• Merluche le Führer des ‘Insoumis’

    Mélenchon est un vieux routier de la politique professionnelle. Il fait peur par ses manières brutales d’adjudant de compagnie disciplinaire. 

    On se demande d’ailleurs comment il peut avoir des adeptes avec une pareille allure de brute grossière.

    Il compte régulièrement être élu président de la république et mise sur la racaille et le lumpenprolétariat à défaut de la gauche traditionnelle qui n’existe plus, ou qui s’est volatilisée ailleurs.

    Il n’est pas le leader d’insoumis à l’ordre établi, mais de soumis à l’ordre financier mondial. Avec le temps, il n’évolue pas mais semble dégénérer d’années en années. Il ne parle pas, il aboie, la mâchoire prête à mordre, l’oeil mauvais. Il est devenu avec le temps, le pitbull du marigot politicien.

    Tantôt arrogant, dédaigneux, colérique, moqueur ou outré avec un côté comédien dans le rôle du teigneux de service. Le tout, avec une mauvaise foi digne d’un procureur dans un procès stalinien.

    Si on ajoute à ce portrait, la frustration de n’être pas reconnu à la valeur et à l’importance qu’il   qu’il se donne. Ce qui le rend furieux et encore plus odieux avec ceux qui osent contester la rigidité de ses arguments.

    Eric Zemmour a très bien réussi à lui clouer le bec, dans leur précédent débat : « Mr Mélenchon; vous et votre gauche, vous avez perdu le peuple français. Vous vous cherchez un électorat de substitution avec les musulmans. Vous êtes prêts à toutes  les trahisons, j’ai honte pour vous ».

    Paroles bien envoyées à quelqu’un qui admire Robespierre, les côtés sombres et les cruautés de la Révolution et qui ferait peut être aussi bien que ces sanguinaires, si  les circonstances le lui permettaient.

    Il veut remplacer la BAC par des assistants sociaux de sécurité. Comme si des mesures de démagogie suffisaient à enrayer la délinquance. Ce qui a produit un clash avec un représentant de la police nationale, Yannick Landuran.

    Ce gouanassier, sans le moindre respect pour son interlocuteur policier resté calme et poli, éructait: « Si je suis élu, vous obéirez » Tout en le fusillant des yeux. De quel côté est la violence? Je parie que du côté de la police on ne va pas se bousculer pour voter Mélenchon Comme si cet excité avait quelque chance d’être élu alors qu’il fait tout pour se faire détester.

    « Le socialisme est l’antichambre de la tyrannie » (Léo Ferré)

    Onyx


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  • Tintin au pays des ex soviets

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    Comme un petit air de dîner de con


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  • La ville d’Ottawa est devenue « hors de contrôle »

    Boulevard Voltaire  

    Le « convoi de la liberté » bloque la capitale canadienne depuis plusieurs jours. 

    À l'origine de ces révoltes, l'obligation, depuis la mi-janvier, pour les camionneurs d'être vaccinés pour passer la frontière entre les États-Unis et le Canada. 

    Les chauffeurs routiers s’élèvent contre les mesures vaccinales qui empêchent les travailleurs ne s’étant pas soumis aux réglementations en vigueur de travailler. Et tant que les restrictions ne seront pas levées, « les manifestants affirment vouloir poursuivre leur occupation », relatait Le Parisien, le 6 février. De plus, toujours selon Le Parisien, ces manifestations se sont transformées en un « en mouvement contre les mesures sanitaires dans leur ensemble et aussi, pour certains, contre le  de Justin Trudeau ».

    À la radio, le maire de la ville Jim Watson dresse ce constat : « La situation, actuellement, est complètement hors de contrôle, car ce sont les protestataires qui font la loi. » Il ajoute que les manifestants « sont beaucoup plus nombreux que nos policiers » et conclut : « Nous sommes en train de perdre la bataille […] nous devons reprendre notre ville. »

    Bientôt en France ?

    Le mouvement pourrait-il essaimer en France ? Sur Facebook et Twitter, plus de 170.000 personnes ont répondu à l’appel pour bloquer  samedi prochain. Selon France Info« des convois au départ de Brest, Lille ou encore Metz sont déjà planifiés ».

    Serait-ce le début d’une nouvelle  des gilets jaunes ?



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  • Honneur aux patriotes tombés le 6 février 1934

    À l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

    Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

    22 Français mourront sous les balles ou les coups de la République et plus d’un millier sera blessé.

    La Gauche prétendra qu’il s’est agi d’une tentative de « coup d’État fasciste » et à son arrivée au pouvoir en 1936, dissoudra les puissantes ligues.

    Côté patriote, les déçus de l’attitude de Maurras (maniant la plume dans les locaux du journal ce soir-là, pendant que les militants se battaient et souhaitaient pour nombre d’entre eux prendre la Chambre) vont créer une organisation clandestine qui fera beaucoup parler d’elle : « la Cagoule ».

    Source : http://contre-info.com


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