• Accident de Millas. La conductrice du car scolaire prenait un médicament contre l’insomnie

    L’enquête sur l’accident de car qui a tué sept collégiens progresse et semble s’orienter vers une responsabilité de la conductrice. Franceinfo révèle ce vendredi que cette dernière prenait depuis sept ans un médicament contre l’insomnie vivement déconseillée aux personnes qui conduisent. Elle aurait pu se trouver sous les effets secondaires de ce médicament lors de l’accident.

    De nouveaux éléments dans l’affaire du drame de Millas (Pyrénées-Orientales) pourraient permettre de comprendre comment, alors que tout indique que la barrière du passage à niveau était fermée et que le conducteur du TER impliqué dans l’accident a klaxonné plusieurs fois, le car scolaire fauché a pu s’engager sur le chemin de fer.

    Franceinfo révèle ce vendredi que la conductrice du car, dont la responsabilité est envisagée par l’enquête, prenait depuis sept ans un médicament contre l’insomnie. L’accident, survenu en décembre 2017 à Millas, a coûté la vie à sept collégiens, en a blessé beaucoup d’autres et a laissé cette petite commune des Pyrénées-Orientales sous le choc.

    L’Imovane, un hypnotique aux dangereux effets secondaires

    C’est le laboratoire Sanofi qui, visé par des réquisitions judiciaires de la juge d’instruction du pôle « accidents collectifs » de Marseille, a envoyé en novembre des détails sur le médicament, fabriqué par le laboratoire, que prenait la conductrice, l’Imovane. Cet hypnotique « comporte un pictogramme rouge de niveau 3 considéré comme le niveau le plus élevé et équivalent à une interdiction de conduire », explique le laboratoire, photo à l’appui. Au-dessous du triangle rouge entourant une voiture, un avertissement : « Attention danger : ne pas conduire ! »

    Dans sa réponse, citée par Franceinfo, Sanofi précise par ailleurs que l’Imovane « peut influencer de façon conséquente l’aptitude à conduire, avec des risques possibles de somnolence, un allongement du temps de réaction et la diminution de la vigilance, particulièrement pendant les douze heures suivant la prise du médicament ».

    Parmi les autres effets secondaires, « une conduite automatique avec amnésie post événementiel ».

    Du « pilotage automatique » au drame de Millas

    La prise de ce médicament pourrait donc expliquer pourquoi, malgré la barrière baissée du passage à niveau et les coups de klaxon du conducteur du TER, la conductrice n’avait réagi que par un coup de frein tardif, l’enquête ayant déjà révélé qu’elle semblait avoir été comme en « pilotage automatique » durant les 90 secondes précédant l’accident.

    Les avocats des familles des victimes ont annoncé leur intention de demander au parquet un réquisitoire supplétif afin d’interroger le médecin de la conductrice, à la lumière de ces nouveaux éléments. Ce dernier aurait continué à lui prescrire, pendant 2 ans, le médicament quand la notice de Sanofi précise que le traitement ne doit jamais durer plus de quatre semaines.

    Si la responsabilité de la SNCF dans cet accident a été exclue par plusieurs témoins et par les expertises techniques, la conductrice du car a, quant à elle, été mise en examen pour « homicides et blessures involontaires ».


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  • Paris 2019 : quand un travelo tombe dans une manif d'Algériens en sortant du métro

    Les associations LGBT, Marlène Schiappa, Anne Hidalgo et bien d'autres s'étranglent d'indignation. Figurez-vous que dans l'enfer inter-ethnique qu'est devenue Paris, la cohabitation entre immigrés musulmans du Tiers-Monde et invertis exhibitionnistes ne correspond pas toujours aux idéaux du « vivre ensemble » tant promu par nos gouvernants.

    En effet, voici ce qu'il se passe lorsqu'un travelo rencontre, à la sortie du métro, une bande de blédards algériens qui manifestent contre Bouteflika.

    Nous vivons vraiment une époque formidable...


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  • Electricité + 5,9% dès le 1er juin. « Tais-toi et paie »

    Electricité + 5,9% dès le 1er juin. « Tais-toi et paie »

    Par: Charles Sannat ..

