• Aujourd’hui la Sainte-Clotilde ! Une de ces figures féminines dont tout le monde se moque éperdument…


    Qui, pour le rappeler ? Pas Marlène Schiappa, apparemment, ni aucune de ses comparses, qui, quoique toujours en quête de figures féminines téméraires, semblent fuir le sanctoral – regorgeant pourtant de donzelles volontaires, capables d’envoyer valdinguer des prétendants par trop autoritaires ou un père atrabilaire. L’une d’entre elles, sainte Wilgeforte, dont on peut admirer l’étonnante statue dans l’église Notre-Dame-de-Lorette à Prague – et que l’on nomme, en France, sainte Débarras, vous allez vite comprendre pourquoi -, pria Dieu, un soir, de lui éviter une union forcée par papa avec un roi païen dont elle ne voulait pas, et se retrouva au petit matin dotée… d’une barbe, dont les effets sur le fiancé, on s’en doute, s’apparentèrent à ceux du bromure en cachet. Mais même ce discret clin d’œil d’à travers les siècles à Conchita Wurst ne saurait dégeler nos très laïques féministes.

    Pourtant, aucune patronne du CAC 40, aucune « cheffe d’État », aucune Christine Lagarde ni Nathalie Loiseau ne saurait égaler en influence sainte Clotilde et espérer, comme elle, voir son travail porter ses fruits 1.500 ans après (même si ceux-ci tendent à s’estomper ces temps derniers, on peut le concéder…).

    En réussissant à convertir Clovis, c’est toute la France qu’elle a christianisée. Pour des siècles et des siècles. Et la tâche n’était pas gagnée. Clovis était, dit-on, un chef magnanime, mais eu égard à sa façon de régler l’affaire du vase de Soissons, on comprend qu’il n’avait suivi aucun stage de management positif, communication bienveillante ni gestion pacifique du conflit. Son défaut de bonhomie n’avait sans doute d’égal que son absence de galanterie.

    Elle était, paraît-il, douce, belle, fine et très pieuse ; l’alliance, en somme, de la carpe et du lapin, du Lys dans la vallée et de Conan le Barbare. Mais elle n’a pas balancé son phacochère, elle l’a civilisé. En a fait un agnelet – enfin, non, c’est très exagéré, mais vous voyez l’idée -, réussissant à le retourner en dépit d’un fils premier-né décédé sitôt baptisé. Saperlipopette – s’est-il dit dans sa tête, peut-on imaginer -, c’était donc ainsi qu’il était récompensé d’avoir obtempéré ? Pour un homme qui ne raisonnait, avec ses propres divinités, qu’en termes de rétribution, convenons que c’était un peu fort de café…

    Mais elle s’est entêtée. Permettant ainsi, entre autres changements de société, aux femmes de relever la tête. Par le mariage monogame avec consentement libre et mutuel. À un âge plus tardif, donc, donnant ainsi le temps aux fillettes de s’instruire.

    « Ce n’est pas un hasard si ce sont des sociétés dont l’héritage est chrétien qui ont vu naître, au siècle dernier, les premières requêtes du féminisme », martèle l’historienne Anne-Marie Pelletier dans son livre Le Christianisme et les femmes. Vingt siècles d’histoire.

    Comme le développe, quant à elle, Régine Pernoud, ce n’est pas non plus un hasard si toute l’Europe a été convertie par l’intermédiaire de reines chrétiennes, à l’instar de Clotilde en France, Théodelinde en Italie, Théodosia en Espagne, Berthe en Angleterre ou encore Hedwige en Pologne. Si leur foi était bien réelle, elles y trouvaient aussi leur intérêt… adieu les concubines – avec lesquelles il fallait bien, auparavant, cohabiter – et autres humiliations publiques de gynécée, instituant de ce fait, dans le couple, cette parité, ce 50 % égalitaire que Marlène Schippa, veut imposer… partout sauf, précisément, dans le mariage !

