• Attentat déjoué contre des policiers: Hollande photographié avec l'un des suspects

    L'ex-président participait à une séance de dédicaces à Strasbourg lorsqu'il a été approché par l'adolescent de 16 ans, arrêté le 7 mai. 

    ASSOCIATED PRESSFrançois Hollande lors d'une visite au Chili en janvier 2017.

    TERRORISME - Une photo retrouvée dans le téléphone de l’un des suspects mis en cause dans un projet d’attentat déjoué contre des policiers le montre prenant la pose avec François Hollande, a appris ce vendredi 24 mai l’AFP, confirmant une information de BFMTV.

    Ce cliché découvert par les enquêteurs et rendu public par la chaîne d’information montre cet adolescent de 16 ans esquissant un doigt levé, possible référence à un geste populaire chez les islamistes radicaux, alors qu’il pose avec l’ex-chef de l’État lors d’une récente séance de dédicaces à Strasbourg.  

     
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    Terrorisme: Les hommes soupçonnés d'avoir planifié un attentat contre l'Elysée visaient aussi François Hollande

     
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    Selon BFMTV, l’adolescent se serait vanté auprès de proches d’avoir pu approcher François Hollande sans avoir fait l’objet d’un contrôle, alimentant ainsi des craintes sur la sécurité de l’ex-président.

    “Aucun élément, ni aucun acte préparatoire ne permet de considérer qu’il existait un projet d’action contre l’ancien président de la République”, a tempéré une source proche du dossier.

    Interpellé à Strasbourg par la DGSI le 7 mai

    “Rien ne permet d’établir la réalité d’un projet”, a abondé une autre source proche du dossier. 

    L’entourage de François Hollande a confirmé auprès de l’AFP que l’ancien chef de l’État avait été informé de l’existence de cette photo, sans faire davantage de commentaires.

    L’adolescent de 16 ans d’origine tchétchène a été interpellé le 7 mai à Strasbourg par les fonctionnaires de la DGSI, avant d’être mis en examen pour “association de malfaiteurs terroriste criminelle” et écroué. 

    Avant lui, quatre personnes avaient été arrêtées dans le cadre d’une enquête sur un projet d’attentat visant les forces de l’ordre en banlieue parisienne ou devant l’Élysée.

    Selon une source proche du dossier, les services de renseignement soupçonnent l’adolescent de 16 ans d’avoir été chargé de diffuser une vidéo d’allégeance à l’État islamique pour le compte du commando.

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  • Fête de la musique 2019 : la scène sera 100 % féministe à l’Élysée et 100 % rap à Matignon

    Fête de la musique 2019

    Après le DJ Kiddy Smile et ses danseurs afro-gays qui ont stupéfiés le monde entier en se trémoussant sur les marches de la Cour d'honneur de l'Élysée pour la Fête de la musique l'année dernière, Emmanuel Macron a invité pour 2019 le duo Brigitte (sic), composé de Aurélie Saada et Sylvie Hoarau, pour un live acoustique. Ce groupe a été en 2018 à l’origine du projet de reprise de l’hymne de MLF « Debout les femmes », en collaboration avec la Maison des femmes.

    Une dénommée Iris Gold sera également de la fête. Mais aussi une certaine Pongo, rappeuse angolaise au style très particulier. Et enfin le groupe irlandais pro-avortement Saint-Sister...

    La Cour d’honneur de l’hôtel de Matignon qui accueillait l’an dernier plusieurs orchestres de musique classique fera place nette, cette fois-ci, à des « artistes » rap, R’n’B, ou encore hip-hop dont les noms n’ont pas encore été dévoilés.

    Source : http://fdesouche.com

     


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  • “Recule, Recule !”

     
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    institutjustice

    Chère Madame, cher Monsieur,

    Depuis quelques semaines, une vidéo tournée début mai, dans le quartier Saint Michel, à Bordeaux, circule.
    On y voit une voiture siglée Police nationale et une voiture banalisée, arrêtées dans la rue.

