• Vice-président du Front national se fait arrêter dans une orgie de sexe en banlieue parisienne en présence des membres d'un groupe terroriste

    Une terroriste iranienne arrêtée dans une orgie de sexe en banlieue parisienne

    Mahtab Amini,l'ancienne membre et l'interprète de l'Organisation des moudjahidines de l'Iran,qui avait échappé en France après 7 mois de l'exil,se trouve dans une situation bien embarrassante depuis la publication d'une nouvelle inattendue par le journal " Irish Examiner" la montrant en pleins ébats sexuels dans une Partie de débauche en banlieue parisienne.
    de différentes organisations de défense des droits de l'homme ont placé "l'Organisation des moudjahidines du peuple iranien"(OMPI) sur la liste des organisations terroristes.

    'j'étais obligée de coucher avec mon supérieur hiérarchique presque toutes les nuits,et une fois on m'a demandé de participer dans une orgie" déclare Mahtab Amini.
    "vu que je travaillais comme interprète, j'étais au courant des meeting des membres du Front National avec Maryam Rajavi et dans la partie,j'ai tout de suite reconnu Louis Aliot et Steeve Briois, Vice-présidents du Front national" révèle-t-elle.

    L'organisation des moudjahidines du peuple iranien ,plusieurs fois accusée de nourrir le terrorisme sous couvert de l'islam,est placée sur la liste des organisations terroristes par les États-Unis de 1997 , par le Conseil de l'Union européenne de 2002 et par le Home Office britannique.

    Vice-président du Front national se fait arrêter dans une orgie ....

    http://fr.awdnews.com/politique/vice-président-du-front-national-se-fait-arrêter-dans-une-orgie-de-sexe-en-banlieue-parisienne-en-présence-des-membres-d-une-groupe-terroriste


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  • Voiture de police incendiée: "Dans la continuité de ces groupes qui veulent casser du flic"

    Une voiture de police a été incendiée vers midi et demi par des manifestants et deux policiers en sont sortis à la hâte près de la place de la République à Paris, lors d'un rassemblement contre les violences policières interdit par la préfecture. Quelque 300 contre-manifestants qui criaient "Flics, porcs, assassins" ou "Tout le monde déteste la police" avaient été repoussés un peu plus tôt avec des gaz lacrymogènes de la place, où se tenait un rassemblement de syndicats de policiers.

     

    Un véhicule de police a été incendié ce mercredi, quai de Valmy, à Paris, en marge d'un rassemblement contre les violences policières. Deux agents se trouvaient à bord et sont légèrement blessés. "Il y a eu des tentatives d'assassinat à Nantes, des collègues qui ont été dans le coma à Paris, ces nouveaux incidents sont dans la continuité de ces groupes qui font une guérilla urbaine, qui détruisent les centres-villes et qui veulent casser du flic", déplore Christophe Rouget, porte-parole du syndicat des cadres de la sécurité intérieure.


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  • Acte Isolé ou déséquilibré . Pieds Noirs 9A.. 

    HONTE A CET HOMME .

    Samuel Hasard, maire de Verdun. Il commandite des gens pour rapper sur la tombe de nos heros, de nos ancêtres.

    Dont un rappeur qui insulte la France .

    "aucune raison ne le justifiait" Mais je rêve là! Le type crache sur nos morts , nous voit comme des kouffars et il faudrait en plus le voir danser sur les tombes ! Pauvre France .. HONTEUX !!!


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  • L’extrême gauche casse tout vendredi 13 mai à Rennes ..

    rennes_emeutes
     
    15/05/2016 – 16H00 Rennes  (Breizh-info.com) – 
     
    Evacuée vendredi 13 au matin d’une salle de théâtre qu’ils avaient squattée et réquisitionnée puis sonnés par l’interdiction de la manifestation prévue ce samedi, les activistes de l’ultra-gauche rennaise n’ont pas tardé à se venger en semant la dévastation et la casse dans le centre-ville au soir du 13 mai.
     
    Un rassemblement pacifique était prévu à 20 h place Sainte-Anne, dans le centre de Rennes.
    Près de 200 activistes d’ultra-gauche y sont venus, et ont commencé par défier calmement les forces de l’ordre qui protégeaient la salle de la Cité et les empêchaient de la réinvestir.
    Vers 21 h 30, alors que l’attroupement – sauvage – avait grossi, les protestataires ont commencé à détruire caméras et palissades du métro, puis à jeter des projectiles sur les forces de l’ordre qui ont répliqué en gazant l’attroupement.

