• INDEMNITE DE DEPUTE !!!

    Les députés PS votent pour garder leurs indemnités et leurs avantages

     Par Mike Borowski, Rédacteur en Chef de La Gauche M’a Tuer

    Y a quelque chose de pourri dans la République et ce n’est pas être populiste que de le dire. De tout façon le mot populiste me va, même si pour nos élites mondialisées il s’agit d’un gros mot sortant de leurs bouches, vous comprenez le peuple ils n’aiment pas beaucoup cela.

    Nous avons ainsi, des députés et sénateurs de tout bord, et je ne vais pas faire de la démagogie de comptoir pour gagner des lecteurs sur La Gauche M’a Tuer, ne valant même pas le dixième du salaire et des avantages qu’ils touchent chaque moi. Nous sommes ainsi gouverné et je suis très à l’aise pour le dire étant ancien attaché parlementaire à l’Assemblée nationale et au Sénat, par des ignorants et des idiots qui dans aucun monde, mais surtout dans aucun pays civilisé ne pourraient exercer cette fonction que l’on pourrait considérer comme l’élite de la République. En théorie.

    J’ai fréquenté professionnellement ces deux chambres pendant de nombreuses années, même s’il est vrai que je connais mieux le Sénat. J’ai fait mon travail parlementaire, rédigé des textes de lois dont le service civique, des amendements, des questions écrites ou orales (celles qui passent sur France 3) au gouvernement, des rapports parlementaires, j’y ai organisé des réunions, des colloques, des visites. Bref j’ai toute légitimité d’en parler sans me tromper.

    Je peux dire par expérience du métier d’attaché parlementaire (même si cela va me valoir les foudres de députés et sénateurs, mais je m’en moque) que souvent ceux-ci ne savent rédiger ni une loi ni une question au gouvernement. Cela m’est arrivé. 

    J’étais frustré de savoir que j’avais plus de capacité intellectuelles et professionnelle, tout en étant dans l’ombre et mal payé, en sortant de  l’université, qu’un sénateur avec 30 ans de politiques derrière lui. Si des jeunes collaborateurs comme j’ai été n’existaient pas, ils ne sauraient même pas écrire un courrier à un administré. Les gens le savent et ne le comprennent pas. Moi-même je ne le comprends pas.

    Pourtant malgré ces incompétences, nos chers députés s’accrochent à leurs indemnités comme une moule à son rocher. Ils ne font d’ailleurs que cela, ainsi dernièrement, un parlementaire dont le nom m’échappe avait proposé une baisse de 10% de leurs émoluments. Proposition rejeté par l’ensemble des partis. Sur ces sujets il n’y a ni droite, ni gauche mais juste des gens voulant profiter du système si avantageux que leur octroie la République au détriment des français de la base.

    L’Etat ne peut plus se permettre de rétribuer à prix d’or des gens qui ne pourraient même pas balayer les rues (avec tout le respect que j’ai pour les éboueurs qui font un dur métier). Dans le privé la plupart de ces salariés ne dépasseraient pas les 3 mois d’essais. Seulement cela arrange les gouvernants d’être entourés d’incapables, ne sachant rien des institutions, du droit, de l’humain ou de l’économie, car cela permet de rester au pouvoir. 

    Le système de vote et des partis actuel maintient ainsi un statut quo, que nos élites mondialisées veulent éternelles. Normal puisque le système est gagnant/gagnant, mais pour leur poche. Jusqu’à quand ?

    NDLR :

    Et voila le Travail d' un Député.Je dors.

     

     

     

     

    Publié par RENE DECLERCQ


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  • Obligation du détecteur de fumée : une opération de racket à 1 milliard d'euros ..

    Enfumage

    Enfumage

    L’obligation du détecteur de fumée est une pure opération de racket à 1 milliard qu’il est largement temps de dénoncer

    Elle est ahurissante de bout en bout cette histoire de détecteur de fumée. Ahurissante mais inattaquable. Pensez donc, « vous voulez faire mourir les enfants M. Soumier ! Vous êtes irresponsable »

    Qu’est-ce que c’est que cet argument ? Parce qu’alors on arrête tout. Descendez-les des mobylettes, des skis, des rollers, des vélos, des poneys, les gamins. Comprenez-moi, que l’on éprouve le besoin d’installer chez soi un détecteur est parfaitement légitime et sans doute utile mais d’où vient cette idée que l’état nounou serait en charge chez moi de la sécurité passive de mes enfants ? Qu’il s’occupe de la maltraitance, de l’abandon, des coups, évidemment, mais il veut surveiller ce que je leur donne à manger aussi ? La lâcheté du mac do du dimanche soir, pas bon pour le diabète ça. Il vient quand le détecteur dans le frigo ?