    Alors, qui pour en parler ? Le dernier spectacle du Puy du Fou, récemment inauguré, intitulé Le Premier Royaume et évoquant le baptême de Clovis. Clotilde y est mise à l’honneur, fêtée tous les jours de l’année, et pas seulement le 5 juin. Elle y réarme culturellement – dans une magnifique mise en scène – tous les Français qui viennent en nombre la visiter, dans une communion enfin retrouvée. Une femme, une vraie, qui a fait mettre à genoux le plus irascible des guerriers. Ne jamais l’oublier.

    Gabrielle Cluzel

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • « Ghettos de riches, ghettos de pauvres…. ravage de la pensée égalitariste ! » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
     
    Ce sont les ravages de la pensée égalitariste qui veut imposer à tous la croyance démagogique que nous sommes tous égaux et qu’évidemment, tout le monde pourrait devoir vivre dans un loft aux pieds de la Tour Eiffel avec un jardin privatif de préférence sans oublier le droit opposable au spa et au hammam personnel dans chaque logement…
     
    Le journal Le Monde dans cet article ici découvre donc, que riches et pauvres ne se mélangent pas, ce qui est tout de même une évidence humaine depuis la nuit des temps…
     
    Si les riches devaient vivre comme les pauvres, cela s’appellerait le communisme, et même sous Staline les membres hauts placés avaient des Datchas là où les gueux stakhanovistes devaient se contenter d’appartements partagés en périphérie de Moscou.
    On peut donc en conclure, que, riches et pauvres forment un mélange hétérogène non miscible.
    Je ne fais que répéter ici le cours de SPC (science physique et chimique d’après la nouvelle nomenclature scolaire en vigueur dans nos collèges).
    Pour ceux qui ont oublié leurs cours de 6ème, cela veut dire par exemple que l’huile et le vinaigre ne se mélangent pas plus que les riches et les pauvres !
     
    Ghettos de riches, ghettos de pauvres : les inégalités se creusent en Ile-de-France
     
    « Tandis que les quartiers bourgeois s’enrichissent encore, une « paupérisation absolue » frappe des « secteurs urbains entiers », selon une étude ».
    « C’est ce que montre une édifiante étude publiée lundi 3 juin par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme (IAU), un organisme qui dépend de la région Ile-de-France.
    En partant de statistiques sur les revenus, les logements, les types de ménages, etc., elle souligne combien les inégalités se sont creusées depuis une quinzaine d’années dans la région parisienne »…
    Et pourtant ce n’est pas faute d’efforts pour étaler les HLM même dans les quartiers les plus onéreux ce qui est évidemment un non-sens économique puisque cela revient à ne pas pouvoir construire beaucoup quand on construit cher, je pense aux HLM dans le 16ème à Auteuil !!
     
    « Polarisation toujours plus marquée »
     
    « Inégalités entre individus, mais aussi entre départements, communes et quartiers : malgré tous les efforts, toutes les « politiques de la ville », la mixité sociale recule.
    Avec des « ghettos de riches » de plus en plus clos sur eux-mêmes, et des « ghettos de pauvres » qui s’enfoncent dans les difficultés.
    D’un côté, les beaux quartiers de l’ouest parisien comme le 8e arrondissement, Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) ou Le Vésinet (Yvelines).
    De l’autre, les cités des Misérables.
    L’Ile-de-France est de longue date « la région où les inégalités sont les plus marquées, du fait de la
    concentration de populations très aisées », rappelle l’étude ».

     On ne règle pas le problème de la pauvreté en mettant un pauvre dans l’immeuble du riche !
     
    Il faut avoir tout de même une pensée tordue et sacrément erronée pour croire qu’en mettant un pauvre dans l’immeuble du riche on va créer les conditions de son ascension sociale.
    Le pauvre ne va pas devenir miraculeusement riche au contact d’un quartier riche !!
    Un crétin reste un crétin.
    Un malade reste un malade.
    Un incontinent reste incontinent.
    Un inculte reste un inculte.
    Un malotru, reste un malotru.
     
    Le problème ce n’est pas la conséquence mais les causes !!
     
