Deux poids deux mesures..

Le cimetière de Saverne, à quelques kilomètres de l’enclave israélite de Sarre-Union récemment visitée, avait été « vandalisé » en 2013. Étonnamment, en l’absence de religion étrangère concernée, le terme « profané » n’avait pas été utilisé et ça n’avait conduit à s’exprimer que le sous-préfet… pas de ministres, aucun président, aucun dirigeant d’association de pornographie mémorielle, très peu de médiats.

La semaine dernière, à Saint-Augustin-des-Bois, c’est une croix qui a été sciée. L’acte anticatholique ne fait aucun doute. Mais pendant que Manuel Valls fait garder les temples judaïques et que François Hollande pleure sur quelques dégâts dans un cimetière juif laissé à l’abandon, les (véritables) profanations contre les lieux de cultes français n’intéressent pas le gouvernement d’occupation.

Cinq églises profanées en région lyonnaise : aucune réaction politico-médiatique

En quelques jours, cinq églises ont été profanées dans la région de Lyon (Notre-Dame-des-Marais de Montluel, Neuville-les-Dames de Châtillon-sur-Chalaronne, Notre-Dame d’Ambronay, Saint-Martin de Vonnas, Saint-Étienne de Jujurieux). Si s’attaquer à un cimetière juif – pourtant abandonné par les familles des morts – « c’est insulter toutes les religions et souiller la République », attaquer des lieux de cultes catholiques non par désœuvrement, mais pire encore par esprit du lucre, c’est simplement rien aux yeux de leur République. Cela n’existe pas. Comme les Blancs ne sauraient être victime du « racisme », les actes antireligieux ne peuvent viser en France que les mêmes communautés étrangères qui sont les seules victimes accréditées de leur République.

Plusieurs dizaines de lieux cultes aux mains des pro-terroristes en France

La seule région lyonnaise compte 22 lieux de cultes salafistes selon les services de renseignements. Il s’agit des lieux de cultes islamistes dirigés par les partisans les plus violents des pratiques criminelles liées à l’islam. L’Île-de-France abriterait 25 mosquées de ce type, contre 13 pour la seule ville de Marseille. D’autres villes sont également souillées par ce genre de groupes criminels, qui prospèrent sous la République, tels que Vitrolles, Alès ou Brest selon RTL.