2013) alors que les salaires, eux, n’ont augmenté que de 1% ». Comment expliquer ce décalage ? « Plusieurs très gros payeurs (dont l’Etat) ont avancé le versement de leurs cotisations pour une raison qu’on ignore, explique l’hebdomadaire. C’est donc bon pour les comptes 2014, mais mauvais pour ceux de 2015. Les encaissements ont d’ailleurs chuté dès janvier ».

    Bref, la baisse est artificielle. Et comme par hasard, la « bonne nouvelle » a été annoncée par le gouvernement quelques jours avant le premier tour des élections départementales.

    2 – la vrai-fausse baisse du déficit de l’Etat

    La publication jeudi matin par l’Insee d’un déficit 2014 “mieux que pire“ (4 %) a réjoui Bercy qui s’est félicité d’un solde budgétaire “très en deçà de la cible de 4,4 % inscrite en loi de finances rectificative de fin d’année“. Ce que le ministère oublie de rappeler, c’est qu’il reste supérieur de 0,4 point de PIB à la prévision de la loi de finances initiale (3,6 % du PIB), qu’il n’a quasiment pas bougé en un an (-0,1 point) et que la dette a dans le même temps augmenté de 84,4 milliards d’euros, à 95 % du PIB.

    Peu importe: ce que le public retiendra, c’est que le déficit 2014 aura été “meilleur que prévu“

    3 – le vrai-faux résultat du premier tour des élections départementales

    Manuel Valls, très habilement, a profité des erreurs de prévision des sondeurs sur les résultats du premier tour des départementales pour enfumer tout le monde. La presse, toujours prompte à tomber dans les panneaux surtout quand ils sont brandis par la gauche a répété en boucle sur les plateaux de télé :

    • Le FN qui n’a fait “que » 25 % au lieu des 30 % prévus est le perdant du premier tour !
    • Le FN n’est plus le premier parti de France sauf que pour arriver à cette mystification, on compare un parti se présentant seul contre une coalition de partis pas toujours d’accord sur tout !

    Alors que la réalité est toute autre et que le PS qui avait une forte implantation locale (plus de 60 % des sortants) subit une terrible défaite et que le FN est en progression et que d’un élu, il pourrait passer à … 100 élus et peut-être gagner un ou deux départements.

    Si le second tour amplifie les résultats du premier, ce sera un terrible choc dans le paysage politique et une défaite cuisante pour Manuel Valls qui a volontairement nationalisé le scrutin.

    4 – La situation est en somme moins mauvaise que si elle était pire

    Voici, en guise de conclusion, l’édito de Gaëtan de Capèle paru page une du Figaro du vendredi 27 mars :

    La vie en rose

    Sonnez trompettes, roulez tambours ! Foi de Michel Sapin, la France va mieux :

    • le déficit des comptes publics n’a finalement atteint “que“ 84,8 milliards d’euros en 2014 – soit à peu près l’équivalent de l’année précédente,
    • la dette ne pèse “que“ 2 037 milliards – record absolu -, mais ne grimpera pas à 100% du PIB comme on le craignait.

    Comparée aux prévisions apocalyptiques de l’automne dernier, la situation est en somme moins mauvaise que si elle était pire … Pour le ministre des Finances, cela suffit à chausser des lunettes roses et chanter les louanges de sa politique de redressement.

    Il est des circonstances qui imposent pourtant d’avoir le triomphe modeste. En l’occurence, par quelque bout que l’on prenne la chose, la France reste l’un des pays les plus mal gérés d’Europe : malgré des impôts plus élevés qu’ailleurs, les comptes publics y sont aussi plus rouges qu’ailleurs. Car, quoi qu’en dise le gouvernement, les dépenses ralentissent peut-être un peu, mais n’en finissent quand même pas de monter.

    Plus généralement, rien dans les microscopiques signaux d’amélioration de l’économie ne justifie l’optimisme de façade que François Hollande demande à ses troupes d’affecter. Le gouvernement peut bien se contorsionner en tous sens, établir les calculs les plus farfelus pour démontrer le contraire, le chômage demeure endémique et aucune inversion de courbe ne pointe à l’horizon. La croissance, quant à elle, est toujours mollassonne, en dépit d’un environnement économique inespéré. Avec un prix du pétrole en baisse de 30 % depuis l’été dernier, un euro dévalué de plus de 20 % et des taux d’intérêt nuls, …

    … tous les ingrédients sont réunis pour soutenir une reprise vigoureuse.

    Elle se matérialise partout, hélas sauf chez nous.

    Car pendant que les autres se transforment à grande vitesse pour profiter à plein de cette brise, la France se contente d’énumérer des réformes qui ne viennent jamais, en attendant que les choses s’arrangent d’elles-mêmes. On en voit aujourd’hui le résultat.


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