• L’assassin islamiste pouvait donc baiser en prison, et poignarder ensuite deux gardiens !

     
     
     
    De gros moyens sont déployés au centre pénitentiaire d’Alençon – Condé-sur-Sarthe, où deux gardiens de prison ont été poignardés par un détenu radicalisé.
     
     
     

    Condamné à (seulement !) un an d’emprisonnement pour apologie publique d’acte de terrorisme, mais aussi à 30 ans de prison pour avoir assassiné, dans des conditions sordides un vieil homme de 89 ans, un détenu radicalisé, Michaël Chiolo, a poignardé deux gardiens de prison de la maison centrale de Condé-sur-Sarthe (Orne), alors qu’il sortait du « baisodrome » où il avait passé la nuit avec son épouse.
    Les faits se sont déroulés ce mardi 5 mars 2019 à 9 h 45, et l’un des deux surveillants de prison se trouve dans un état très grave.
     
    Le fil rouge de cette journée :
    – 9 h 45 : Michaël Chiolo, un détenu de la maison centrale de Condé-sur-Sarthe (Orne) poignarde, sans raison apparente, deux surveillants, avec un couteau en céramique.
    • 9 h 55 : Le détenu Michaël Chiolo est retranché avec sa compagne, Hanane A. (femme inconnue des services de police), dans une unité de vie familiale (UVF). Selon Me Pauline Brion, l’avocate du détenu, il a rencontré sa compagne « en prison et ils projetaient de se marier ». « Il avait écrit à quelqu’un après sa conversion pour qu’on lui trouve une épouse », indique l’avocate à l’AFP.
      Selon des informations recoupées, cette dernière est enceinte.
    • 10 h : Michaël Chiolo dit être en possession d’une ceinture d’explosifs, ce que personne n’a pu vérifier.
    • 11 h 56 : comme à chaque catastrophe, la ministre de la Justice Nicole Belloubet adresse un communiqué de presse aux journalistes accrédités. La garde des Sceaux indique : « Il était à l’unité de vie familiale (UVF), avec sa femme, où il a agressé deux surveillants avec un couteau en céramique. L’un des agents a été plus grièvement atteint. Ils ont été immédiatement pris en charge, et conduits vers l’hôpital ; leur pronostic vital n’est pas engagé… Le détenu s’est retranché dans l’unité avec son épouse. Il est condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour arrestation, enlèvement, séquestration suivi de mort et vol avec arme, et à un an d’emprisonnement pour apologie publique d’acte de terrorisme. Il est libérable, à ce jour, en 2038.
    « L’Éris de Rennes est en route vers la maison centrale ; les forces de sécurité intérieure sont également mobilisées. Le parquet est saisi. Une cellule de crise a immédiatement été ouverte aux niveaux régional et national. J’apporte tout mon soutien aux agents blessés et à leurs proches, ainsi qu’à leurs collègues actuellement mobilisés ; je me rends à la cellule de crise nationale. »

