• Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...

    Roland HélieDirecteur de Synthèse nationale

     Mais non Nathalie, il n'y a aucune honte à avoir été candidate de l'Union des étudiants de droite lorsque tu sévissais à Science-Po*. 

    En revanche, ce qui est honteux, c'est de vouloir faire croire que tu ignorais la nature de ton engagement d'alors. 
     "Union des étudiants de droite", difficile d'être plus claire... 
    De l'UNI au GUD, en passant par quelques militants de l'œuvre française, tout ce que la vénérable école comptait d'anti-communistes et de nationalistes se retrouvait dans ce syndicat. 
    Alors, toi qui était en quatrième année, tu ne savais donc pas de ce dont il s'agissait ? 
    Laisse-nous rire aux éclats.Il est vrai qu'à cette époque, pour contrer l'omniprésence des gauchistes de toutes obédiences dans l'université, les nationalistes n'hésitèrent pas, parfois, à ruser. 
    Il y eu ainsi une Fédération des étudiants de Picardie, une Union des étudiants d'Alsace, un Renouveau étudiant à Bordeaux... des appellations imaginatives qui pouvaient, reconnaissons-le, amener l'étudiant moyen à s'interroger sur le positionnement politique de ces syndicats locaux. 
    Mais, avec l'"Union des étudiants de droite"... il ne pouvait pas y avoir de tromperie sur la marchandise.Ton attitude face au "révélations" de Mediapart est vraiment déplorable. 
    De deux choses l'une, soit tu es idiote et inculte, ce que nous n'osons pas imaginer ; soit le milieu que tu fréquentes maintenant, LREM en l'occurence, est tellement sectaire et fanatique que tu ne trouves rien de mieux que d'invoquer ta crédulité de jeune fille effarouchée pour te défendre. 
    Ce n'est pas très courageux...
    Et le plus grave, c'est que maintenant tu voudrais t'imposer comme le rempart face à "l'extreme droite". 
    Décidément, tu n'arrêtes pas de nous faire rigoler, Nathalie. 
    Une chose est sûre, c'est que si tu as fréquenté les nationalistes dans ta jeunesse, tu n'as rien retenu de l'éthique qui anime leur idéal. 
    Le reniement est l'apanage des poltrons démocrates, pas celui des "fachos".Depuis le début de la Ve République, nombre d'élus, voire de ministres, firent leurs premières classes dans la mouvance nationaliste. 
    Face à l'adversité, reconnaissons-le, peu renièrent leurs engagements d'antan (après tout, on a le droit de changer d'idées) et, parmi eux, certains firent même de brillantes carrières. 
    Néanmoins, quelques uns se crurent obligés, lorsqu'ils se virent débusqués par les petits flics de la pensée dominante, de cracher sur leur passé. 
    Ces méprisables personnages sont vite tombés dans les oubliettes de l'Histoire... et c'est sans doute mieux ainsi.
     Nathalie, avec ta liste LREM, tu as la prétention de défendre les intérêts de la France dans l'Union européennes. 
    Permet-nous de te dire que, vue ton attitude aujourd'hui, on a de bonnes raisons d'être inquiets pour demain... 
    Mais, rassure-toi, que tu ai été membre de l'UED ou non, cela n'a pas vraiment d'importance car nous n'avions aucunement l'intention de voter pour toi...
     * Si je te tutoie dans cet article, c'est parce que dans la mouvance nationaliste, hier comme aujourd'hui, tout le monde se tutoie. 
    Ainsi, tu vois bien que nous ne sommes pas rancuniers.   

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  • Deux migrants étranglent et tuent un Français de 70 ans pour le voler, silence médiatique

    Posté Par:Pieds Noirs 9A..

    Il se prénommait Philippe, il venait d’avoir 70 ans et vivait dans un joli petit village de Seine-et-Marne, Vulaines-sur-Seine. Un simple retraité qui en toute quiétude coulait des jours heureux dans la ruralité à proximité de la forêt de Fontainebleau et du musée Stéphane Mallarmé.