    Le tarif de l’électricité va augmenter de 5,9% dès le 1er juin… et ce n’est pas un poisson d’Avril qui fait la « Une » de la matinale d’Europe 1.

     

    « Le tarif de l’électricité va augmenter dès le 1er juin 2019. Une hausse jugée comme « infondée et injuste », notamment par l’association nationale de défense des consommateurs et usagers (CLCV).

     

    Il n’a pas fallu attendre longtemps pour qu’elle se confirme.

    Il y a aura bel et bien une hausse de 5,9% du tarif de l’électricité dès le 1er juin 2019, comme l’avait laissé entendre fin mars le ministre de la Transition écologique François de Rugy.

    Après avoir gelé les tarifs pendant l’hiver, le gouvernement estime donc avoir suffisamment aidé les plus modestes.

    Néanmoins, cette augmentation est contestée par l’autorité de la concurrence qui estime que le consommateur va être lésé.

    Même son de cloche du côté de l’association nationale de défense des consommateurs et usagers (CLCV), qui dénonce par l’intermédiaire de son délégué général, François Carlier, « une hausse infondée et injuste qui n’a rien à voir avec l’augmentation des coûts d’EDF ».

    « La commission de régulation de l’énergie considère qu’il faut augmenter le tarif d’EDF pour éviter la faillite des fournisseurs alternatifs », ajoute-t-il avant de prévenir : « Si le gouvernement suit cette recommandation, la CLCV saisira le Conseil d’Etat pour demander l’annulation de cette hausse ».

    Une augmentation reste une augmentation et décaler une augmentation n’est pas une aide…

     

    Si le gouvernement pense avoir aider les plus modestes il se trompe encore une fois lourdement.

     

    L’eau, l’énergie et l’alimentation sont trois besoins fondamentaux dont les prix sont régulés presque partout dans le monde.

    Prenez la Chine… les prix du litre d’essence n’y sont pas libres et c’est évidemment l’Etat qui fixe les prix, des prix qui souvent sont « subventionnés » par les Etats pour que les plus modestes puissent vivre.

    Se chauffer est une nécessité.

    Se chauffer est également un droit.

    Là encore lorsque toutes ces augmentations vont se faire sentir, la grogne se transformera en vent de révolte.

     

    Charles SANNAT


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  • Pour un 1er mai jaune et noir ! Acte Ultime : Paris, capitale de l'émeute

    Pour un 1er mai jaune et noir ! . Paris, capitale de l'émeute

    « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »  

    Article 35 - Déclaration des droits de l'homme et du citoyen       

    Le gouvernement macronien s'est mis en tête de briser la contestation sociale actuelle par la force, atteignant un niveau de répression encore jamais vu jusqu'alors: Interdictions de manifester, déploiement de militaires, utilisation de blindés, utilisation de marqueurs chimiques et d'armes de guerre face aux manifestants, peines d'emprisonnement à la pelle, mains arrachées, manifestants éborgnés...             

    Lors de la manifestation du 1er mai 2018, la Préfecture de Police dénombrait 14 500 manifestants "en marge du cortège syndical" (soit presque autant que dans le cortège traditionnel) dont 1 200 "individus radicaux".

     Le 16 mars dernier, lors de l'acte 18, c'était 1 500 "ultras violents" qui étaient présents parmi les 7 000 manifestants selon les chiffres de cette même police.

    Aujourd'hui, ce qui fait peur à l'État, ce ne sont plus les émeutiers eux-mêmes, mais bien l'adhésion et la compréhension qu'ils suscitent parmi le reste de la population. 

    Et ce malgré les appels, semaine après semaine, à se dissocier des "casseurs".

    S'il y a bien un groupe qui frappe actuellement la France de toute sa violence, ce n'est pas le Black Bloc, ce ne sont pas non plus les Gilets Jaunes, c'est bel et bien le gouvernement lui-même.

    Nous lançons un appel à tous les révolutionnaires de France et d'ailleurs, à tous ceux qui veulent que cela change, à venir former un cortège déterminé et combatif. 