    Et c’est là que la pensée égalitariste fait des ravages puisqu’elle veut vous faire croire que c’est la queue qui remue le chien et pas le chien qui remue la queue !
    La seule façon de lutter contre la pauvreté, ce n’est pas évidemment uniquement des aides financières même si elles sont nécessaires.
    La seule façon de lutter contre la pauvreté c’est de lutter contre ses causes, et ses causes sont multiples.
    C’est par exemple l’échec scolaire, le manque évident d’éducation ou les manques comportementaux de certains.
    Autrefois on disait qu’ils étaient « mal dégrossis », et du « mal dégrossi », ces derniers temps ce n’est pas ce qui manque.
    Vous avez aussi des problèmes évidents de formation, parfois de courage à la tâche ou encore de « motivation ».
    Vous avez aussi des maladies, des problèmes physiques, ou encore toutes les difficultés psychiques ou psychologiques que l’on peut trouver et qui font que les gens ne peuvent plus avancer.
    S’attaquer à la pauvreté ce n’est pas s’attaquer aux « Ghettos ».
    C’est là encore une erreur monumentale liée au politiquement correct étouffant dans notre société.
     
    Il n’y a pas de « ghetto » dans notre pays…
     
    Il n’y a que des zones de non-droit ou évidemment personne n’a envie d’aller s’installer et encore moins ne veut y élever ses enfants…
    Dès que ça va mieux, dès que certaines réussissent à prendre l’ascenseur social, ils n’ont plus qu’une idée en tête fuir ces quartiers invivables.
    Résultat?
    Ces quartiers restent remplis des gens les plus pauvres, mais encore une fois, la pauvreté n’est pas le problème.
    Le monde est rempli de gens pauvres et dignes, et d’ailleurs dans ces quartiers aussi la majorité des pauvres y sont dignes et doivent supporter l’anarchie que la démagogie de nos dirigeants a laissé s’y installer.
    Etre d’origine étrangère ne signifie en aucun cas que l’on ait envie de se faire agresser ou de subir la loi des petits dealers, de la même façon que l’on peut être taulard et voter (avec une participation de presque 85% en prison) pour Marine Le Pen… qui incarne plutôt l’ordre !!!
    Paradoxal n’est-ce pas ?
    Les taulards qui votent pour le parti qui semble vouloir incarner le plus l’ordre… cela devrait faite la « une » de toutes les analyses.
    Non. Cette histoire est tue et surtout non analysée.
    C’est bien plus confortable. Source Le Point ici
    La « pauvreté » ou la « modestie » n’ont jamais justifié le fait de voler, de piller ou de dégrader.
    Il ne se forme un ghetto que lorsque les services de l’Etat si prompts à se montrer bien forts avec les petits faibles qui se font flasher sur les routes à 10 kilomètres heure de plus, abdiquent leur responsabilité et leur rôle dans de plus en plus de « quartiers » de notre pays.
    Il n’y a pas de problème avec les « ghettos » si ce n’est que les choses s’y passent mal parce que les gens s’y tiennent mal.
    Tout le reste est de la littérature.
    Rien ne justifie que l’on se tienne mal et certainement pas la pauvreté.
    Mais, il n’en reste pas moins que c’est à l’Etat en tant que puissance collective organisatrice de créer non pas l’égalité (et surtout pas l’égalité qui est un égalitarisme qui comme tout les « ismes » finit en fascisme) mais les conditions de l’égalité, ce qui n’a strictement rien à voir. L’égalité de droits, de devoirs, et… de chances !
    Chance de faire des études, d’avoir une formation, un emploi, un logement etc…
    Pour le reste étaler la merde n’en a jamais changé l’odeur…étaler les problèmes ne les résout pas.
    Les solutions sont donc complexes à mettre en oeuvre et tournent essentiellement autour de la formation, de l’éducation, du comportement, de la mise en place d’internat, du choix de l’excellence et de l’ambition pour tous les enfants de ce pays d’o% qu’ils viennent pour les amener à réaliser leur potentiel pour le bien de la collectivité.
    L’ambition, la formation, le « dégrossissage » sont donc des étapes indispensables, mais elles ne feront pas tout.
    Au bout du chemin, il faut permettre à chacun de nos concitoyens de trouver un boulot synonyme de dignité et d’indépendance et aussi… de participation à la création de richesses collective.
     
