• « Suicidez-vous ! » : l’horreur… oui, mais 

     Ce dernier samedi, pour la 23e semaine de manifestation, la France n’ayant jamais connu une colère aussi longue dans le temps, il y a eu, en fin de parcours, sur la place de la République, des mots qui n’auraient jamais dû être prononcés par une foule en hargne. 

    Que des manifestants en arrivent à vociférer de telles horreurs pour inciter les policiers à se suicider comme 28 de leurs collègues est évidemment condamnable. 

    Mais les médias et les hommes politiques ont omis de dire que, le matin même, au départ de leur manifestation, les gilets jaunes avaient hurlé, avec la même force : « Ne vous suicidez pas, rejoignez-nous ! »
    Que ceux qui ont proféré ces propos à l’encontre de ceux qui les “nassaient” en fin d’après midi place de la République soient des « Ultra-jaunes », comme les appelle Christophe Castaner, ou des Black Blocs n’y fait rien : l’atmosphère de ces samedis est toujours la même, avec pour seule conséquence, une répression quasiment sans équivalent dans notre histoire sociale.
    Les responsables ne sont pas ces malheureux policiers qui ne font qu’obéir aux ordres, même si certains le font avec un peu trop de zèle. 

    Les responsables sont à la tête de l’État, Emmanuel Macron, en premier lieu, et son bras droit Christophe Castaner, avec toute la cascade hiérarchique allant jusqu’aux préfets.

    Si les cris « On déteste la police » et celui, récent, « Suicidez-vous » sont effectivement intolérables, c’est du côté des vrais responsables qu’il faut aller chercher, qui, depuis 23 semaines, épuisent les manifestants en les harcelant alors qu’ils descendent dans la rue dans le calme, comme la loi les y autorise. 
    La politique de Castaner rend insupportable la présence des ces milliers de policiers suréquipés qui, en fin de manifestation, interdisent aux gilets jaunes de quitter le lieu de dispersion. 
    Les bouches de métro sont fermées et, entre grenades de désencerclement et gaz lacrymogènes qui font suffoquer, qui supporterait sereinement une telle pression ?
    La seule question est de savoir pourquoi si peu de vrais casseurs sont arrêtés, et pourquoi, malgré la présence de milliers de flics, on les voit agir en toute impunité ? 
    Les atermoiements d’Emmanuel Macron à révéler ses malheureuses solutions peuvent amplifier la colère de ces gilets jaunes et – qui sait – révéler celle de leurs millions de sympathisants.

    Les problèmes sont devant lui ! 

    Ses mesurettes et sa politique de répression n’apaiseront pas une colère qu’il avait pourtant déclaré comprendre… 

    Floris de Bonneville

    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Par: Pieds Noirs 9A..

    Article N°5230 du mercredi 24 avril 2019..

    Le nouveau monde selon Macron.

    Alors ....Est-ce possible de présenter une candidate aussi nulle ! Comment elle retourne sa veste,pour être au pouvoir et toucher un bon salaire, je suis inquiète pour ces pertes de mémoire,pitoyable,aucune confiance ...,tous les mêmes ! ...

    Aujourd'hui elle s'est portée aux Européennes pour combattre l'extrême droite et le nouveau "RN", on aura tout vu avec une girouette a tout vent .Madame était sur une liste d'extrême droite et elle ne le savait pas?...MDR ! ...

    Absolument aucun honneur pour cette personne ,même
    devant le mensonge ces personnes continuent uniquement pour se faire une place au soleil !.Oui comment s'étonner du rejet de la classe politique. Une énarque, ancienne directrice de l'ENA louvoie pour éviter d'affronter la vérité ! à part mentir <<une erreur de jeunesse >> .Une personne incapable d'assumer ses actes passés . Nous prends-elle pour des imbéciles !.Quel dommage qu’elle n’assume pas ses engagements de jeunesse. Je l'ais jamais  trouvée sympathique a l'extrême droite ,dont la connaissant bien car toujours se faire distinguée des autres bien pensants et bénis . Mais parfois hélas ,elle a des problèmes de mémoire et ne se rappelle plus les raisons qui l’avaient conduite à s’inscrire sur cette liste. Cela est honteux ...

