• votre commentaire
  • Mosquée de Massy (91) : 4 blessés après l’agression d’une équipe de tournage Amazon Prime devant le lieu de culte

    Coup d’arrêt pour le tournage d’une future série qui doit être diffusée sur la plate-forme de streaming Amazon Prime. Ce mercredi, vers 12h30, trois hommes âgés de 27 à 30 ans ont été interpellés pour des violences contre une équipe de production à Massy (Essonne).

     
    […]

    Après une première agression verbale, les assaillants présumés ont roué de coups l’équipe de tournage, qui a appelé la police. On dénombre quatre blessés, dont un touché à l’arcade sourcilière. Ce dernier a été hospitalisé. Les suspects ont été placés en garde à vue au commissariat de Palaiseau.

    […]

    La mairie, elle confirme avoir délivré les autorisations de tournage sans souci particulier. Tout comme la mosquée, qui a travaillé en amont avec l’équipe Amazon sur le sujet de la série. Selon le Conseil des musulmans à Massy, les agresseurs n’ont « rien à voir avec la mosquée ». « On ne les connaît pas, nous assure-t-on. Il y a eu tout un travail de communication auprès des fidèles pour leur expliquer le tournage en amont et ils ont été très compréhensifs. » Une autre source proche du dossier évoque des « petits délinquants qui cherchent à semer la zizanie, qui fréquentent la mosquée mais ne sont pas des fidèles ».

    Le Parisien


    votre commentaire
  • Après avoir représenté Emmanuel Macron en Hitler et en slip kangourou, l’afficheur Varois récidive et grime le président … en tête d’œuf


    votre commentaire
  • Châtillon : Ils agressent les pompiers qui allaient porter secours à une femme enceinte

    Actu17

    Châtillon : Ils agressent les pompiers qui allaient porter secours à une femme enceinte

     

    Quatre individus s’en sont violemment pris aux sapeurs-pompiers qui venaient prendre en charge une femme sur le point d’accoucher dans la nuit de vendredi à samedi à Châtillon (Hauts-de-Seine). Trois d’entre eux ont été interpellés par les policiers.

    Agressés alors qu’ils viennent secourir une femme qui va accoucher et qui doit être conduite à l’hôpital. Un équipage de pompiers a vécu cette sombre expérience dans la nuit de vendredi à samedi à Châtillon raconte Le Parisien. Cette femme les a contactés vers 02h30 en composant le 18. Rapidement sur place, cité Vauban, les pompiers sont restés bloqués par des plots rétractables.

    L’un des pompiers est descendu du véhicule pour tenter de les enlever. C’est alors que quatre jeunes individus ont surgi et les ont invectivés, afin qu’ils n’entrent pas dans la cité. L’un d’eux a donné des coups dans la carrosserie du véhicule des pompiers, qui a été dégradé. La police a été immédiatement alertée.

    Des menaces de mort envers les policiers

    Trois des quatre auteurs présumés, âgés de 16, 17 et 19 ans ont été interpellés par les forces de l’ordre peu après. Le plus âgé des trois s’est montré violent envers les policiers, il s’est rebellé et a menacé de mort les fonctionnaires en proférant des insultes racistes visant leurs origines respectives. Les trois interpellés ont été placés en garde à vue. Ils sont poursuivis notamment pour entrave à l’arrivée des secours.

    Le mis en cause majeur doit être jugé ce mardi dans le cadre d’une comparution immédiate, il est aussi accusé d’outrages et rébellion, menaces de mort et menaces à caractère raciste. Les deux mineurs seront quant à eux jugés devant le tribunal pour enfants de Nanterre.


    votre commentaire
  • Flori, l’afficheur varois, ridiculise encore Macron !

    L'auteur

    Michel-Ange Flori est indestructible ! Il n’aime pas l’arrogance de Manu, le trouve ridicule, inefficace et le fait savoir. Mais en France, le crime de lèse-Macron est prohibé…

    Sur une nouvelle affiche,  Michel Flori raille l’(in)action de Macron dans l’affaire de la crise des sous-marins. Selon Le Parisien, ce montage  a été placardé le long d’une nationale « quelque part entre Toulon et La Seyne-sur-Mer ». Il met en scène le président de la République vêtu d’un slip kangourou, en référence à l’animal emblématique de l’Australie.

    «Le kangourou de Son Éminence » peut-on lire sur l’affiche.  « Même les Australiens n’en veulent pas » a ajouté le sexagénaire en commentaire sur son compte Twitter, mettant les rieurs de son côté.

    Pour mémoire, alors que Macron le savait depuis le mois de juin,  la crise des sous-marins a « officiellement » débuté le 15 septembre, quand le Premier ministre australien s’est félicité d’avoir conclu avec Washington et Londres un vaste partenariat de sécurité ayant pour conséquence la rupture du  contrat passé avec la France pour la livraison de sous-marins conventionnels. S’en est ensuivie une « escalade” de tensions diplomatiques entre la France et les trois pays signataires…

    Récemment, Michel-Ange Flori a été reconnu coupable d’injure publique à l’égard du président de la République et condamné à 10 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Toulon. Il comparaissait pour avoir exposé sur ses deux panneaux publicitaires de Toulon et la Seyne-sur-Mer, en juillet et en août, deux affiches de Macron représenté en Hitler et Pétain.

    Je ne regrette rien, j’assume complètement ma liberté d’expression » a-t-il dit.

    Vous pensez qu’on peut rire de tout avec tout le monde ?” l’interroge la présidente.

    “Je n’ai pas dépassé les limites” lui répond Michel-Ange Flori.

    La magistrate lui rappelle alors qu’il n’a pas été poursuivi pour toutes ses affiches,  par exemple de Macron en César. “Vous ne voyez pas la nuance ?” s’enquiert-elle auprès de l’afficheur qui lui répond simplement par un non.

    Chacun comprendra qu’il n’est pas reproché à Michel-Ange Flori d’avoir usé de sa liberté d’expression mais d’en avoir abusé. Michel-Ange Flori n’est pas un humoriste, ni un intellectuel mais un délinquant récidiviste“, argumente le parquet.

    À la sortie du tribunal, l’avocat de Michel-Ange Flori peine à contenir son agacement. “Nous avons été jugés dans un délai sacrément record. C’est à croire que le tribunal de Toulon ne connaît pas l’engorgement judiciaire que l’on connaît à Paris, à Marseille, à Brest ou à Strasbourg. Ce procès est évidemment un procès politique, un procès exceptionnel. Ce procès est devenu un procès exorbitant et ça, nous ne pouvons pas l’accepter. Puisqu’il a été rendu en quelque sorte finalement au nom de la raison d’État et pas en droit, nous irons chercher le droit devant la cour d’appel. Si on ne le trouve pas, on ira devant la Cour de cassation. Et si on ne le trouve pas encore, devant la Cour européenne comme elle l’a fait à l’époque s’agissant de “casse-toi pauvre con” et de Sarko. Elle viendra dire le droit et l’imposer à la France puisque certaines juridictions sont sourdes au bon droit ” a réagi maître Tourné.

    Persuadé de son bon droit, Michel-Ange Flori déplore que « cela soit à Toulon, ville où je vis que le droit à la caricature soit enterré. Je vais continuer car sinon cela signifie qu’il faudrait un brevet pour faire des caricatures. Ce que le tribunal avait l’air de penser ou plutôt le procureur. Donc je continuerai ma parodie et ma satire ».

    Et il l’a fait !

    Daphné Rigobert


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique