• Le toubib voulait nous « casser la gueule » : il meurt après sa 3e dose .

    SAINT JOHN, NOUVEAU-BRUNSWICK, CANADA — Le Dr Sohrab Lutchmedial (photo), cardiologue et directeur d’hôpital, 52 ans, et par ailleurs entraîneur de hockey, est décédé après sa troisième piquouze anti covid.

    Le Dr Lutchmedial a reçu sa première injection d’ARNm le 16 janvier et sa deuxième six semaines plus tard.

     

    Le 10 juillet, il déclarait sur sa page FaceBook que les non-vaccinés « sont égoïstes » et qu’il « ne pleurera pas à leurs funérailles ».

    https://thecovidblog.com/2021/11/09/sohrab-lutchmedial-52-year-old-canadian-cardiologist-tells-the-non-vaxxed-i-wont-cry-at-your-funeral-dead-two-weeks-after-third-booster-mrna-injection/

    Le 15 août, il tweetait que davantage de personnes recevraient les injections si ces dernières étaient appelées « pistolets à anticorps ».

    Il ne ratait pas une occasion pour vanter l’efficacité des « vaccins » anti-covid. Il a fait la promotion des injections d’ARNm pour les enfants de 12 ans, affirmant qu’elles étaient « indéniablement sûres ».

    Dans un tweet du 9 octobre, le Dr Lutchmedial a préconisé la violence contre les covidosceptiques, affirmant qu’il voulait les « frapper au visage » (« I want to punch those people in the face »). En clair, leur casser la gueule.

    Le 24 octobre, il recevait sa troisième dose.

    Il est décédé le 7 novembre dernier, soit deux semaines après.

    A noter l’extrême cohérence du Dr Lutchmedial, qui, sur ses trois plateformes de médias sociaux, avait professé son adhésion au programme mondial de dépopulation.

    Il a commencé par lui : respects, Dr Lutchmedial

    Nous pleurerons quant à nous la disparition de ce philanthrope exemplaire.

    ***

    Henri Dubost


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  • Les Daltons, produit du laxisme généralisé

    Le parcours du délinquant qui diffuse ses exploits sur les réseaux sociaux se déroule désormais selon trois étapes incontournables : arrestation → libération → plateau de Cyril Hanouna.

    Après avoir reçu en grande pompe l’agité qui s’était filmé en train de subtiliser le matériel d’une voiture de pompiers en intervention, l’émission se devait de donner la parole au groupe d’amateurs de rodéos urbains intitulé les « Dalton ». La référence à l’univers carcéral se lit sur leurs tenues jaunes à rayures noires. Ils ne sont pas encore en prison mais se tiennent prêts. Avec cette société odieuse dans laquelle ils vivent, il faut s’attendre à tout. Les pires injustices, les pires maltraitances. Ce sont quatre victimes qui sont venues dépeindre l’oppression dont ils font l’objet. Les médias, le maire, le préfet… jamais de répit, jamais de tranquillité. Cyril Hanouna se rend compte qu’il a invité de braves petits gars au bout du rouleau.

    Mais avant d’en arriver aux épisodes les plus tragiques de leur condition, le premier interviewé tient à présenter ses excuses à la population : « Parce qu’on a compris que ça pouvait énormément causer de torts, de craintes. » Allez prévoir qu’une moto arrivant sur la roue arrière dans une rue piétonne va susciter l’inquiétude des passants (comme le montre une vidéo). Allons. Les Dalton ne sont pas devins.

    Preuve du harcèlement intensif qu’elle subit, la fratrie signale qu’elle est momentanément amputée de son cinquième élément. Après la diffusion d’un clip mêlant rodéos moto et armes à feu, celui-ci dort en prison dans sa tenue à rayures. Pour six mois ! L’indignation des quatre rescapés est à son comble. « Dans quel pays vit-on, je vous le demande ? »

    Face à la détresse de ses invités, le professeur Hanouna cherche à comprendre le but ultime de ces pétarades dans les rues de Lyon et sur le périphérique. « Est-ce que vous voulez essayer de renverser l’ordre public ou pas du tout ? » demande-t-il au porte-parole des bagnards. Mais où va-t-il chercher tout ça ? « Non, on n’est pas dans ce concept-là. Nous, c’est la musique », répond la victime. Premier prix de pot d’échappement au conservatoire de Lyon. Respect.

    L’animateur rappelle qu’il s’agit d’un groupe de rap. L’opération marketing est à demi avouée par l’invité emmitouflé dans sa cagoule : « Des actes symboliques pour faire parler un peu de nous. » Le tout enrobé d’un épais sirop victimaire. Ils n’ont rien décidé, « c’est monsieur le maire et monsieur le préfet qui sont entrés en guerre avec nous depuis le début ».

    À la remarque de l’animateur rappelant que les rodéos sont hors la loi, il lui est répondu : « Dans quel clip il n’y a pas de rodéos ? » Baigné dans un climat de laxisme généralisé, aux yeux du rappeur, l’illégalité devient la norme. Face à un Darmanin qui tire moins vite que son ombre, il n’est pas surprenant que des Dalton se croient tout permis.

    Jany Leroy

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Peut être une image de 2 personnes et texte qui dit ’«On a affaire à un président qui promet du vent, c'est une éolienne électorale!» f @CheeperOff’


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