    Ah oui, mais vs comprenez ce sont les pompiers qui doivent prendre des risques après. Parlons-en. Ils dépriment les pompiers. Vous ne le savez pas ? A peine 8% de leurs interventions sont consacrées au feu. En fait, il est en train de disparaître de notre environnement, l’incendie. A tel point que dans les endroits recevant du public et soumis à des règles très strictes, les tensions sont fortes sur les normes. Ah, vous les verrez les détecteurs, ce que vous ne savez pas c’est qu’ils ne sont plus reliés à rien. Que les rondes des agents de surveillances s’espacent. C’est là que ça devient dangereux d’ailleurs, c’est toute l’ambiguïté des normes absurdes. Comme vous vous croyez protégé, vous prenez des risques que vous ne prendriez pas normalement. Mais comme les systèmes dysfonctionnent (parce que plus personne n’a peur), les risques redeviennent réels.

    Je ne sais pas si je me fais bien comprendre. C’est que cette histoire m’énerve un peu, vous l’aurez compris.

    Donc on assiste à une petite opération de racket, que l’on doit devoir à quelques lobbys influents dans le besoin, actant de chiffres il est vrai surprenants : moins de 3% de détecteurs de fumée dans les foyers français contre 89% en Angleterre, 95% aux Etats Unis. Un parc existant de 30 millions de logements, un prix moyen de 30 Euros, et hop un petit marché qui «représenterait a minima entre 600 et 650 millions € pour les fournisseurs (…) et susceptible de s’élever à plus de 900 millions € (…) un potentiel qui pourrait s’accroitre si le particulier choisissait judicieusement d’installer deux détecteurs» (sic !). On n’allait pas se refuser une petite norme à plus d’1 milliard, hein ?

    Vous allez m’envoyer à la figure la douleur des victimes ? Elle est insupportable. La brûlure est sans aucun doute la pire des blessures, le feu le pire des traumatismes. Mais désolé, c’est justement d’utiliser cet argument, dans ces circonstances purement mercantiles qui est insupportable.

    Parce que le législateur lui-même n’est pas dupe : « Aucune sanction n’est actuellement prévue par la réglementation en cas de non installation du détecteur de fumée », mieux : « la compagnie d’assurance ne peut d’ailleurs pas se prévaloir du défaut d’installation du détecteur pour s’exonérer de son obligation d’indemniser les dommages causés par un incendie ».

    Elle est pas belle la norme ? Ce n’est pas une forme d’aveu ?

    Et l’on va voir gonfler une petite bulle, tranquille. Je reçois des mails de jeunes entrepreneurs enthousiastes qui ont monté qui, le détecteur connecté, qui, le détecteur design, « M. Soumier, c’est génial, on ne peut pas fournir tellement il y a de demande, on est en train de courir derrière le stock »

    Cours pas trop vite mon pote. Ton stock dans 6 mois il te restera sur les bras. D’ailleurs mon entrepreneur me dit que les banques ne veulent pas suivre pour lui fournir la trésorerie. Pas folles les guêpes, elles en ont vu d’autres.


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  • Combien a coûté la famille de Léonarda ?

    Les Dibrani, la famille de Léonarda, a coûté cher aux contribuables français. Quel est le coût de la famille de Léonarda pour les contribuables français ?

    Les Dibrani, la famille de Léonarda, a coûté cher aux contribuables français. Quel est le coût de la famille de Léonarda pour les contribuables français ?

    Coût de la famille de LéonardaLa famille de Léonarda bénéficiait en effet de chèques-repas, d’aides financières de la mairie de Levier ( Doubs), ainsi que d’aides d’une association pour acheter des cigarettes… La famille Dibrani a été prise en charge par le centre d’accueil des demandeurs d’asile (Cada) dès son arrivée en France en septembre 2009.

    La famille de Léonarda a alors bénéficié de l’ mensuelle de subsistance à laquelle ont droit tous les demandeurs d’asile. La famille de Léonarda a également pu profiter de la CMU. Le dossier de la famille Dibrani a ensuité été transféré du Cada au Conseil général qui continuera de lui verser 350 euros par mois d’allocation et s’occupera de lui renouveler la CMU tous les 4 mois.

    Le Comité de soutien des sans-papiers a ensuite pris le relais et a payé l’aide juridictionnelle pour le deuxième recours, ainsi que le voyage aller-retour pour l’audience à Paris, la prise en charge régulière des courses alimentaires, des cartes de téléphone et du tabac pour Resat Dibrani.

    Les services sociaux de la ville de Levier ont accordé à la famille de Léonarda de nombreux chèques de 60 à 70 euros pour le ravitaillement au supermarché.

    Le Figaro s’est livré à un petit calcul du véritable coût de la famille de Léonarda pour les contribuables français.

    La famille de Leonarda ( 2 adultes et 5 enfants) est arrivée il y a 4 ans et 8 mois en France et a été prise en charge par le Cada.

    Les demandeurs d’asile hébergés en Cada bénéficient de l’allocation mensuelle de subsistance 718 euros pour un couple et 4 enfants + 110 euros par enfant supplémentaire.

    L’allocation temporaire d’attente, dispositif prévu de manière subsidiaire à l’hébergement, s’élève à 11,20 euros par jour et par adulte en 2013. Une place en Cada coûterait en moyenne 24 euros par jour et par personne en 2013.

    La dépense moyenne par élève/an s’élève à 8 312 euros, le montant de l’aide juridictionnelle  s’élève à 1200 euros par an, et les dépenses de santé ( sécurité sociale + CMU) s’élèvent  à 2 900 euros en moyenne par immigré clandestin chaque année.