    • 12 h 05 : via les syndicats de la pénitentiaire, on apprend que les deux surveillants, âgés d’une trentaine d’années, sont grièvement blessés, l’un au ventre et l’autre au visage. Le surveillant le plus lourdement touché « est au bloc pour une intervention chirurgicale après un scanner », selon le secrétaire local du syndicat FO, Alassane Sall . L’autre surveillant a été touché à la mâchoire, au visage et dans le dos, selon la même source. « Il y avait du sang partout. L’unité de vie familiale était un champ de bataille », explique le syndicaliste de Force Ouvrière.
    • 12 h 15 : au ministère de la Justice, le cabinet de Nicole Belloubet croule sous les appels téléphoniques. Une collaboratrice explique que le couteau qui a servi à l’agression « aurait pu lui être apporté par sa femme ». Mais cette version ministérielle est immédiatement contredite par Emmanuel Baudin, secrétaire général de FO pénitentiaire, qui indique : « ce genre de couteau est fourni par la pénitentiaire dans les unités de vie familiale (UVF). La compagne aurait aussi agressé les collègues avec un couteau fourni par l’établissement…« 
    • 12 h 30 : beaucoup de médias nationaux, de radios, de télévisions tentent de banaliser cet acte terroriste, directement lié à la conversion à l’islam de Michaël Chiolo, en axant l’info sur la condamnation de ce dernier à 30 ans de réclusioncriminelle pour arrestation, enlèvement, séquestration suivi de mort et vol avec arme.
    Itinéraire d’un détenu féroce et radicalisé
    • 16 h 30 : un magistrat du parquet, proche du dossier, joint par téléphone et qui préfère conserver l’anonymat, explique : « Il s’agit d’un acte terroriste. Michaël Chiolo a toujours été connu pour sa radicalisation depuis 2010 et fiché au FSPRT, le fichier pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste. Que dire sur ce détenu difficilement réinsérable, libérable en 2038 ? Michaël Chiolo, aujourd’hui âgé de 27 ans, était principalement connu pour des délits de droit commun. En 2014, cet individu était décrit comme « très intelligent ». Mais il a commis des faits particulièrement monstrueux et a été condamné par la cour d’assises de Moselle à 28 ans de prison ferme, puis, en décembre 2015 en appel, à 30 ans de réclusion criminelle pour avoir séquestré et torturé un octogénaire, qui était mort étouffé.
      « Les faits s’étaient produits en avril 2012 à Montigny-lès-Metz, en Moselle. La victime était un ancien cheminot, un grand résistant contre les nazis. Il était aussi rescapé des camps de concentration nazis. Il avait été choisi par Michaël Chiolo et deux complices pour son argent et sa vulnérabilité. L’octogénaire avait été séquestré, puis asphyxié par le bâillon mis par les trois cambrioleurs. Les trois meurtriers s’étaient rencontrés dans des foyers. Michaël Chiolo a en effet quitté le domicile familial très jeune avant de vagabonder. … »

    • 18 h 27 : le détenu est toujours retranché au centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe, près d’Alençon dans l’Orne.
    • 18 h 35 : une intervention du Raid est en cours actuellement pour tenter de maîtriser ce détenu radicalisé qui a poignardé deux surveillants dans la matinée, les blessant grièvement avant de se retrancher avec sa compagne au sein de l’unité familiale de la prison ultrasécurisée d’Alençon/Condé-sur-Sarthe. De nombreux coups de feu ont été entendus par les journalistes de l’AFP présents sur place.
    • 19 h 45 : Michaël Chiolo, le radicalisé islamique, est appréhendé et maîtrisé par les policiers du Raid, avec un assaut très professionnel. Le détenu radicalisé et sa femme ont été blessés par balle, par les policiers d’élite du Raid. On apprenait quelques minutes plus tard que la-dite épouse était décédée.
    Douze ans après mon dernier livre consacré au milieu carcéral (Lettres de prison – éditions Michel Lafon – septembre 2006), le milieu carcéral a considérablement évolué par sa violence, par la conversion à l’islam d’un grand nombre de détenus
    Au même titre que le grand banditisme français, où Saïd le Nantais a remplacé Henri le Nantais, où le Lyonnais marocain Bouarfa a supplanté le parrain lyonnais Gilbert Gabayet, surnommé le « père Gab » en raison de sa bonhommie, où Hamzi le Mulhousien a éliminé les derniers gros truands alsaciens.

    https://ripostelaique.com/le-grand-remplacement-existe-aussi-chez-les-truands.html


    Ce nouvel acte terroriste interroge, interpelle
    Comment peut-on laisser des gardiens de prison désarmés, mal payés, peu considérés par la société à la merci de tels furieux ? 
    Ces derniers devraient être gérés par des unités spéciales et dans des prisons adaptées, dépourvues de « baisodromes », où finalement les criminels ont une vie plus cool que celle des gardiens de prison. 
    Il y a vingt ans, le colonel de gendarmerie Michel Colliquet, officier supérieur de l’inspection technique de cette arme, me confiait : « Si j’étais sans travail, j’accepterais n’importe quel job, sauf gardien de prison et infirmier psychiatrique ».