    Il y a beaucoup de monde autour.
    L’ambiance est hostile…
    Puis des projectiles commencent à fuser de partout en direction des voitures. 
    Un policier tente de se dégager à l’aide d’un aérosol de défense. 
    Mais les projectiles pleuvent de plus en plus nombreux, on entend des cris. 
    La situation devient totalement incontrôlable et expose la vie des policiers.

    « Recule, recule ! » crie un policier au chauffeur de l’une des voitures. 
    Les véhicules finissent par s’en aller rapidement, sous les cris et un tir nourri de projectiles.
     


    Cette vidéo n’a pas été tournée dans l’une de ces centaines de « cités sensibles » qui sont autant d’enclaves dans lesquelles la police ne pénètre plus, sauf en montant des opérations « coup de poing », quasi militaires…

    Nous sommes dans le centre-ville de Bordeaux. 
    Une ville prospère, autrefois réputée pour sa douceur de vivre.
    Mais hélas, même ici, la situation se dégrade à vue d’œil.

    « Ce quartier, c’est la guerre ! J’avais écrit trois fois à Juppé pour le signaler, mais personne ne fait rien. J’ai peur. Parfois, je ferme avant l’heure normale tellement ça chauffe. Ce quartier, c’est mauvais, mauvais, mauvais ! », explique un cafetier de Saint-Michel au journal Sud-Ouest.

    Il veut aujourd’hui vendre son établissement et partir de ce quartier. 
    Mais qui voudra le lui acheter ?
    Jeudi soir, deux groupes d’une vingtaine de personnes se sont affrontés place Meynard, au milieu des terrasses de café bondées.
    Ils étaient armés de battes de base-ball, de clés à molette, de lames de cutter, de barres de fer pour une véritable guérilla urbaine en pleine ville de Bordeaux…
    Nombre de témoins de cette rixe violente évoquent un conflit entre « les Albanais et les Algériens ». D’autres parlent de « conflits entre clandestins d’origines différentes », selon Sud-Ouest.
    Toujours est-il que ce sont les commerçants et les riverains qui n’en peuvent plus et se retrouvent au milieu de ces affrontements.
    Et la police semble bien impuissante. 
    Obligée de reculer devant les voyous, d’abandonner le terrain pour ne pas se faire lyncher, comme sur la vidéo que j’évoquais.

    Voilà où nous en sommes…

    La délinquance a prospéré dans certains quartiers situés à l’écart des centre-ville, à partir des années 1970.
    Puis les trafics, les délits et même les crimes graves se sont multipliés.
    Aujourd’hui de nombreux quartiers sont devenus quasiment impénétrables. Ce sont les plaques tournantes d’un gigantesque trafic de drogue qui inonde toute la France.
    Actuellement environ 1 400 quartiers relèvent de la « politique de la ville », ce qui représente cinq millions et demi de personnes. 
    Et on découvre de nouveaux « quartiers sensibles » presque tous les jours, au gré de l’actualité des crimes, délits ou autres fait-divers comme on les appelle dans la presse…

    Désormais l’insécurité chronique et la violence gagnent même les campagnes comme les centre-ville. 
    Y compris dans des parties du territoire jusqu’alors plutôt épargnées, comme à Nantes ou Bordeaux…
    On pourrait penser qu’avec une telle situation la sécurité et la justice devraient être la priorité de nos dirigeants.