      
    Les manifestants se sont alors dirigés vers le centre-ville où ils ont commis de nombreuses dégradations.
     Les vitres d’un commissariat de police rue de Penhouët ont été brisées, le local du PS a vu son rideau de fer et ses vitres détruits, des boutiques de vêtement et des banques situées notamment rue d’Orléans ont été dégradées, des palissades de bois protégeant certaines agences ont été arrachées et les vitres enfoncées à l’aide de poutres.
     Les locaux du Crédit Mutuel place Sainte-Anne et de la Caisse d’Epargne rue Hoche ont été saccagés, le matériel détruit, les papiers éparpillés dans la rue.
    Une Porsche stationnée place de la République a été incendiée – c’est déjà la seconde qui subit les foudres de l’ultra-gauche après celle qui a été incendiée le 28 avril dernier à Nantes.
    Cette dernière appartenait d’ailleurs non pas à un grand patron avec cigare et haut de forme, mais à un électricien de 30 ans passionné de Porsche.
     Des feux de poubelle ont été aussi allumés, notamment rue Hoche.

      
    Plusieurs commandos habillés de vêtements sombres, très mobiles, à la façon des black blocks, se sont dispersés en ville en faisant beaucoup de casse et en raflant tous les projectiles possibles, pavés, barres en bois ou en fer, ou même plaques d’égout, comme rue d’Antrain.
    Certains ont même attaqué la mairie, où ils ont brisé des vitres à coups de pavés et ont été repoussés par la police, passablement débordée.
     Puis vers 23 heures ils ont enlevé leurs vêtements sombres, les ont remisés dans leurs sacs et se sont évaporés dans la nuit.
     Cinq personnes ont cependant été interpellées.
    Ce matin, en prévision d’une nouvelle manifestation d’extrême-gauche qui elle a été interdite, la ville est désertée et la police nombreuse.
    Place de la Mairie, des CRS attendent les casseurs et protègent l’hôtel de ville.
    Des palissades ont été dressées rapidement dans la matinée devant les commerces détruits la veille. Sept compagnies de CRS sont en ville, avec quatre canons à eau et des barrières anti-émeute.
    Deux hélicoptères ont aussi été prévus pour surveiller la ville en cas de nouvelles émeutes.
    Des policiers en civil fouillent tous les individus suspects dans la ville, et les routes menant à Rennes sont contrôlées, particulièrement celles qui viennent de Paris et de Nantes; un barrage filtrant a d’ailleurs été établi à Lécousse près de Fougères, ce matin vers 11h, apprend-on sur les réseaux sociaux.
    Les nouveaux saccages de Rennes attisent le ras-le-bol dans une ville bretonne qui, comme Nantes, vit au rythme d’incessantes manifestations émaillées à chaque fois de saccages et de destructions.
    La mairesse de Rennes a constaté laconiquement sur Twitter « Rennes saccagée ce soir. Après des paroles fortes, j’attends de l’Etat des actes forts ».
    Militant d’extrême-gauche breton, Camille [le nom a été changé] promet de son côté que « des actes forts, il y en aura. Nous, nous luttons contre un Etat d’oppression, un monde d’oppression. Oui, la casse en ville ça paraît violent, c’est violent, mais on ne change pas le monde en distribuant des roses. C’est aussi la réponse à la violence des CRS alors qu’ils vidaient notre Maison du Peuple [la salle de la Cité occupée a été baptisée ainsi, NDLR].
    Ils ont brutalisé les gens, découpé les portes et les sorties de secours au lapidaire, etc. Et après le pouvoir dira évidemment que nous avons détruit les lieux ».
    Camille ne croit pas que l’interdiction de la manifestation changera quelque chose : « le pouvoir n’arrivera pas à mater la lutte, comme il a maté l’Assemblée Nationale avec le 49-3. La rue nous appartient, et si on ne peut pas entrer dans Rennes, Nantes ou ailleurs, on peut attaquer tout aussi efficacement ce monde de répression ailleurs. Notre objectif, c’est le retrait de la loi. Nous irons jusqu’au bout. »

     

     
     
     
    Crédit photo : DR
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  • Rennes: Scènes de guérilla urbaine

    Depuis deux mois, Rennes a été le théâtre de manifestations parfois violentes contre la loi travail, un jeune manifestant ayant perdu l’usage d’un œil le 28 avril suite à un jet de projectile. Certains manifestants ont imputé cette blessure à un tir de Lanceur de balles de défense (LBD40) de la police. Une enquête, ouverte par le parquet et confiée à l’IGPN (inspection générale de la police nationale) est en cours pour déterminer l’origine exacte du projectile.

     
    Rennes : le rassemblement de vendredi a dégénéré
     

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