    Car si la répression s'abat sur toutes et tous, notre riposte doit être commune et solidaire.

    Contre Macron et son monde, prenons la rue tous ensemble pour faire revivre la convergence des colères et des espoirs.

    Préparons nous, équipons nous, organisons nous, pour le renverser et lui faire revivre une journée en enfer.

    La guerre est déclarée ! 

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  • Culture de mort en Hollande : la gauche veut limiter les actes chirurgicaux pour les plus de 70 ans

      par   26 mars 2019  En ces Pays-Bas déjà si soumis à la culture de mort, la mentalité euthanasique continue de croître comme un mauvais chancre inguérissable. A tel point qu’un parti de gauche, GroenLinks, la Gauche verte, veut limiter la possibilité des actes chirurgicaux pour les patients de plus de 70 ans en consentant aux gériatres hospitaliers de décider s’il faut opérer ou non et s’il faut continuer à pratiquer des soins ou non ! Corinne Ellemeet, membre de ce parti à l’orientation écolo-socialiste (fondé en 1991 par la fusion du Parti Communiste ‘Nederland’, du Parti Socialiste Pacifiste, des Radicaux et du Parti Populaire Evangélique ‘Evangelische Volkspartij’) a présenté sa proposition à la Chambre basse hollandaise.La logique de sa proposition, malgré ses dénégations, repose essentiellement sur le rapport coût-efficacité. 
    Elle a souligné que 70 % des patients dans les hôpitaux hollandais ont plus de 70 ans, ce qui devrait conduire à des traitements différents par rapport aux patients plus jeunes : « Un processus de screening devrait être mis en acte quand on est en train de prendre en considération un traitement avancé et coûteux » a-t-elle soutenu, en incluant dans sa théorie les opérations cardiaques, le traitement du cancer, les dialyses rénales et similaires.Pour faire passer cette pilule mortifère, Ellemeet a évoqué le bien-être du patient comme raison de l’arrêt de certains soins  :
    « La question centrale est celle-ci : que sommes-nous en train de faire au patient ? Hospitalisation, anesthésie, douleur et un déluge de drogues. La recherche démontre que les traitements excessifs des patients âgés est encore un événement quotidien. »
    En d’autres termes, la volonté du patient de continuer à vivre et à combattre les maladies pourrait ne plus avoir aucune valeur déterminante, seule deviendraient fondamentales l’opinion du gériatre et ses prévisions sur « les expectatives concernant la qualité de vie de la personne âgée ».
    Corinne Ellemeet a aussitôt reçu l’appui de la présidente de l’Association de Gériatrie clinique de Hollande, le docteur Hanna Willem, selon laquelle arrêter les traitements équivaudrait à « ajouter de la qualité de vie au patient ».Un quotidien de la Belgique voisine, Le Soir a commenté fort justement ce refus du « droit à vieillir » :
    « Nous pouvons deviner où tout ceci nous mènera : nous aurons une assistance médicale à deux niveaux, avec d’un côté les patients qui devront se contenter de la sécurité sociale et de l’autre côté ceux qui seront assez riches pour se payer des médicaments non remboursés et des opérations coûteuses. »
    Le Soir ajoute que dans les Pays-Bas les patients de plus de 75 ans ne reçoivent plus d’implants de pace-maker à cause de leur âge. 
    Pareillement les opérations pour substituer une hanche après une fracture et la pose de stimulateurs cardiaques sont exécutées uniquement après une évaluation des conditions générales du patient, son espérance de vie, etc. 

    Cette euthanasie déguisée devient ainsi un moyen pour gérer l’augmentation des coûts de l’assistance sanitaire ! 
     Voilà le type de société parrainée par ce capitalisme-vert de la gauche radicale-chic, verte et socialo-marxiste de Hollande. 

    Rien de vraiment écologique mais tout de vraiment capitalo-marxiste : pour le profit, toujours le profit, on tue les vieux Hollandais et on fait rentrer des jeunes migrants africains à la place ! 

    Le meilleur des mondes des pires scénarios de science-fiction et de livres prophétiques devient réalité…
     Francesca de Villasmundo

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