• La réaction de Thomas Joly suite au psychodrame de la mosquée de Bayonne

    Publié par Thomas Joly

    Thomas Joly@ThomasJoly60
     
     

    Désolé, l'escarmouche de ne fera pas oublier les 263 victimes du terrorisme islamique depuis 2012 sur le sol français

     
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    Thomas Joly@ThomasJoly60
     
     

    Les glapissements unanimes de l'ensemble des médias et de la classe politique démontrent que nous sommes déjà dans une République pré-musulmane. Inutile de compter sur ces insupportables dhimmis volontaires pour nous sauver du péril islamiste

     
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  • Appel de Zineb El Rhazoui au peuple français

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     Publié par Marc Le Stahler..
        
    Elle a 37 ans. Née à Casablanca en 1982, franco marocaine, elle est journaliste, militante des droits de l’homme, écrivain (auteur de « Détruire le fascisme islamique »).
    Journaliste à Charlie Hebdo, elle a échappé par miracle à la tuerie de janvier 2015.

    Comme notre ami Eric Zemmour, et comme de trop nombreuses personnes courageuses, elle vit, elle et sa famille, sous protection policière permanente.
    Parce que penser, parler, dire, écrire ce qu’on pense d’une religion mortifère moyenâgeuse et obscurantiste est un crime, pour les illuminés de l’islam, en 2019, en France, patrie de Voltaire et de la tolérance…
    Combien sont-ils, en France, à être ainsi protégés ?

    Comment en sommes-nous arrivés là ?
    Quels dirigeants traîtres ou inconscients ont-ils laissé ainsi sombrer la France qu’on leur avait confiée ?
    Savez-vous, mes chers compatriotes, ce que représente vivre dans le danger permanent ?

    Jour et nuit, tous les jours de la semaine.
    Soi-même et sa famille. Partout…
    Quand, quelques jours après l’attentat meurtrier de la Préfecture de Police de Paris, une femme voilée s’autorise à faire de la provocation au Conseil Régional de Bourgogne et tente d’émouvoir la France par les larmes de son fils, on a du mal à contenir sa colère en pensant aux enfants des policiers assassinés dont personne ne parle déjà plus…
    Zineb El Rhazoui n’a pas peur.

    Elle est en colère, et ne se taira pas.

    Elle vient de lancer sur les réseaux sociaux un appel bouleversant au peuple français.
    Nous devons l’entendre, l’écouter, le relayer, le répandre, partout, dans les villes, dans nos familles.
    Zineb se bat pour nous, pour la France, pour la liberté.

    Elle risque sa vie chaque jour.
    Dans les heures terribles que nous vivons, nous avons besoin d’elle, nous avons besoin d’hommes et de femmes courageux comme elle.

    Protégeons-là comme nous le pouvons.
    Vous tous, qui étiez « Charlie » il y a presque 5 ans, soyez « Zineb » aujourd’hui.
    Soyez, comme Zineb, en colère, en sainte colère.
    Dites-le ! Ecrivez-le !
    Criez-le !
    N’ayez pas peur !


    Marc Le Stahler

     

    “À l’heure où les islamistes et leurs complices communautaristes s’émeuvent de cette “maman voilée humiliée devant son enfant”, les pires sévices, mortels, me sont promis publiquement sur les réseaux sociaux, et personne ne s’en émeut, à part vous tous, mes amis et soutiens laïques, humanistes et républicains.

    Comme si je n’étais pas moi aussi une maman, comme si mon enfant qui lirait un jour les menaces des défenseurs de l’islam, “Nik Ta mer la gross putte”, “On te retrouvera égorgée dans ta baignoire”, “Tu seras violée par tous les trous”, n’en éprouverait aucun traumatisme, ceux qui volent au secours de la hijabiste du Conseil régional se taisent sur ce que je vis au quotidien.
    Un silence qui en dit long sur les dégâts de la terreur islamique sur l’inconscient collectif français.

    Les menaces, les insultes, les humiliations publiques, les diffamations sont si nombreuses, quasi incessantes ces dernières semaines, que je n’ai même plus le temps de les compiler, même plus les moyens de les poursuivre toutes.

    Pour autant, je ne ressens pas que “ma vie a été détruite” comme le prétend la menteuse hijabisée.
    Au contraire, voir mon pays, celui que je léguerai à mon enfant, sombrer dans cette aliénation islamiste, le voir trembler devant ce retour de l’inquisition sous une autre étiquette religieuse, me donne le courage de continuer, de me battre avec encore plus de force qu’auparavant.
    C’est mon devoir de femme, de citoyenne et de mère.