    Aujourd'hui elle s'est portée aux Européennes pour combattre l'extrême droite et le nouveau "RN", on aura tout vu avec une girouette a tout vent .Madame était sur une liste d'extrême droite et elle ne le savait pas?...MDR ! .Cette femme est cynique et surtout ne mérite pas la confiance des Français. Elle sent très très mauvais ,mais chez ce parti on a l'habitude, elle n'assume même pas, ce n'est pas l'Europe qu'elle veut, son legs-motif battre le RN,et faire du fric,on a pas besoin de battre un parti,elle bouffe à tous les râteliers et dire qu'il y a encore des électeurs qui sont capables de voter pour cette liste alors on est bien parti vers l'anéantissement de la France ...

    Les ruineurs de la France..

    <<Jupiter ne devait pas être au courant de ce détail de perte de mémoire de madame Loiseau >>...

    Pourtant, s'engager dans une liste politique d'étudiant à Science PO, c'est la preuve d'une véritable conviction. D'autant plus, que ce n'est pas très discret, ce que vous avez fait dans ce type d'école finit toujours par vous rattraper dans votre carrière politique.Pauvre Loiseau avec sa petite cervelle il ne va pas en rester grand chose. C'est garanti vous pouvez compter sur elle pour défendre votre intérêt à la CE.

    ////////////

    En 1984, à l’âge de 20 ans, a une liste électorale de l’Union des étudiants de droite (UED), « un syndicat étudiant né sur les cendres du GUD (Groupe union défense) à Sciences po. [Il prône] l’union des droites et de tous ses courants de pensée, maurrassiens, indépendants, gaullistes… » a révélé MédiapartLa tête de liste LREM aux européennes évoque une « erreur de jeunesse ». Pour parler de ces passés lourds à porter, 20 Minutes a interrogé Fiammetta Venner, politologue travaillant depuis 1991 sur les extrémismes politiques...

    //////////

    La pauvre !
    ""Elle est en train de se prendre son plat de lentilles en pleine tronche""... 

    Pieds Noirs 9A..


    votre commentaire
  • Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...

    Roland HélieDirecteur de Synthèse nationale

     Mais non Nathalie, il n'y a aucune honte à avoir été candidate de l'Union des étudiants de droite lorsque tu sévissais à Science-Po*. 

    En revanche, ce qui est honteux, c'est de vouloir faire croire que tu ignorais la nature de ton engagement d'alors. 
     "Union des étudiants de droite", difficile d'être plus claire... 
    De l'UNI au GUD, en passant par quelques militants de l'œuvre française, tout ce que la vénérable école comptait d'anti-communistes et de nationalistes se retrouvait dans ce syndicat. 
    Alors, toi qui était en quatrième année, tu ne savais donc pas de ce dont il s'agissait ? 
    Laisse-nous rire aux éclats.Il est vrai qu'à cette époque, pour contrer l'omniprésence des gauchistes de toutes obédiences dans l'université, les nationalistes n'hésitèrent pas, parfois, à ruser. 
    Il y eu ainsi une Fédération des étudiants de Picardie, une Union des étudiants d'Alsace, un Renouveau étudiant à Bordeaux... des appellations imaginatives qui pouvaient, reconnaissons-le, amener l'étudiant moyen à s'interroger sur le positionnement politique de ces syndicats locaux. 
    Mais, avec l'"Union des étudiants de droite"... il ne pouvait pas y avoir de tromperie sur la marchandise.Ton attitude face au "révélations" de Mediapart est vraiment déplorable. 
    De deux choses l'une, soit tu es idiote et inculte, ce que nous n'osons pas imaginer ; soit le milieu que tu fréquentes maintenant, LREM en l'occurence, est tellement sectaire et fanatique que tu ne trouves rien de mieux que d'invoquer ta crédulité de jeune fille effarouchée pour te défendre. 
    Ce n'est pas très courageux...
    Et le plus grave, c'est que maintenant tu voudrais t'imposer comme le rempart face à "l'extreme droite". 
    Décidément, tu n'arrêtes pas de nous faire rigoler, Nathalie. 
    Une chose est sûre, c'est que si tu as fréquenté les nationalistes dans ta jeunesse, tu n'as rien retenu de l'éthique qui anime leur idéal. 
    Le reniement est l'apanage des poltrons démocrates, pas celui des "fachos".Depuis le début de la Ve République, nombre d'élus, voire de ministres, firent leurs premières classes dans la mouvance nationaliste. 
    Face à l'adversité, reconnaissons-le, peu renièrent leurs engagements d'antan (après tout, on a le droit de changer d'idées) et, parmi eux, certains firent même de brillantes carrières. 
    Néanmoins, quelques uns se crurent obligés, lorsqu'ils se virent débusqués par les petits flics de la pensée dominante, de cracher sur leur passé. 
    Ces méprisables personnages sont vite tombés dans les oubliettes de l'Histoire... et c'est sans doute mieux ainsi.
     Nathalie, avec ta liste LREM, tu as la prétention de défendre les intérêts de la France dans l'Union européennes. 
    Permet-nous de te dire que, vue ton attitude aujourd'hui, on a de bonnes raisons d'être inquiets pour demain... 
    Mais, rassure-toi, que tu ai été membre de l'UED ou non, cela n'a pas vraiment d'importance car nous n'avions aucunement l'intention de voter pour toi...
     * Si je te tutoie dans cet article, c'est parce que dans la mouvance nationaliste, hier comme aujourd'hui, tout le monde se tutoie. 
    Ainsi, tu vois bien que nous ne sommes pas rancuniers.   

