• Quand Hollande séchait les cours ..

    Quand Hollande séchait les cours ..

    Ben a comprendre de mieux en mieux le déficit nul, la croissance zéro, le chômage en hausse.... En bref tous les paramètres en économie dans le rouge, vu les élèves brillants que furent Moscovici et surtout celui qui est notre Président par erreur actuel !!  

    Déjà un scooter et des croissants à l'époque??quoi que?? .. "faut bien que jeunesse se passe "comme disait Taubirat .. 

     Pierre Moscovici se souvient qu'à Sciences-Po, le Président était fréquemment aux abonnés absents.

    Un "dossier". Dans le jargon populaire, c'est ainsi qu'on pourrait qualifier une partie de l'interview que Pierre Moscovici a donné aux étudiants de Sciences-Po. Filmée par les élèves de la grande école parisienne, elle a été diffusée en fin de semaine par Yahoo TV et repérée par Le Lab d'Europe 1. Professeur d'économie dans cette école dans les années 1980, l'ancien ministre de l'Economie enseignait alors en compagnie d'un certain François Hollande. Et le député du Doubs a lâché quelques informations croustillantes sur celui qui allait devenir chef de l'Etat.

    Absent "une fois sur trois"

    De son binôme d'alors, Pierre Moscovici dresse un portrait élogieux... et un peu critique aussi. Avec un petit sourire, il se souvient du chef de l'Etat comme d'un homme "brillant", "drôle", mais qui "avait un petit défaut, c'est qu'on ne savait jamais s'il allait venir ou pas". Durant ces cours d'économie, "chacun donnait sa leçon, 45 minutes l'un, 45 minutes l'autre". Mais le professeur Moscovici, lui, devait se montrer très attentif et polyvalent. "Il fallait toujours que j'ai un deuxième exposé dans ma poche", déclare-t-il aujourd'hui.

    Et pour cause : "Une fois sur trois, François Hollande, je savais qu'il allait venir et il venait. Une fois sur trois, je ne savais pas s'il allait venir, et il venait quand même. Une fois sur trois, je suis au regret de dire qu'il arrivait qu'il ne vienne pas." Heureusement, pour les étudiants de Sciences-Po, Pierre Moscovici était plus fiable. "Je devais  toujours, toujours assurer", affirme-t-il. Une trentaine d'années plus tard, l'absentéiste François Hollande est tout de même devenu le septième président de la Ve République, grâce entre autre au travail de son directeur de campagne... Pierre Moscivici. (6Médias) http://actu.orange.fr/france ..


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  • Valérie Trierweiler : l'ex-Première dame a coûté 481 000 euros à l'Etat en 2013.

    Valérie Trierweiler : l'ex-Première dame a coûté 481 000 euros à l'Etat en 2013
     
    Valérie Trierweiler a coûté près de 500 000 euros à l'Etat en 2013 Crédit Reuters
     
    La cour des comptes a rendu public ce mardi "son rapport sur les comptes et la gestion des services de la présidence de la République" durant l'année 2013.

    L'addition s'il vous plaît
    L'addition est salée.
     Mais la cour des comptes est fiable dans ses calculs.
     Dans son rapport, sur les comptes et la gestion des services de la présidence de la République durant l'année 2013 publié ce mardi, elle indique que Valérie Trierweiler a coûté plus de 481 000 euros à l'Etat.
     Dans le détail, on apprend que l'ex-Première dame bénéficiait de cinq collaborateurs dont la rémunération s'élevait au total à 396 900 euros bruts annuels.
    Le rapport indique aussi que "quatre officiers du groupement de sécurité de la présidence de la République (GSPR) étaient prioritairement affectés à sa sécurité".
    Les déplacements de Valérie Trierweiler ont aussi été pris en charge à hauteur de 85 000 euros, "dans le cadre d'activités de représentation et de soutien à des opérations à caractère humanitaire".
    Côté confort, elle "disposait au rez-de-chaussée de l'Hôtel d'Evreux de six bureaux et du salon des Fougères".
     La cour des comptes relate que les postes des agents ont été supprimés en février après la séparation du couple.
    "Ces personnels ont été affectés sur des postes vacants au sein de la Présidence ou remis à la disposition de leur administration d'origine" souligne l'institution.

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  • Vote des étrangers : Hollande ne renonce pas.

    Par lefigaro.fr avec AFP


    François Hollande "ne renonce pas" à construire des majorités pour faire adopter "en 2016" des réformes constitutionnelles, dont le droit de vote pour les étrangers extra-communautaires aux élections locales, a-t-il déclaré aujourd'hui lors de l'interview du 14 juillet.

    Dans l'exposé de son action, le président de la République a d'abord cité "la santé, le grand âge, la jeunesse, l'éducation et puis il y a les réformes de société, les réformes constitutionnelles".
    Interrogé plus spécifiquement sur le droit de vote des étrangers, il a répondu que "toutes ces réformes (de société, ndlr) viendront en 2016".

    "Pourquoi à la fin (du quinquennat)?
    Parce que je veux que ce soit le fruit d'un consensus.
    Le droit de vote des étrangers, j'y suis favorable, uniquement pour les élections locales", a rappelé le président.
    "Il faut une majorité parce que c'est une réforme constitutionnelle (nécessitant) les trois cinquièmes (du Parlement). Moi, je ne renonce pas à ce que des majorités se constituent", a-t-il affirmé.