    Vous savez qu’on en est encore très loin…

      Emmanuel Macron a renoncé à sa promesse de construire 15 000 places de prison supplémentaires durant son quinquennat.
      Madame Belloubet produit des réformes qui sont dans la droite ligne de Christiane Taubira et réussit même à faire plus laxiste encore !
      Et si Christophe Castaner s’est montré très ferme envers les « gilets jaunes » on ne l’entend guère concernant ces zones de non droit qui gangrènent notre territoire…

    Mais vous le savez, il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
    À l’Institut pour la Justice nous n’acceptons pas cette politique de l’autruche. 
    La situation est grave et nous n’avons pas peur de le dire tout haut, malgré tous ceux qui préfèrent détourner le regard, pour ne pas avoir à agir.
    Et vous, détournez vous le regard ?
    Si vous m’avez lue jusqu’ici, c’est sans doute que vous êtes sincèrement inquiets et en colère et que vous soutenez notre action.
    À l’IPJ, nous ne cesserons pas de nous battre pour changer cette situation qui nous menace tous désormais. 
    Nous ne cesserons pas de dénoncer les dysfonctionnements de notre justice et de proposer des solutions pour y remédier.
    Vous pouvez compter sur moi.
    Avec tout mon dévouement,

    Laurence Havel

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  • Écologisme : propagande dans les programmes de l’Éducation nationale


    Marche étudiante pour le climat, à Belfort.
     
    Thème 1 : « Science, climat et société » ; thème 2 : « Le futur des énergies » ; thème 3 : « Une histoire du vivant ».
    Non, il ne s’agit pas du programme d’Europe Écologie Les Verts, mais du programme de l’Éducation nationale concernant l’enseignement scientifique des classes de terminale, voie générale, publié en mai 2019.
     
    Si la complexité du système climatique est bien identifiée comme sujet à traiter dans le thème 1, l’accent est mis, par la suite, sur l’effet de serre atmosphérique et sur les climats du futur issus des modèles de prévision du GIEC. 
    Oubliant que le rôle effectif de l’effet de serre lié au CO2 (gaz carbonique) est fortement controversé (pour reprendre un mot cher aux médias traditionnels) et qu’il suffit d’aller, par exemple, sur le site www.wikiberal.org pour avoir une liste de scientifiques de haut vol qui le remettent en cause, il apparaît que ce programme d’enseignement tient plus de l’endoctrinement que de l’ouverture à la réflexion sur la construction rationnelle du savoir scientifique, comme cela est fixé dans ses objectifs généraux. 
    Si l’idée était réellement d’ouvrir à la réflexion, les thèses soutenues par les scientifiques sceptiques devraient être abordées également, mais ce n’est pas suggéré.
    Quant aux modèles du GIEC, qui prévoient (dixit le texte du programme) « une augmentation de 1,5 à 5 °C de la température moyenne entre 2017 et la fin du XXIe siècle », il suffit de se procurer un graphique, tels ceux publiés par John R. Christy, de l’Université d’Alabama, montrant l’évolution des températures mesurées dans la troposphère et celles prévues par les modèles, pour se rendre compte de la divergence importante qui existe entre les deux. 
    Quel professeur osera montrer un tel graphique ? 
    Est-il nécessaire de rappeler, également, que le GIEC est avant tout une organisation politique, comme son nom l’indique ? 
    Dans un rapport sorti en 2010, la journaliste canadienne Donna Laframboise affirmait : « Parmi les 34 membres supposés indépendants qui écrivent le rapport de synthèse [du GIEC] pour les politiciens, presque un tiers est associé à des organisations environnementales comme Greenpeace ou le WWF. » »
    Mais le programme scientifique de nos chers gamins ne s’arrête pas là. 
    Il demande également d’étudier les modèles démographiques et de se pencher plus particulièrement sur celui de Malthus, sans préciser toutefois que les théories malthusiennes ont été maintes fois réfutées par les faits et qu’elles constituent la base des penseurs (Institut Aspen, Club de Rome avec son fameux rapport « Halte à la croissance ») des mouvements écologistes qui sont nés dans les années 70.
    Le but est-il donc de donner aux élèves les bases scientifiques nécessaires pour poursuivre des études supérieures ou d’aller grossir les rangs des lycéens qui font grève pour le climat, suivant l’exemple de la fameuse autiste Greta Thunberg, ou encore d’augmenter le score de Yannik Jadot aux prochaines élections ?

    Marc Le Menn

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