    Hélas, ce 12 avril, sa route croisa celle de deux individus qui n’avaient qu’un but : l’agresser pour le voler, au besoin en lui prenant la vie. Aux environs de 23h, Philippe arrive en train en provenance de Paris à la gare SNCF de Fontainebleau-Avon. Alors qu’il descend au deuxième étage du parking couvert de la gare, où il s’apprête à récupérer sa voiture, il est victime d’une agression d’une rare lâcheté. Deux jeunes hommes se jettent sur lui, le rouent de coups au visage puis l’étranglent avant de disparaître en courant. Toute cette violence dans un seul but : lui voler son téléphone et son ordinateur portable.

    Suite à cette attaque une enquête est ouverte par le service régional de la police des transports. Très vite grâce à la vidéosurveillance épluchée par les enquêteurs, deux suspects, âgés de 26 ans sont identifiés. Trois jours plus tard ils les interpellent Porte de Montreuil dans le 20e arrondissement de Paris et les placent en garde à vue. Mercredi, à la fin de cette dernière, ils sont mis en examen et écroués. La victime, elle, a été transportée à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, elle souffre d’une fracture du nez et d’une paralysie du côté gauche. Ces racailles n’y ont pas été de main morte puisque le procureur de la République de Fontainebleau indiquait que dès son évacuation de la gare Philippe était déjà en état de mort clinique. Le 16 avril après-midi il décédait sans avoir repris connaissance.

    Mais qui sont ces deux meurtriers ? Le Parisien ainsi que La République de Seine-et-Marne ont relaté le drame et sa conclusion. Ce sont deux “migrants” algériens, “sans domicile fixe“, “en situation irrégulière sur le territoire français” qui ont commis cette abomination, âgés de 27 ans. Sauf erreur de notre part, ce “fait divers” n’a pas été repris par les autres médias. Une question : si deux jeunes Français avaient tué un immigré de 70 ans dans les mêmes conditions, aurions-nous eu une couverture médiatique aussi légère ? L’information n’aurait-elle pas fait le buzz et associations, artistes et pseudo-philosophes n’auraient-ils pas joué les accusateurs car, nécessairement, le meurtre aurait été d’inspiration raciste ?

    Suite à ce drame le maire de Vulaines-sur-Seine, Patrick Chadaillat, s’est déclaré très choqué : “C’était un homme charmant, et je compte aller à ses obsèques“.

    En attendant chaque jour des milliers de Français récupèrent, la peur au ventre, leurs véhicules dans des parkings, comme Nathalie qui avoue que cela lui arrive rarement de revenir après 21h à cette même gare où le retraité a été agressé : “Car il y a toujours des jeunes qui squattent le parking et cela n’est pas rassurant.»

    J-P Fabre Bernadac

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Pénurie de "Padamalgam" ? J'ai pris du Toléron

    Après l'attentat de Strasbourg et la suite et maintenant notre dame de Paris , j'ai senti le besoin de calmer ma colère. mon épouse ne supportait plus de m'entendre ronchonner des insanités contre l'islam , une fois de plus. J'aurais bien ingurgité deux cuillerées à soupe de sirop "Cépassalislam", mais ce breuvage socialiste ne me fait plus d'effet, alors je me suis rendu à la pharmacie où, horreur, il n'y avait plus de "Padamalgam" ce qui ne m'étonne guère, à y réfléchir : les gens ont dû se jeter dessus dès qu'ils ont entendu l'info à propos du marché de Noël de Strasbourg...

    L'apothicaire m'a conseillé un générique, le Toléron, je vous en parle parce que je l'ai essayé avec des effets bénéfiques. Le suppo glisse tout seul, presque un plaisir, et vous voyez tout de suite les choses en positif (l'islam religion d'amour, de tolérance et de paix, etc.)... à tel point que je suggérerais volontiers au labo "VivrEnsemble Pharmaceutics" un slogan imagé, du genre : "Vous en avez plein le cul des islamistes et de l’ignorance de votre gouvernement?  .Hop, un suppositoire de Toléron, ça passe ,et cela glisse tout seul 

    Toleron - Vivrensemble Pharmaceutics


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  • L’inexpérience, la suffisance et la duplicité : causes du malaise ?