    Comme moi, ne cédez jamais à la terreur, ne faiblissez pas devant l’intimidation, ne soyez même pas effleurés par la calomnie des fascistes qui vous traitent de racistes, d’islamophobes, de “putes”, “pédés” et autre injures qui vont avec et qui leur servent d’arguments.
    Résistez! C’est vous les plus forts.”

    Zineb El Rhazoui

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  • Paris ? Comme Zorro, Bayrou est arrivé !



    Manifestement, à quelques mois des échéances municipales, les enjeux parisiens manquaient un peu de clarté : entre Benjamin Griveaux (LREM canal officiel), l’historien qu’on sait, qui confond Marc Bloch et Charles Maurras et qui pense peut-être que le concile de Trente était une réunion de copropriété rassemblant trente colocataires.
    Sans oublier Cédric Villani (LREM canal impromptu), notre mathématicien, dont l’araignée n’est pas arborée qu’à la boutonnière, mais aussi et parfois un peu dans les sous-pentes de son cerveau fécond.

    En face ? Anne Hidalgo, la reine maire de Paris.
    Il fallait donc que quelqu’un se dévoue pour remettre un semblant d’ordre dans cette pétaudière.
    François Bayrou, dont la force de frappe politico-médiatique est aujourd’hui globalement équivalente à celle d’un Jacques Cheminade, ne pouvait que participer à ce qui est devenu une sorte de happening permanent, plus fort encore que les tulipes de Jeff Koons.
    Ainsi, ce dimanche dernier, sur les ondes de France Inter, lors de l’émission « Questions politiques », le président à vie du MoDem s’inquiète des ravages que pourrait causer cette lutte fratricide, sachant que les voix de Griveaux ne se reporteront pas, au second tour, sur celles de Villani, et inversement. Pour éviter ce cataclysme, il y a « une possibilité de faire une majorité de rassemblement », sachant que « les Parisiens cherchent une alternance à Paris et cette alternance doit venir d’une majorité large avant le premier tour » et que le même François Bayrou ne croit pas aux « réconciliations de second tour ».
    On espère que les lecteurs, qu’ils soient ou non parisiens, suivent ce raisonnement aérien sans trop se gratter l’occiput.
    De manière plus pragmatique, s’il y a un candidat de trop, entre Villani et Griveaux, il serait donc opportun d’en ajouter un troisième, histoire de clarifier la situation, on imagine.
    Deux noms seraient donc avancés.
    Jean-Louis Borloo ou Agnès Buzyn seraient de possibles jokers, à en croire le maire de Pau.
    Seulement voilà, Jean-Louis Borloo n’est « au courant de rien ».
    Quant à Agnès Buzyn, elle serait « à fond sur ses dossiers », à en croire son proche entourage.
    On avouera que tout cela n’est pas très limpide.
    Tout comme sont tout aussi obscures les déclarations bayrouesques, lors de cette même émission, relatives, cette fois, à la place des symboles religieux dans la sphère publique : « On perd de vue quelque chose de tout à fait essentiel : la laïcité, c’est la règle pour qu’on puisse vivre ensemble, c’est la règle pour qu’on se respecte dans nos différences, pour que triomphe le plus important, qui est la compréhension mutuelle. »
    Et tout pareil et bien au contraire, on imagine.
    Ensuite, François Bayrou de poursuivre, quant à l’état de la France : « Le climat politique n’est pas sain, n’est pas clair et mérite qu’on s’interroge. Un pays qui ne se sent pas bien avec lui-même, n’est pas bien avec lui-même, n’est pas bien avec le système de gouvernement qui est le sien. Un pays qui va bien est un pays qui se reconnaît dans le gouvernement qu’il suit, un pays qui sait où il a, qui voit qu’il y a des efforts à faire, qui consent à ces efforts, mais au fond, qui ne cesse de se réunir pour trouver la réponse à ces questions. »
    Comme le discours n’est pas livré avec le décodeur idoine, on ne vous en dira pas plus.
    En attendant, et ce, à défaut de sauver la France, il y aurait peut-être une occasion pour venir à la rescousse de Paris : une candidature de Sylvie Goulard, peut-être ?
    Après le « plan B », une sorte de « plan Z », donc ?

    Ce François Bayrou, parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.

    Nicolas Gauthier

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