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  • Les djihadistes de l’État islamique ont mis la main sur du « matériel nucléaire » en Irak

     



    Le gouvernement irakien a confirmé, dans un courrier adressé au début du mois à Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations unies, que les jihadistes de l’État islamique ont pris le contrôle du site d’Al Muthanna, qui a servi, sous le régime de Saddam Hussein, à fabriquer des armes chimiques.

    Depuis les années 1990, il était utilisé pour la destruction de cet arsenal.
    Toujours selon Bagdad, cette ancienne usine compte deux bunkers où ont été stockés « des restes de l’ancien programme d’armement chimique ».
    Toutefois, aucune précision n’a été apportée au sujet de la dangerosité des substances en question.
     En outre, les jihadistes auraient « pillé certains équipements » avant de neutraliser les caméras de surveillance.
     Que s’est-il passé sur ce site par la suite?
     Mystère…
    En tout cas, les autorités irakiennes ont prévenu que « l’Irak n’est plus en mesure de respecter ses obligations de destruction de ses armes chimiques en raison de la détérioration de la situation de sécurité » et que les opérations reprendront « dès que la situation de sécurité se sera améliorée et dès que le contrôle du site » sera repris.
    Mais ce n’est pas tout.
     Plus inquiétant encore, les jihadistes de l’EI auraient également saisi du matériel nucléaire utilisé à des fins de recherche à l’université de Mossoul, ville qu’ils ont conquise le 9 juin dernier, après avoir lancé une offensive victorieuse dans le nord de l’Irak.
    Toujours d’après les autorités irakiennes, qui en ont informé les Nations unies, ce matériel peut servir « à la fabrication d’armes de destruction massive ».


    Ce qui reste à démontrer, dans la mesure où le matériau radioactif saisi (40 kg de composants à base d’uranium, a précisé l’ambassadeur irakien à l’ONU) n’est pas de qualité militaire.
     Du moins, telle est l’estimation de Washington. (D’ailleurs, si cela avait été le cas, une telle information ne serait pas passée inaperçue…).
    « Sur la base des premières informations, nous pensons que le matériau concerné est de faible qualité et ne constituerait pas un risque majeur en terme de sécurité et de prolifération nucléaire », a d’ailleurs réagi Gill Tudor, une porte-parole de l’Agence internationale de l’Energie atomique.
    En revanche, si ces matériaux radioactifs ne peuvent pas être utilisés pour concevoir une arme nucléaire, ils sont susceptibles de servir à la fabrication d’une bombe radiologique (ou « bombe sale »), beaucoup plus facile, qui plus est, à mettre au point dans la mesure où il suffit de faire exploser un mélange radioactif pour contaminer un secteur déterminé.
    L’effet n’est pas spectaculaire (ce que recherchent les terroristes) mais il peut être très meutrier.

    Ainsi, à Goiania, au Brésil, en 1987, seulement 20 grammes de césium trouvés dans un appareil de radiologie volé avaient suffi pour contaminer 112.000 personnes en l’espace de quelques heures (7 en mourront).

     En 2002, à Chicago, José Padilla (alias Abdullah al-Mujahir) fut arrêté alors qu’il comptait faire exploser une bombe radiologique pour le compte d’al-Qaïda.
     Mais les jihadistes ne sont pas les seuls à avoir eu cette idée : 6 ans plus tard, les autorités colombiennes accusèrent la guérilla marxiste des FARC d’avoir nourri le même dessein après avoir négocié l’achat de matériaux radioactifs.

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  • Insolite. Un lunetier envoie une paire 100 % française à Hollande   

       Maxime Rolandeau, directeur de l'entreprise Roussilhe, à Treillières, au nord de Nantes, a envoyé des lunettes "made in France" au Président de la République.Maxime Rolandeau, directeur de l'entreprise Roussilhe, à Treillières, au nord de Nantes, a envoyé des lunettes "made in France" au Président de la République. | Photo : Franck Dubray / Ouest-France.
    L'entreprise Roussilhe, à Treillières, au nord de Nantes, a envoyé des lunettes "made in France" au Président de la République, qui a récemment acheté une monture danoise.

    François Hollande vient de changer de lunettes.
     Il a choisi une marque danoise.
    Ce choix a ému la société Roussilhe, un lunetier de Treillières (au nord de Nantes).
    Cette PME de 35 salariés produit 100 000 paires par an dans son usine d'Oyonnax, dans l'Ain.
     Le fabricant de lunettes a envoyé une paire au président, dans le même style que la sienne, « mais de fabrication 100 % française et labellisée Origine France Garantie ».

    « Vous pourriez devenir l'ambassadeur de la lunetterie française »

     Ce clin d'œil humoristique s'accompagne d'une lettre militante, pour inviter François Hollande à soutenir toute la branche des lunetiers made in France.
     
    François Hollande porte des lunettes danoises.
     François Hollande porte des lunettes danoises. | Photo : AFP.
     
    « La filière française est soumise à une forte concurrence internationale, essentiellement asiatique, écrivent les deux directeurs, Maxime Rolandeau et Ludovic Brochard. Nous nous appuyons sur le savoir-faire local avec pour objectif la garde de nos emplois après deux décennies de licenciement. [...] Vous êtes, Monsieur le Président, un vecteur d'image important à travers le monde et votre choix de monture peut laisser penser qu'aucune entreprise française n'a pu satisfaire vos exigences. En portant nos lunettes, vous pourriez devenir l'ambassadeur de la lunetterie française [...]. »
     
     Un coup de com' bien vu !

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