• Les avis d'imposition papier bientôt payants ???

    Pour réaliser des économies, l'administration fiscale envisage de facturer l'envoi par la Poste des déclarations et des avis d'imposition. Coût : 2 € par document.

    Boris Cassel  

     "Info le Parisien "

    L’année dernière, les impôts des particuliers ont nécessité l’envoi de 126 millions de plis postaux pour un total de 56,7 M€. L’année dernière, les impôts des particuliers ont nécessité l’envoi de 126 millions de plis postaux pour un total de 56,7 M€. (LP/Guillaume Georges.)Les contribuables devront-ils payer pour continuer à recevoir par la Poste la version papier de leur déclaration de revenus et de leur avis d'imposition ? L'administration fiscale y réfléchit sérieusement. Dans un rapport transmis début juin aux parlementaires et consacré à la « maîtrise des frais d'affranchissements de la Direction générale des finances publiques » (DGFIP), les hauts fonctionnaires du fisc évoquent cette piste d'économie.
    Les impôts des particuliers ont nécessité l'année dernière l'envoi de 126 millions de plis postaux. Soit un total de 56,7 M€ de frais de timbres ! D'où l'intérêt d'inciter fortement les contribuables à réaliser toutes leurs formalités administratives sur Internet. Dans quelques années, lorsque les Français auront majoritairement opté pour la version électronique de ces formulaires, l'administration propose « d'inverser la logique et rendre les documents papier payants » pour les derniers récalcitrants. Vu la sensibilité du sujet, les fonctionnaires enrobent leur proposition de toutes les précautions d'usage. « A long terme », écrivent-ils, la question « pourrait se poser de savoir s'il serait opportun de facturer le coût d'envoi du document papier ». « L'usager qui souhaiterait recevoir une édition papier de sa déclaration de revenus ou d'un avis (impôt sur le revenu, taxe d'habitation, taxe foncière) pourrait en faire la demande mais se verrait alors facturer cette prestation supplémentaire », écrivent les hauts fonctionnaires. A quel prix ? L'administration évoque, à titre d'exemple, un tarif de « 2 € par document, à l'image de ce qui est déjà pratiqué auprès des services de la publicité foncière lorsqu'un propriétaire souhaite obtenir un duplicata d'un acte de vente ». Comment procéderait l'administration pour récupérer le fruit de cette prestation supplémentaire ? « Le prix de cette prestation viendrait s'ajouter à l'impôt dû », répondent les auteurs du rapport. Seuls les contribuables non imposables n'auraient pas à payer.

    « On franchit une ligne rouge », fulmine Vincent Drezet, secrétaire général du syndicat Solidaires-Finances publiques. « On remet en cause la conception même du service public, basée sur la gratuité pour les démarches annuelles et obligatoires. Ça ne fera qu'accroître la tension entre les fonctionnaires et les contribuables. » L'entourage du secrétaire d'Etat au Budget, Christian Eckert, rappelle que ce document, rédigé par l'administration, « n'engage pas le gouvernement ». « Il s'agit de propositions faites par l'administration pour nourrir les discussions en vue des prochaines lois de finances », explique-t-on à Bercy. Rien ne garantit, non plus, qu'elles ne le seront pas.

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  • Cahuzac devant la justice: silence sur l'argent des labos pharmaceutiques

    cahuzac.jpgJérôme Cahuzac, renvoyé en correctionnelle pour son compte caché, est resté discret durant l'enquête sur l'origine des fonds et notamment sur des versements par l'industrie pharmaceutique pour son activité de consultant, a appris l'AFP lundi de source proche du dossier.

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  • Agnès Saal aurait eu 400 000 euros de frais de taxis au Centre Pompidou

     

    Agnès Saal. Les scandales s'enchaînent. Photo © AFP

    Taxi. Agnès Saal, qui a démissionné de la présidence de l’INA pour des sommes extravagantes de taxi, n’en finit plus d’être rappelée par son comportement passé. L’Express à paraître ce mercredi, révèle que lorsqu’elle était à la tête du Centre Pompidou, elle a utilisé des taxis pour un montant de… 400 000 euros !

    Les habitudes d’Agnès Saal lorsqu’elle était présidente de l’INA n’étaient manifestement pas nouvelles. Après les révélations sur son train de vie et notamment les 40.000 euros de factures de taxi en un an, elle avait dû démissionner de la présidence de l’Institut National de l’audiovisuel. La publication de ces notes de taxi avaient fait grand bruit, d’autant qu’Agnès Saal avait à sa disposition une voiture avec chauffeur. Les enquêteurs s’étaient alors rendu compte que son fils avait aussi bénéficié des ces taxis pris en charge par l’Etat. Quelques temps après, Angès Saal avait déclenché une nouvelle polémique après avoir été recasée par Fleur Pellerin, au ministère de la Culture. Elle s’est ensuite engagée à rembourser les sommes reprochées.

    Les enquêteurs épluchent le passé d'Agnès Saal

    Les enquêteurs ont depuis cherché à éplucher le parcours d’Agnès Saal pour savoir si ses habitudes de taxi sont nouvelles ou si l’ancienne présidente de l’INA avait l’habitude d’utiliser l’argent public sans compter.