    Francis GRUZELLE

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  • Xavier Raufer : « Que Grenoble soit à feu et à sang n’est pas une bouleversante nouveauté… »


    Grenoble (Isère) vient de connaître une nuit d’émeutes après que deux jeunes ont été tués à scooter alors qu’ils étaient poursuivis par la police.
    Analyse sans langue de bois de Xavier Raufer au micro de Boulevard Voltaire



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  • Gilets Jaunes Européens
    @GEuropeens
     

    Encore une fois à un gilet jaune recoy un tir de en pleine tête. (Au visage)

    Gilets Jaunes Européens@GEuropeens
     

    Le blessé à la tête sur la [Vidéo] a été immédiatement pris en charge par les @CStreetmedic puis ensuite évacuée par les pompiers @davduf pic.twitter.com/LZNrWE4hb6

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  • Castaner pleure sur les 75 % de radars hors service ! Mais la faute à qui ?



    Tandis qu’Emmanuel Macron poursuit son grand « bla-bla » électoral aux frais des Français, y compris de ceux qui ne rêvent que de sa disparition politique, son acolyte de la place Beauvau hante les plateaux de télévision pour s’épancher sur la destruction des radars qui polluent le quotidien de nombreux conducteurs. Et le ministre de l’Intérieur d’enfoncer un peu plus le clou à chacune de ses apparitions.
    Ainsi, à ce jour, près de 75 % des radars automatiques seraient hors service. 
    Pourtant, que Castaner se rassure : certains d’entre eux fonctionnent encore très bien. 
    Notamment celui qui a pris la secrétaire d’État à l’Écologie à 150 km/h au lieu de 110 sur une autoroute ! 
    Ou encore ceux qui continuent de flasher certains automobilistes à 72 km/h (vitesse retenue) pour 70 (du vécu). 
    Seule différence : le traitement. 

    Dans le premier cas, la secrétaire d’État, qui par la voix de son cabinet s’est platement excusée, prétextant une « erreur » due à « l’urgence de son agenda », et qui a promis de payer l’amende de 135 euros afférente. 
    De l’autre, l’automobiliste qui, pour une seconde d’inattention ou bien parce qu’il était en retard pour se rendre sur son lieu de travail ou à un quelconque rendez-vous, sera condamné à la double peine, amende et retrait de point.
    Mais au-delà de ce fait divers, dont notre République bananière est désormais coutumière, se pose la véritable question de l’écoute dont font preuve nos dirigeants. 
    Cette limitation de vitesse à 80 km/h sur la plus grande partie du réseau routier français, qui fut également à l’origine du mouvement des gilets jaunes, est devenue l’un des symboles qui caractérisent l’absence de dialogue dans notre pays. 
    Décision unilatérale prise en dépit des avis réservés de nombreux élus de terrain et sur la base de rapports plus que douteux, cette mesure révèle en réalité la violence avec laquelle notre pays est aujourd’hui gouverné. 
    Et cette violence ne réside pas que dans la répression qui a pu viser certains gilets jaunes. 
    Elle se mesure au quotidien, tant par les propos du chef de l’État, qui manque rarement une occasion de signifier le mépris qu’il a pour celles et ceux qui ne pensent pas comme lui, que par des mesures prises de vive force par un gouvernement qui a exclu la concertation de son mode de gouvernance.
    Donc, il ne faut pas se tromper. 

    Le grand débat n’est qu’un leurre destiné à parvenir au 26 mai. 
    Il est fait pour endormir les Français, du moins ceux qui le voudront bien, et semer le trouble au sein d’un électorat déjà désorienté par des mois d’un conflit social sans précédent. 
    Tel est, d’ailleurs, le sens de la campagne déguisée que mène actuellement Macron. 
    Nullement fait pour construire un consensus national ou changer de politique, le président de la République, qui dit à l’envi qu’il ne changera pas de cap, n’est que le VRP de son programme ultralibéral déjà vendu à Bruxelles et à la grande finance internationale.
    Alors, certes, la destruction des radars à un tel niveau est sans doute regrettable. 
    Mais la faute à qui ? 
    Rarement les Français, pour une part importante d’entre eux, ont été aussi excédés du peu de considération dont ils sont l’objet. 
    Traités comme quantité négligeable, voire comme des ennemis de la République, comment ne pas comprendre leur révolte ? 

    Le 26 mai prochain, une occasion sera donnée à tous les exclus et les marginalisés de la politique macronienne de dire « stop ». 

    Un vrai coup d’arrêt peut être donné et déboucher sur une autre politique, tant au niveau européen qu’au niveau national. 

    Il suffit de le vouloir. 

    Olivier Damien

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