    La scolarité de Leonarda, qui était absente un jour sur trois de l’école, a donc coûté 34 577,92 euros ( 8312 euros par an durant 4,16 ans).

    L’ allocation mensuelle de subsistance pour la famille de Léonarda représente un coût total de 9 936euros en un an. L’ allocation temporaire d’attente, versée seulement aux parents de Léonarda, a coûté 8 716 euros par an. Les places en Cada de la famille de Léonarda ont représenté un coût de 61 320 euros par an. L’ aide juridictionnelle pour la famille Dibrani a coûté 1200 euros par an. Les dépenses de santé de la famille de Léonarda se chiffrent à 20300 euros par an. Le coût du renvoi de la famille de Léonarda au Kosovo s’élève à 88 515 euros. Quant à l’aide au retour volontaire, elle représente un coût de 7500 euros pour la famille de Léonarda.

    Au total, la famille de Léonarda a coûté 107 013,33 euros par an aux contribuables, soit un coût global de 594 697,118 euros.

    Quant au retour de Leonarda en France, seule et durant 3 ans jusqu’à sa majorité, scolarité incluse, son coût s’élèverait à 150 000 euros.

    MAJ: et ce n’est pas tout ! En effet, l’ Etat français continue de payer pour Leonarda depuis son retour au Kosovo ( voir Leonarda continue de coûter cher aux contribuables)

    source: fdesouche.com


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  • Pour la kabbaliste malade Madonna, la France c’est « l’Allemagne nazie »

    Publié par :Thomas Joly..

    « J’observais que la France était le pays qui avait le premier accepté les gens de couleur, qui avait accueilli des artistes comme Joséphine Baker, Charlie Parker, des écrivains, des peintres… Bref, je rappelais que la France avait été une terre d’asile [sic] pour tous ces gens-là […] et que malheureusement, cet esprit avait complètement disparu. […] J’ai dit cela il y a deux ans, mais c’est valable pour aujourd’hui, pour cette époque folle que nous traversons et qui me fait penser à l’Allemagne nazie » a déclaré la vieille dépravée Madonna, dans un entretien à Europe 1 quelques heures avant de se ridiculiser en chutant lourdement lors de son concert.

    Source


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  • Emmanuel Macron estime que son projet de loi a été «pris en otage», victime de «logiques politiciennes»...

    «Foyer infectieux», «fainéants» du PS, l'amertume d'Emmanuel Macron autour de sa loi..

    Emmanuel Macron et Manuel Valls, à l'Assemblée nationale, le 14 février 2015  AFP PHOTO / ALAIN JOCARDEmmanuel Macron et Manuel Valls, à l'Assemblée nationale, le 14 février 2015 AFP PHOTO / ALAIN JOCARD - AFP

    Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron livre son amertume sur les soubresauts politiques autour de son projet de loi, estimant dans une interview au Monde daté de vendredi que ce texte a été «pris en otage», victime de «logiques politiciennes».

    «Je pense que ce texte a été pris en otage ou, en tout cas, qu'il a été pris dans des logiques politiciennes, indépendamment du travail du fond qui avait été accompli», a-t-il déploré.

    «Un foyer infectieux»

    «Beaucoup de gens au centre-droit et à droite, a-t-il ajouté, pouvaient se reconnaître dans ce texte, ils le disaient d'ailleurs». Mais «la logique partisane, en particulier à l'approche des élections départementales, a été telle que seuls ceux qui n'avaient rien à perdre ont eu le courage de la dépasser», a souligné le ministre. «Les autres, a-t-il accusé, se sont pliés à la discipline de parti».

    «Ils ont justifié leur vote, ce qui est assez inédit, par tout ce que la loi ne contenait pas, la suppression des 35 heures par exemple. C'est ce que j'appelle le bovarysme parlementaire», a-t-il regretté. Emmanuel Macron est sévère aussi pour le Parti socialiste où, rappelle le quotidien, les réserves étaient vives dès le début sur l'extension du travail du dimanche.

    «Sur cette position initiale du parti s'est greffé un foyer infectieux qui ne s'est pas éteint», selon Emmanuel Macron. «Au cours de la dernière nuit de discussion à l'Assemblée, j'ai été saisi de voir à quel point certains députés étaient dans un débat théorique et à quel point ils perdaient le réel».

    «Besoin d'un prétexte»

    Et l'amertume d'Emmanuel Macron est particulièrement vive envers Benoît Hamon, l'un des porte-voix des «frondeurs» du PS.

    Selon lui, «qu'un ancien ministre, alors que beaucoup de dispositions de la loi consommation qu'il avait portées et qui n'avaient pu aboutir figurent dans ce texte, méconnaisse les avancées sociales, précisément sur la question de la compensation et justifie ainsi un vote contre le gouvernement, laisse à penser que l'on a perdu de vue la réalité des choses ou qu'on a perdu de la culture politique».

    Et le ministre conclut: «Il avait simplement besoin d'un prétexte pour installer son vote contre. Tout le reste n'est que littérature».

    20 Minute.fr


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