    400 000 euros de notes de taxi

    Avant d’occuper ses fonctions à l’INA, Agnès Saal a été pendant sept ans à la tête du Centre Pompidou. L’hebdomadaire L’Express rapporte que « les enquêteurs chargés de faire toute la lumière sur les dépenses d’Agnès Saal à l’INA […] ont recensé quelques 400 000 euros de notes de taxi durant ses sept années passées à la tête du Centre Pompidou ».


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  •  Angleterre : elle prive ses enfants de repas pour se refaire la poitrine

    Publié par: Thomas Joly..

    Ce fait divers illustre parfaitement l’hédonisme roi des sociétés occidentales. Le plaisir avant tout. Avant dieu, avant sa terre et même avant son propre sang. Cette mère indigne pousse le bouchon encore plus loin en demandant à la sécu anglaise de lui payer l’intervention chirurgicale pour réparer les dégâts causés par ses deux précédentes opérations.

    A 31 ans, Naica Gibson souhaitait accomplir son rêve : s’offrir une nouvelle paire de seins. Pour se payer une poitrine toute neuve, la mère de famille de Tottenham a économisé pendant deux ans. Chaque semaine, elle mettait 140 euros de côté. En un mois, cela correspondait à l’équivalent d’un tiers de ses allocations-chômage.

    Pour y parvenir, Naica Gibson a dû faire de nombreux sacrifices, comme arrêter d’acheter de la nourriture à ses quatre enfants à chaque fin de mois, rapporte le Daily Mirror.

    La célibataire refusait également d’acheter des habits, des fournitures scolaires, ou de financer les voyages scolaires de ses enfants, âgés de 1 à 14 ans.

    Elle emmenait parfois ses enfants chez leur grand-mère pour pouvoir les nourrir, n’ayant plus assez d’argent. « Je ne vois rien de mal à utiliser mes allocations pour une opération mammaire », se défend-elle. « J’étais déterminée à réaliser mon rêve même si cela impliquait une coupe budgétaire pour mes enfants ».

    Et la culpabilité ? « Moi aussi j’ai sauté des repas », indique-t-elle. En janvier dernier, Naica Gibson réunit enfin les 6.000 euros pour son opération en Pologne. Après une première ratée, elle doit repasser sur le billard. Mais là encore, le résultat ne la convainc pas. « Je pense à tous ces repas manqués pour rien. Je voulais juste corriger mes seins ».

    Elle espère aujourd’hui que la sécurité sociale lui finance une opération réparatrice. « Je suis britannique et après tout ce stress, je mérite le traitement dont j’ai besoin ».

    Source : http://www.contre-info.com


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  • Après la famille, après la patrie , Christiane Taubira s’attaque au travail ..

    Après s’être attaquée à la patrie par son engagement dans un groupe terroriste indépendantiste – son mari, Robert Delannon, fut à l’époque arrêté et condamné pour avoir préparé un attentat contre des installations pétrolières pour nuire à la France –, une lutte antifrançaise qu’elle n’a jamais abandonné depuis, après s’être attaquée à la famille par la destruction du mariage, des liens de filiation, par la GPA aujourd’hui, Christiane Taubira s’attaque au travail.

    « Je rêve d’un monde où l’on pourrait travailler 32 heures par semaine » a-t-elle déclaré, rêvant sûrement d’un monde où une paire de détraqués sexuels pourraient avoir du temps pour aller acheter un enfant à l’autre bout du monde, avant de venir se droguer dans une salle de shoot pour finir leur soirée devant un documentaire sur la “Shoah” ou la culpabilité des Blancs dans l'esclavage.

    « J’ai signé lorsque j’étais dans l’opposition une déclaration commune qui indiquait que le dimanche est un jour particulier et je continue à le penser. Nous devons faire en sorte que dans les éléments de progrès d’une société, pour la vie personnelle et la vie familiale, il y ait des espaces préservés. Je rêve d’un monde où le samedi et le dimanche on ne travaille pas »,a-t-elle poursuivi, ajoutant : « L’idéal c’est que les gens puissent travailler 32 heures dans une semaine pour avoir du temps pour se consacrer aux autres dans les associations, pour avoir le temps d’aller au musée, sur la plage, de déambuler, de marcher de parler à ses voisins d’aller en librairie, au cinéma, au théâtre etc.. Voilà la société dont on peut rêver » témoignant de la mentalité de la parfaite oligarque. Car qui, à part les Français exploités, travaille le samedi et le dimanche pour que les gens comme Christiane Taubira puissent aller dans des musées, au cinéma, dans les librairies ?

    La duplicité de la Guyanaise est totale, elle qui a affirmé son soutien à la loi Rothschild-Macron généralisant le travail le dimanche : « Cependant, dans la société il y a des lieux et des moments où il peut être intéressant que l’activité commerciale soit possible, en contrepartie il faut encadrer et c’est ce que fait ce texte-là » a-t-elle prétendu. Au gouvernement, quelques jours après un remaniement durant lequel l’insupportable guyanaise a sauvé sa tête, les propos ont fait polémique, obligeant Manuel Valls à démentir sa ministre.

    Source : http://www.jeune-nation.com/societe/20243-apres-la-famille-apres-la-patrie-christiane-taubira-sattaque-au-travail.html


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