     On savait depuis longtemps que le mouvement des gilets jaunes était tout sauf homogène.
    Il ne l’était ni dans sa composante sociologique, ni dans sa constitution générationnelle, ni dans la nature de ses revendications, ni dans ses méthodes de manifestation.

    Pourtant, sa légitimité n’a jamais, probablement, fait le moindre doute sinon chez certains, nantis au delà de l’imaginable,  et ceux qui, contre toute évidente nécessité, privilégient le calme et la paix sociale fut-ce au prix de la stagnation voire de la régression de leurs conditions de vie.
    Longtemps l’opinion publique a cautionné et soutenu la forme et le fond des requêtes adressées par les manifestants. 
    Le besoin d’équité et de justice était (il l’est toujours sans aucun doute) partagé par la majorité des Français.
    Ce que nous avions ressenti, dès la fin novembre, est que tout n’était pas que “jaune” dans cette action. 
    Semaine après semaine, du noir, la couleur des “black-blocs, est venue obscurcir ses contours et son ambiance. 
    Semaine après semaine la détermination et le savoir faire des casseurs infiltrés s’est opposée avec succès à la surprenante cécité des forces de l’ordre que nous avions vu en d’autres circonstances bien plus efficace.
    De semaine en semaine la dégradation de l’affrontement s’est amplifiée, accompagnée des dégradations hideuses et inacceptables, jusqu’au samedi 20 avril où l’innommable  s’est produit qui entérine, sans doute, l’acte ultime de ce mouvement unique et inégalé dans l’histoire des luttes sociales françaises. 
    “Suicidez-vous” a crié une partie de la foule, “suicidez-vous”… 
    Comme une exhortation haineuse et insupportable que rejettent certains leaders jaunes après que le mal eut été fait.
    Quoi qu’il arrive aujourd’hui, comment pourrait-il y avoir un acte XXIV qui ne soit entaché d’illégitimité ? 
    La Constitution garanti le droit à manifester mais une société qui désigne sa police comme l’ennemi à abattre se fourvoie dans les méandres du désordre qui conduit à son propre suicide.
    Cela étant dit avec la détermination que beaucoup partagent, il n’est pas possible de se soustraire à l’identification des responsabilité profondes dans cette exorbitante affaire. 
    Ceux qui ont prononcé ces mots abominables devront être identifiés et punis, c’est une évidence.
    Mais au delà, il est déterminant de comprendre comment on en est arrivé là. 
    On le sait la situation économico-sociale des Français n’est pas seulement due au erreur du présent quinquennat. 
    La dégradation continuelle de la situation est imputable à tous nos dirigeants depuis 40 ans qui ont en permanence fait de mauvais choix et se sont caché de leur incurie derrière leur petit doigt.
    De Hollande à Macron rien n’avait changé dans la gestion du pays et rien de spectaculaire n’avait montré d’amélioration notable. 
    En revanche, le Président était jeune, le plus jeune de tous ses prédécesseurs. 
    Malheureusement, il n’a choisi de la jeunesse que les pires défauts pour agir. 
    La vanité et l’insouciance ont été ses armes et ses insolences répétées ont poussé les citoyens à l’exaspération.
    Une fois le processus enclenché, c’est le manque d’expérience voire l’incompétence qui ont été les causes principales de l’escalade. 
    Macron est jeune, le maigre corps des cadres confirmés parti, il ne reste autour de lui tous que de trop jeunes élus peu préparés à la lutte politique et à la maîtrise d’enjeux qui les dépassent tous.
    Enfin, on ne peut éviter de soupçonner le pouvoir d’avoir délibérément laissé les choses se dégrader sans intervenir. 

    Les casseurs sont parfaitement identifiés et il eut été faciles de les neutraliser en amont. 

    Au lieu de cela, la police a été déployée face à eux sans aucun plan établi et elle n’a jamais été en mesure de s’opposer réellement aux vrais casseurs.

    La cause de tout cela est l’addition de l’inexpérience, l’arrogance et de la duplicité d’un Président seul et trop sûr de lui. 

    Jean-Jacques Fifre

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