    L’Europe n’est pas la paix… c’est la prospérité qui fait la paix !
     
    Pour cela il faut évidemment avoir du boulot, créer du boulot !
    Pour cela il faut une économie prospère.
    Pour cela il serait temps de cesser nos âneries de mondialisation, de délocalisations, et de fermer les usines pour les laisser ouvrir là-bas.
    Temps de cesser de faire rentrer chaque année un peu plus de bougres venus de bien loin et que l’on n’est même pas capable de loger si ce n’est en laissant de nouveaux bidonvilles se créer à Paris.
    Pour cela, il faut cesser nos imbécillités de construction européenne qui ne fonctionne pas et qui crée aujourd’hui les conditions de la misère du plus grand nombre.
    Or l’Europe n’est pas la paix contrairement à ce qu’affirme la propagande facile.
    Ce qui fait la paix, c’est la prospérité et c’est parce qu’à la sortie de la Seconde guerre mondiale l’Europe a connu une grande prospérité liée à la reconstruction et aux coopérations européennes que la paix s’est installée.
    Toujours cette histoire de queue qui remue le chien alors que c’est le chien qui remue la queue.
    Étaler la merde n’en a jamais changé l’odeur…
    Déplacer les problèmes ne les réglera jamais.
    Dans ce pays, ce que l’on aime, c’est déplacer la nuisance ou le nuisible (qui va de l’enfant « turbulent » qui changera d’école, à la famille à problème qui changera de « ghetto », sans oublier le mauvais prof qui sera muté, le mauvais policier qui sera envoyé dans un autre commissariat etc, etc…).
    … et il faut vraiment être benêt pour encore parler de « ghetto de riches et de ghettos pauvres » quand il faudrait parler tout simplement du modèle de société qu’il faut reconstruire pour notre pays, d’économie, d’emploi, de formation, d’accompagnement, et aussi de sécurité, de drogues douces et lentes etc, etc… mais aussi, de morale, de transcendance, et de spiritualité.
    Tout système politique qui veut nier le besoin de possession de l’homme se trompe et n’est pas viable, de la même façon que tous les systèmes qui refusent la dimension religieuse de l’homme et le besoin de croyance échouent également.
    Vous l’aurez compris, c’est tout qu’il faut revoir.
    De la cave au grenier.
    Sans aucune haine, sans rejet, mais au contraire en construisant sur ce qui nous unit.
    Vaste programme, qui n’est pas à l’ordre du jour.
    La destruction peut donc se poursuivre.
     
    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
     
    Charles SANNAT

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  • Un journaliste de France 3 tabassé et séquestré dans une Mosquée par des islamistes


    Un journaliste de la télévision d’État France 3 a été tabassé et séquestré alors qu’il couvrait le procès d’un imam responsable d’une filière d’immigration clandestine.

    France 3 Normandie (source) :

    L’un de nos confrères s’est fait agresser lundi 3 juin en début d’après midi, alors qu’il tournait des images devant la mosquée de Petit-Couronne, près de Rouen. 

    L’agression d’un journaliste de France 3 Normandie s’est produite lundi après-midi devant la mosquée de Petit-Couronne, alors qu’il tournait des images pour illustrer le procès à Boulogne-sur-mer d’un imam et d’un fidèle de cette mosquée.

    Une vingtaine de fidèles a voulu empêché notre collègue d’effectuer son travail alors qu’il était sur la voie publique. S’en est suivie une altercation violente pendant laquelle sa caméra a été détériorée. Il a ensuite été gardé contre son gré dans l’enceinte de la mosquée avant que la police n’intervienne.

    Notre confrère est légèrement blessé et choqué (il s’est vu prescrire 5 jours d’ Incapacité Totale de Travail), et nous lui apportons tout notre soutien.

    La police a arrêté l’un des agresseurs présumés et récupéré le matériel de reportage. L’homme a été placé en garde à vue.

    L’imam, un ressortissant iranien, supervisait une filière d’immigration clandestine afro-islamique vers la Grande-Bretagne (lire ici).

    Imaginons l'émoi politico-médiatique si pareille agression avait été commise par des catholiques dans une église...

    Source : http://breizatao.com


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