    votre commentaire
  • Deux migrants étranglent et tuent un Français de 70 ans pour le voler, silence médiatique

    Posté Par:Pieds Noirs 9A..

    Il se prénommait Philippe, il venait d’avoir 70 ans et vivait dans un joli petit village de Seine-et-Marne, Vulaines-sur-Seine. Un simple retraité qui en toute quiétude coulait des jours heureux dans la ruralité à proximité de la forêt de Fontainebleau et du musée Stéphane Mallarmé.

    Hélas, ce 12 avril, sa route croisa celle de deux individus qui n’avaient qu’un but : l’agresser pour le voler, au besoin en lui prenant la vie. Aux environs de 23h, Philippe arrive en train en provenance de Paris à la gare SNCF de Fontainebleau-Avon. Alors qu’il descend au deuxième étage du parking couvert de la gare, où il s’apprête à récupérer sa voiture, il est victime d’une agression d’une rare lâcheté. Deux jeunes hommes se jettent sur lui, le rouent de coups au visage puis l’étranglent avant de disparaître en courant. Toute cette violence dans un seul but : lui voler son téléphone et son ordinateur portable.

    Suite à cette attaque une enquête est ouverte par le service régional de la police des transports. Très vite grâce à la vidéosurveillance épluchée par les enquêteurs, deux suspects, âgés de 26 ans sont identifiés. Trois jours plus tard ils les interpellent Porte de Montreuil dans le 20e arrondissement de Paris et les placent en garde à vue. Mercredi, à la fin de cette dernière, ils sont mis en examen et écroués. La victime, elle, a été transportée à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, elle souffre d’une fracture du nez et d’une paralysie du côté gauche. Ces racailles n’y ont pas été de main morte puisque le procureur de la République de Fontainebleau indiquait que dès son évacuation de la gare Philippe était déjà en état de mort clinique. Le 16 avril après-midi il décédait sans avoir repris connaissance.

    Mais qui sont ces deux meurtriers ? Le Parisien ainsi que La République de Seine-et-Marne ont relaté le drame et sa conclusion. Ce sont deux “migrants” algériens, “sans domicile fixe“, “en situation irrégulière sur le territoire français” qui ont commis cette abomination, âgés de 27 ans. Sauf erreur de notre part, ce “fait divers” n’a pas été repris par les autres médias. Une question : si deux jeunes Français avaient tué un immigré de 70 ans dans les mêmes conditions, aurions-nous eu une couverture médiatique aussi légère ? L’information n’aurait-elle pas fait le buzz et associations, artistes et pseudo-philosophes n’auraient-ils pas joué les accusateurs car, nécessairement, le meurtre aurait été d’inspiration raciste ?

    Suite à ce drame le maire de Vulaines-sur-Seine, Patrick Chadaillat, s’est déclaré très choqué : “C’était un homme charmant, et je compte aller à ses obsèques“.

    En attendant chaque jour des milliers de Français récupèrent, la peur au ventre, leurs véhicules dans des parkings, comme Nathalie qui avoue que cela lui arrive rarement de revenir après 21h à cette même gare où le retraité a été agressé : “Car il y a toujours des jeunes qui squattent le parking et cela n’est pas rassurant.»

    J-P Fabre Bernadac

    Source : http://bvoltaire.fr


    votre commentaire