• Indigénisme et racisme anti-Blancs à l'université

    Indigénisme et racisme anti-Blancs à l'université : l'État premier responsable

    Cela fait des années que dans les universités il s'organise des « réunions en non-mixité », le terme passe-partout pour dire « interdites aux Blancs », cela fait des années que des groupes de pression s'activent pour imposer des cours indigénistes et décoloniaux dans lesquels la figure du Blanc est présentée comme un équivalent de Satan dans la nouvelle religion de saint Adama. Les professeurs le savent mais n'osent réagir par crainte de subir une campagne de dénigrement qui peut aller jusqu'à voir les noms de leurs enfants et leur adresse personnelle circuler sur Twitter, accompagnés de messages incendiaires et d'intimidation.

    Depuis des années, Twitter sert de base militaire à ces groupes qui, ce faisant, ont obtenu le silence complice, la résignation et la soumission du corps enseignant, des présidents d'universités et des syndicats. L'enfer progressiste est à l’œuvre et ça ne date pas d'hier. Depuis tout ce temps, les ministres successifs ont fait l'autruche en conscience, volontairement, par choix politique et idéologique, par choix de carrière aussi car même un ministre peut craindre pour son avenir s'il se retrouve dans le viseur de ces milices islamo-gauchistes. Il y a également la peur, pour les professeurs, de subir des procès, de fausses accusations d'agressions sexuelles, voire de connaître le sort de Samuel Paty.

    En somme, l'État a laissé s'installer une gangrène mortelle et s'imagine maintenant guérir la maladie par l'onction d'une pommade homéopathique. Exactement comme lorsqu'il prétend répondre à la folie migratoire en expulsant dix islamistes tous les trois ans.

    L'État est coupable à tous les niveaux. C'est l'État le dénominateur commun de tous les fléaux qui s'abattent sur nous aujourd'hui, en ce sens que c'est lui qui avait le pouvoir de mettre des coups d'arrêt lorsque c'était encore possible. Tout le reste découle de cette culpabilité originelle.

    Jonathan Sturel


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